art of eurythmy 1981

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  • เผยแพร่เมื่อ 28 ธ.ค. 2024

ความคิดเห็น • 13

  • @jplilie
    @jplilie 11 ปีที่แล้ว +3

    Thank you for upload such a precious video. Greetings!!

  • @DanceExpressFC
    @DanceExpressFC 11 ปีที่แล้ว +1

    Wonderful to see these original images of eurythmy!

  • @liaoyuanrong2022
    @liaoyuanrong2022 2 ปีที่แล้ว

    Yes! Thank you ❤

  • @LisaDaltonandMichaelChekhov
    @LisaDaltonandMichaelChekhov 12 ปีที่แล้ว +2

    a great video for any one interested in this art that master Acting Teacher, Michael Chekhov, encouraged his students to study.

  • @csarnimor
    @csarnimor 12 ปีที่แล้ว +1

    thanks for this video...very informative

  • @friedrichaltherr9239
    @friedrichaltherr9239 9 ปีที่แล้ว +1

    Eine sehr schöne und eindrückliche Geisterbeschwörung !!!
    Welcher Dämon wird hier angebetet?

  • @huanwen2340
    @huanwen2340 10 ปีที่แล้ว +3

    Else Klink often told her students "You need to work with your lower gods also!". Obviously this has not been the case and therefore, the eurythmy is not yet whole.

    • @nicola-8396
      @nicola-8396 9 ปีที่แล้ว

      +Huan Wen Thank you!! Someone finally said it!!
      Oh also I might put in there that Else is my great-great aunt haha :)

    • @ktiffy9213
      @ktiffy9213 6 ปีที่แล้ว

      I tried. And ....

    • @tanyazeriga-alone3052
      @tanyazeriga-alone3052 3 ปีที่แล้ว

      @@nicola-8396 it has been 5 years since your comment. I came across your comment while trying to reconstruct the life story of Else Klink. I am from Papua New Guinea interested in PNG diaspora. Her life will make such a great story. Please respond if you can.

  • @pique6feu
    @pique6feu 11 ปีที่แล้ว

    L'EURYTHMIE DU DÉMON
    I
    Belzébuth, chorégraphe à ses heures perdues,
    Amateur d'eurythmie lorsqu'il n'est pas cruel,
    Exécutait le pas d'une danse éperdue,
    Et je le regardais lever la main au ciel...
    Sa paume décrivit une lune à moitié
    Quand sa bouche exposait deux canines à peine :
    "Maître ! il est temps ! Dit-il, que s'en vienne étouffer
    Sous l'oreiller des nues une pression soudaine
    Ce dormeur dont le front, essaimant d'affreux rêves,
    Étreindra l’Élément par de-là toutes grèves !"
    II
    Puis, enroulant ses bras comme deux tentacules,
    II jeta devant lui une spirale immense
    Où d'innombrables feux s'étoilaient, minuscules...
    Et d'une mâle voix cria, plein de défiance :
    "Mus par les rotations de notre galaxie,
    Puissent en conjonction, les Systèmes Stellaires,
    Du Vide libérer les puissances inouïes !
    Bâillent, au fond des mers, tant et tant de cratères :
    Les fers bientôt rompus des chaînes océanes,
    Les banquises fondront sous les laves insanes !"
    III
    Là des billes d'acier, sortant de son nombril,
    Se mirent à errer en de vertes pénombres,
    Tel un sorcier vaudou, pris d'une transe vile,
    II ricanait : "Amok ! Que n'éclaires-tu l'Ombre ?"
    En des perles d'argent rutilant devant lui,
    Le chapelet grossit en d'énormes calots :
    C'étaient des amas qui roulaient en harmonie
    L'Amitié sidérale en ses milliards d'anneaux;
    Des boules d'or brillaient au centre d'autres noires,
    - C'était une magie épouvantable à voir !
    IV
    Or il cambra ses reins en d'âpres crispations;
    Insatiable toupie, sa carcasse sans graisse
    Amorçait un tango horrible à sa façon :
    " Revenons à Stagire où par l'antique Grèce
    L'on vit un fabuleux destin réinventer
    Le calcul chaldéen des hautes ziggourats !"
    Étalon s'ébrouant, ses narines fumaient !
    Mais les boules soudain devinrent écarlates,
    Boulets incandescents, puis, toutes à la fois,
    Des bulles de savon lorsqu'il claqua des doigts !
    V
    Et il cracha à terre, adolescent rebelle...
    Un autre claquement de sa longue phalange
    Fit alors éclater les concrétions virtuelles
    Dignes de sa chimie déchue d'ancien Archange !
    Il exultait : "Soleils et planètes formés
    Des graillons nébuleux qu’expectora un jour
    Un gouffre ouvrant sa gueule où de la nuit bavait !
    Ô glaires renâclées ! Ô crachats semés pour
    Souiller l’arche des Temps aux diaphanes solives :
    Contemplez votre sort d'éphémères salives !"
    VI
    Il semblait désormais délirer dans un songe
    Où la réalité en brumes défilait.
    Sa queue balayant l'air trahissait le mensonge
    Et ses cornes en pointe une habilité vraie
    A masquer ses sorties de trompeuses impasses;
    Ce n'était qu'un enfant, ce diable d'opérette !
    " Ô l'abracadabra ayant fait naître "Espace"
    Plus laid que du vieux claque un lapin à lunette !"
    Et il riait, riait en mimant un babouin
    Qui grimace à souhait et tape dans ses mains...
    VII
    Faisant mine de boire en une fine coupe
    Une décoction comme un Champagne fin,
    II jeta dans son dos cette mauvaise soupe
    Que lécherait, peut-être, en laisse, un de ses chiens...
    "Ô mon Maître, ô Seigneur ! Comme un de tes disciples,
    En cette incantation le dernier des adieux :
    Guide des Odyssées, Phare des longs Périples,
    Je t'honore, Infini ! Éternité ! Ô Dieu !"
    Il signa en mictions de feu son nom par terre.
    - Nous étions, lui et moi, bel et bien en enfer !
    VIII
    Sur ces genoux saillants, concluant le propos,
    Il brisa, d'un coup sec, en deux, sa canne dure
    Sur laquelle on pouvait, à son triste pommeau,
    Les initiales lire, en fines ciselures,
    Près d'un chiffre fameux, du Prince Belzébuth...
    Et son bras vigoureux, maltraitant l'un des restes,
    Forgea un sombre objet qu'il incurva en U :
    C'était un boomerang ! Et d'un habile geste,
    L'engin très spécial en quête d'une cible
    Vola en direction de l’Être inaccessible...