Traduction mélodique de : Nedhlev Rebb'adagh ya3fu (Que Dieu nous pardonne) Ô Seigneur, on Vous en prie Qu'on ne soit pas pervertis Si malades, qu'on soit guéris Gardés des blessures, aussi. On est tout le temps irrités Plus personne en paix Qui tu questionnes t'en dit douze Pleurent, aussi, les rassasiés Plus de satiété Ils n'en ont jamais assez Ô Vous Qui tenez les cieux Reboutez un peu Pris dans le siècle quatorze. La vie partie, terminée Rabotée, usée Arrivée à la fin des temps Les gens métamorphosés De métiers abusant Tous ceux instruits étonnés Mélangés, le grain, l'ivraie Le droit enlevé Le vert, le sec, emportés Comme qui a mangé du piment Chacun s'en allant Nul ne reconnaît ses pairs Qui trouve son frère, empêtré Il va l'enfoncer Lui mangeant même ses provisions Dieu, envoie-nous la raison Enlève l'arbitraire Ramène chacun à l'entendement. Si, au moins, mémorisions Nous raconterions Comprendraient les ignorants Nous brûlons, comme un tison Le passé, l'oublions Nous jurons, y retournant On demande, à Dieu, pardon Que nous guérissions Ô vous, tous, les croyants N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Bravo Djilali ! Jolie interprétation !
Magnifique
Une excellente interprétation pour cette chanson, avec votre belle. Voie. Bonne continuité.
magniphique camerawoman!
TROP BELLE chanson. tu la chante tres bien, bravo
Ton coté Naturel il faut le garder!!!En plus de ta justesse d'interprétation!!!Thanemirt!!!
hhhh ana nagamti djerdi bsa7 manich gbayli ?
big up a toi tooop
Azul une petite ressemblance a "ouazib mohand ameziane"? bonne courage
tanmirt nwen
Traduction mélodique de : Nedhlev Rebb'adagh ya3fu (Que Dieu nous pardonne)
Ô Seigneur, on Vous en prie
Qu'on ne soit pas pervertis
Si malades, qu'on soit guéris
Gardés des blessures, aussi.
On est tout le temps irrités
Plus personne en paix
Qui tu questionnes t'en dit douze
Pleurent, aussi, les rassasiés
Plus de satiété
Ils n'en ont jamais assez
Ô Vous Qui tenez les cieux
Reboutez un peu
Pris dans le siècle quatorze.
La vie partie, terminée
Rabotée, usée
Arrivée à la fin des temps
Les gens métamorphosés
De métiers abusant
Tous ceux instruits étonnés
Mélangés, le grain, l'ivraie
Le droit enlevé
Le vert, le sec, emportés
Comme qui a mangé du piment
Chacun s'en allant
Nul ne reconnaît ses pairs
Qui trouve son frère, empêtré
Il va l'enfoncer
Lui mangeant même ses provisions
Dieu, envoie-nous la raison
Enlève l'arbitraire
Ramène chacun à l'entendement.
Si, au moins, mémorisions
Nous raconterions
Comprendraient les ignorants
Nous brûlons, comme un tison
Le passé, l'oublions
Nous jurons, y retournant
On demande, à Dieu, pardon
Que nous guérissions
Ô vous, tous, les croyants
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
merci thanks