Y a que quand le soleil se couche Que le gris de ses yeux s'irise Il suffit qu'un rayon la touche Pour qu'elle rougisse Y a que quand le vent souffle au large Sur l'océan de sa peau salée Que mes mains s'attardent Que mon corps débarque Dans ses baies Y a que quand le dais des nuits s'entrouvre Que je sens ses doigts qui m'épellent Suffit qu'un baiser la découvre Pour qu'elle se réveille Quand son dos sous le duvet s'embrase Me laissant cendres de la tête aux pieds Que mon corps s'acharne Lui tire des larmes Sans regret L'assaillant de mes villes défaites S'est vu près d'elle en ange déchu Mais maudit soit le temps des tempêtes Ses armes secrètes Moi je l'aime sans dessous dessus Même quand ses démons de femme me défient Y a que quand le sud-est habille l'aube Que ses tentations la dévoilent Il suffit d'allonger l'épaule Pour qu'elle s'étale Echappée des flux et des cadences Au paradis des Dante et Sade idées Mon corps se déforme Les saints s'endorment Fatigués Quand j'entends résonner les matines Souffrant des péchés qu'elle avoue Suffit que la marée s'anime Pour qu'elle s'échoue Sur les plaies du désir qui s'échappe Ou sur le grain d'épiderme à rosée Sur son ventre las Je reste là... Où elle est... L'assaillant de mes villes défaites S'est vu près d'elle en ange déchu Mais maudit soit le temps des tempêtes Ses armes secrètes Moi je l'aime sans dessous dessus Même quand ses démons de femme me défient... Sur son ventre las Je reste là... Où elle est... Paroles de Philippe Lafontaine et Juan d'Outremont, musique de Philippe Lafontaine
Superbes , j'adore
J'espère qu'il nous reviendra un jour avec de nouvelles chansons, lui seul connait la réponse ...
Oui j'aimerai beaucoup...
Y a que quand le soleil se couche
Que le gris de ses yeux s'irise
Il suffit qu'un rayon la touche
Pour qu'elle rougisse
Y a que quand le vent souffle au large
Sur l'océan de sa peau salée
Que mes mains s'attardent
Que mon corps débarque
Dans ses baies
Y a que quand le dais des nuits s'entrouvre
Que je sens ses doigts qui m'épellent
Suffit qu'un baiser la découvre
Pour qu'elle se réveille
Quand son dos sous le duvet s'embrase
Me laissant cendres de la tête aux pieds
Que mon corps s'acharne
Lui tire des larmes
Sans regret
L'assaillant de mes villes défaites
S'est vu près d'elle en ange déchu
Mais maudit soit le temps des tempêtes
Ses armes secrètes
Moi je l'aime sans dessous dessus
Même quand ses démons de femme me défient
Y a que quand le sud-est habille l'aube
Que ses tentations la dévoilent
Il suffit d'allonger l'épaule
Pour qu'elle s'étale
Echappée des flux et des cadences
Au paradis des Dante et Sade idées
Mon corps se déforme
Les saints s'endorment
Fatigués
Quand j'entends résonner les matines
Souffrant des péchés qu'elle avoue
Suffit que la marée s'anime
Pour qu'elle s'échoue
Sur les plaies du désir qui s'échappe
Ou sur le grain d'épiderme à rosée
Sur son ventre las
Je reste là...
Où elle est...
L'assaillant de mes villes défaites
S'est vu près d'elle en ange déchu
Mais maudit soit le temps des tempêtes
Ses armes secrètes
Moi je l'aime sans dessous dessus
Même quand ses démons de femme me défient...
Sur son ventre las
Je reste là...
Où elle est...
Paroles de Philippe Lafontaine et Juan d'Outremont, musique de Philippe Lafontaine
Frémissant à souhait : tous les poils au garde à vous !!!
Magnifique , quel dommage qu'il se soit fait plus discret , trop ! quelle voix chaude ...j'adore
Totalement d'accord !
Il me semble que c'est pas brûlé mais où elle est
Exact excellente remarque je vais corriger merci