Cher Pierre, ta vidéo, malgré la perte des rushs, est sublime. L’absence des images filmées donne vie aux photos du journal, créant un dispositif où, au fil de la lecture, nous pouvons imaginer ces moments perdus. L’attention portée aux sons du monde, plus prégnante que d’habitude, ouvre un chemin vers nos propres souvenirs visuels. Et lorsque, soudainement, les images sont réanimées, le silence qui persiste nous confronte à ta perte. C’est vraiment magnifique, et ta capacité à rebondir face à cette difficulté est admirable.
6 หลายเดือนก่อน
Merci beaucoup pour ton commentaire qui me touche beaucoup.
Quel début sublime à partir de la perte et ce que tu en fais ! Et aussi ta façon de te servir au mieux de la musique pour les séquences dans le jardin japonais, des nuages dans le ciel, mémoire de l'avenir... Et cette alternance entre ces musiques et le bruit réel de la rue. Perdre encore, on pourrait presque te le souhaiter. :)
5 หลายเดือนก่อน +1
Merci Anne. Pour soulager la perte, on n'est obligé de faire face pour continuer à avancer, sinon c'est le plus important qu'on perd, l'élan qui nous pousse à créer, qui est vital. Tout peut s'arrêter brusquement, il faut trouver la force de surpasser le vide qui se creuse en nous, pour continuer à travailler, même avec le manque, l'absence.
Cher Pierre, ta vidéo, malgré la perte des rushs, est sublime. L’absence des images filmées donne vie aux photos du journal, créant un dispositif où, au fil de la lecture, nous pouvons imaginer ces moments perdus. L’attention portée aux sons du monde, plus prégnante que d’habitude, ouvre un chemin vers nos propres souvenirs visuels. Et lorsque, soudainement, les images sont réanimées, le silence qui persiste nous confronte à ta perte. C’est vraiment magnifique, et ta capacité à rebondir face à cette difficulté est admirable.
Merci beaucoup pour ton commentaire qui me touche beaucoup.
la perte des images altère notre mémoire, nous dépossède de quelque chose et révèle notre fragilité.
C'est tout à fait cela Laurent, merci pour ces mots qui par leur justesse me rassérènent.
Quel début sublime à partir de la perte et ce que tu en fais ! Et aussi ta façon de te servir au mieux de la musique pour les séquences dans le jardin japonais, des nuages dans le ciel, mémoire de l'avenir... Et cette alternance entre ces musiques et le bruit réel de la rue. Perdre encore, on pourrait presque te le souhaiter. :)
Merci Anne. Pour soulager la perte, on n'est obligé de faire face pour continuer à avancer, sinon c'est le plus important qu'on perd, l'élan qui nous pousse à créer, qui est vital. Tout peut s'arrêter brusquement, il faut trouver la force de surpasser le vide qui se creuse en nous, pour continuer à travailler, même avec le manque, l'absence.
oh si désolée pour vous (et pour nous)
Merci beaucoup Brigitte, c'est destabilisant, mais il faut vite reprendre le dessus sinon on se laisse submerger et on ne fait plus rien.