S’affranchir des automatismes / Carte blanche à Bernard Stiegler
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- เผยแพร่เมื่อ 22 ส.ค. 2017
- Dans le cadre de notre théma "Fabuleuses mutations", nous donnons carte blanche à Bernard Stiegler pour évoquer les mutations de notre temps. Il a invité le comédien Denis Podalydès et le technologue du digital Frédéric Kaplan pour évoquer les mutations du travail sous l'effet des progrès du numérique. Cette séance a eu lieu le 8 décembre 2015, à la Cité des sciences et de l'industrie.
- วิทยาศาสตร์และเทคโนโลยี
Bernard va beaucoup nous manquer ...
Oui il nous manque
oui, il nous manque déjà
Barbara Stiegler quelle femme épatante, percutante, très, très, intéressante.
On peut être heureux que des personnes comme elle existent, cela nous réconcilie avec le genre humain .
Son père aussi en fait partie .
J'ai donc pas mal de lectures en retard et des temps de réflexions à foison ......Merci à eux !!!
Un esprit brillant qui va nous manquer
Je viens de lire cette ligne qui "pardonnez moi cela" m’emmerde.
Bonjour, merci pour le partage. Vous n'avez pas mis en ligne la conférence liée à Carl Schmitt, est-ce normal? Merci encore (Monsieur Stiegler manque cruellement... Espérons que dans son sillage la relève soit assurée...)
Oui
Ou l''entropie du rapport image/son.
hahaha
Roger Vizion 😂
Je pense que pour se déterminer d'une manière positive sur un sujet ou d'autres cela me demande un peu de temps.
Et là maintenant je peux vous annoncez que les moments passés devant votre écran me satisfait.
Une phrase de Roland Barthes que Bernard Stiegler aurait aimée : "la littérature c'est l'art de l'imprévision" .. Créer de l'improbable est - pour le meilleur et le pire - une faculté profondément humaine .. Merci en tout cas aux organisateurs de ce débat ...
Que les automatismes s'intègrent dans des automatismes plus généraux, qu'on les réhabilite et leur restitue leur sens
Combien ça couterai d'avoir des verres d'eau à la place des machins en plastiques?
49 30 le déploiement ici évoqué suppose une réduction linguistique du fait du passage du support papier au support écranique , très inconfortable pour le commun des mortels .
English traverse deeper the internet and still im sorry to miss so many corners
For once I am glad I speak French
Réduction du sens accompagne réduction et uniformisation de la langue .
Me Bernard Stiegler illuminé l'imbécilité ambiante , surtout pendant la foire au fric qu' est devenu Noël ....un GRAND MERCI
L’information n’est pas le savoir. Le savoir est la confrontation permanente des informations
Sur le plan philosophique le savoir est une connaissance vérifiée par la raison. Quand on écoute par exemple une conférence, on reçoit une information qu'il conviendrait de vérifier en la passant par la moulinette de la méthode scientifique par le doute (Descartes).
Bernard, mets ta casquette !
Le véhicule , spatialement autonome , me semble priver le conducteur de ses aptitudes à l'action . ( Étant entendu que sur les routes d'aujourd'hui on constate beaucoup plus d'individus seuls dans leur véhicules ).
Outre une certaine irresponsabilisation , il est à craindre un environnement électronique de plus en plus dangereux sur les plans phisiologique et psychologique . De plus , en ces temps d'interrogation énergétique l'usage abondant de l'électricité ne me paraît pas être une proposition intelligente sur le plan environnemental.
Par contre , s'agissant des transports en commun , l'automatisation pourrait constituer une alternative intéressante pour réduire l'usage du véhicule individuel , ce qui pour l'heure , en France , semble utopique .
le son est décalé
Relire Marx même si vous et quelques autres croyez l’avoir compris.
j'ai pas lu et j'ai tout capté,mais tout le monde n'as pas intégré le savoir absolu et
la phénoménologie de l'esprit (en toute humilité)
5:28 Paul Crutzen, pas Crutzman ! Culture approximative !
Écoutez d’autres conférences, ou lisez ses livres, il ne fait habituellement cette erreur. L’exercice de la conférence reste périlleux.
Pauvre Bernard, si seul, entouré de psychopathes.
Non je ne vois pas j'ai pie 🎢🗿
Quand on allume la télé, on choisi le programme ... Quand on allume l’ordinateur c'est le programme qui nous choisi.
Le programme ne choisit pas, il s’exécute. Quant à la personne; spectatrice: elle subit le programme qui s’impose; actrice: elle en devient créateur.
Abruti, quand tu allumes ta télé tu choisis un programme oui.. mais sur un choix qu'on t'as déjà programmé.
S'affranchir comme par exemple celui de braqueur de banques !
ducon va
faut avoir des couilles pour braquer,c'est déjà ça!
jaloux ? hahaha