La question est : quelle est l'origine du choix que vous croyez "être de votre fait", du fait du personnage que vous êtes persuadé d'être ? Cette question est la jumelle de : pouvez-vous me dire qu'elle sera votre prochaine pensée ? C'est impossible car l'origine de l'impulsion et de la destination n'a jamais été, n'est jamais et ne sera jamais issu du "libre arbitre" de l'humain, quand bien même son conditionnement matriciel lui a gravé au fer rouge qu'il avait un pouvoir sur "sa vie", ses "choix" décisionnels quotidiens. Le plus difficile pour les personnages (les masques) est que la libération de l'égocentrisme "moi-je", ne peut se faire par le raisonnement, l'accumulation de savoirs, de techniques, de mantras, de dogmes, de rigueur, en un mot par "le mental". Seul le "lâcher prise", l'acceptation par l'accueil de l'impuissance du personnage en ce paradigme et la levée du voile de nos sens limitant, offre la libération, ce que les sagesses séculaires ont pointé comme "l'éveil" , "l'ascension", "le paradis". Qui n'est autre que "se reconnaître à nouveau" : Source, Un, Créateur et création à la fois
Merci pour cette réflexion profonde ! Vous soulignez avec justesse que l'illusion du libre arbitre et du contrôle sur nos choix est souvent ancrée par un conditionnement qui nous pousse à croire en notre autonomie.
Penser comme Spinoza serait croire qu'on crée le chemin en marchant. Si le chemin préexiste à ma marche ( nécessité) rien ne m'empêche de prendre des chemins de traverse, des holzwegen. La nécessité fait que je dois me rendre à Paris à partir de Marseille, le libre-arbitre fait que j'ai le choix du trajet, je peux passer par Alger pour aller de Marseille à Paris, beaucoup empreintent cette itinéraire.
Intéressant! Donc, vous dites que même si le chemin est tracé par la nécessité, notre liberté réside dans la manière dont nous choisissons de l’emprunter. Une belle manière de voir la liberté dans nos choix de vie.
@@VoixdelÂme-p6c Philippe Guillemant le théorise à partir d'une réflexion spéculative issue de la physique quantique, une physique de la conscience, un tao de la physique ( Capra Fritjof)
La question est : quelle est l'origine du choix que vous croyez "être de votre fait", du fait du personnage que vous êtes persuadé d'être ?
Cette question est la jumelle de : pouvez-vous me dire qu'elle sera votre prochaine pensée ?
C'est impossible car l'origine de l'impulsion et de la destination n'a jamais été, n'est jamais et ne sera jamais issu du "libre arbitre" de l'humain, quand bien même son conditionnement matriciel lui a gravé au fer rouge qu'il avait un pouvoir sur "sa vie", ses "choix" décisionnels quotidiens.
Le plus difficile pour les personnages (les masques) est que la libération de l'égocentrisme "moi-je", ne peut se faire par le raisonnement, l'accumulation de savoirs, de techniques, de mantras, de dogmes, de rigueur, en un mot par "le mental". Seul le "lâcher prise", l'acceptation par l'accueil de l'impuissance du personnage en ce paradigme et la levée du voile de nos sens limitant, offre la libération, ce que les sagesses séculaires ont pointé comme "l'éveil" , "l'ascension", "le paradis". Qui n'est autre que "se reconnaître à nouveau" : Source, Un, Créateur et création à la fois
Merci pour cette réflexion profonde ! Vous soulignez avec justesse que l'illusion du libre arbitre et du contrôle sur nos choix est souvent ancrée par un conditionnement qui nous pousse à croire en notre autonomie.
Texte pondu par une AI
Merci pour le commentaire.
Penser comme Spinoza serait croire qu'on crée le chemin en marchant. Si le chemin préexiste à ma marche ( nécessité) rien ne m'empêche de prendre des chemins de traverse, des holzwegen. La nécessité fait que je dois me rendre à Paris à partir de Marseille, le libre-arbitre fait que j'ai le choix du trajet, je peux passer par Alger pour aller de Marseille à Paris, beaucoup empreintent cette itinéraire.
Intéressant! Donc, vous dites que même si le chemin est tracé par la nécessité, notre liberté réside dans la manière dont nous choisissons de l’emprunter. Une belle manière de voir la liberté dans nos choix de vie.
@@VoixdelÂme-p6c Philippe Guillemant le théorise à partir d'une réflexion spéculative issue de la physique quantique, une physique de la conscience, un tao de la physique ( Capra Fritjof)
Merci pour la recommandation.
Qui vous dit que votre décision de passer par Alger ne relevait pas elle-même de la nécessité???
Vous ne passez pas à Alger , vous allez à Alger puis a Paris. Oubliez l’avion et imaginez vous à pied .