Un syndrome, plusieurs composantes, à analyser tour à tour, jusqu'à la plus méconnue, la plus "difficile" à porter dans une société normée à environ 95%. TDAH+HPI, et je découvre "réellement" avec la psy que le TSA peut être une de mes caractéristiques. Très langagier. Très efficient. Mais un caractère trop différent qui m'a amené à être isolé et seul face à moi même pour cette découverte de moi. Merci à vous, car vos vidéos m'ont permis d'avancer vers beaucoup d'acceptation.
Bonjour, merci pour votre partage. J'aime bien votre formulation "un syndrome plusieurs composantes". Car cela réunit, unifie les différents fonctionnements en un seul, avec différentes facettes. Et cette unité est beaucoup plus juste. Et je compatis à votre solitude. Belle continuation !
Bonjour a vous,helene, c'est un reel plaisir de pouvoir suivre votre video presente. On y aporends toujours des tas de choses utiles. Je voulais aussi vous suggerer concernant le sujet qye vous developpez dans cette video que vous proposez, sans chercher a m'immiscer dans votre reflexion personnelle, que nous pourrions tous peut-etre, qui saurait, et je n'en sais pas grand chose moi-meme dans le fond, omettre quelque chose qui eventuellement pourrait donner une appreciation mrilleure encore sur des sujets si delicats selon mon propre point de vue. Si ceka pourrait eventuellement vous interesser, j'ai pu perdonnellelent avancer dans ma recherche sur moi-meme, et j'ai fini par me redecouvrir. Mon probleme personnel etait certainement m du a la toxicite inherente a mon parcours personnel. Beaucoup de choses sur moi-mememl'etaient selon moi masquees par cette toxicite dans beaucpup de mes relations au quotidien. Je penserais que je dois avoir potentiellement un niveau thqi, mais l'empoisonnement toxique que je suis force de rencontrer regulierement inhiberait en bonne partie, lesdites caoacites que je detiendrais. Mon onjectif des lors serait de chercher a resoudre cette toxicite, En tout cas, je voukais vous dite que je oense etre plus heureux a present, de savoir plus precisement qui je pourrais etre dabs les faits. Je vous adresse mes salutations les plus cordiales helene, et a votre orochaine video !
Bonjour Claude, Merci pour votre témoignage, où finalement j'y entends votre souhait et votre besoin de guérir de vos traumatismes, de cet empoisonnement toxique dont vous parlez. Or, la guérison psychologique se fait en grande partie en étant accompagné par quelqu'un de compétent. Car c'est au coeur d'une relation thérapeutique bienveillante que l'on peut peu à peu se libérer de ses entraves et de sa souffrance. Bien à vous,
Coucou Hélène, agréable de te revoir. Très belle qualité de vidéo. Et tu es très belle aussi avec cette coiffure et ces lunettes. Bon cheminement sur les traces de l’autisme!🙏🌸🕊️🌱☀️✨
Bonsoir Hélène. Content de vous réentendre !! Je partage totalement votre questionnement sur soi en rapport aux différents caractéristiques neuros, génétiques, epigénetique, parcours de vie etc…pour apprendre à mieux se comprendre soi même et les autres. Cela nous permet de nous placer dans le « cosmos », l’univers humain…ou spectre …. Néanmoins, je m’interroge sur cette nécessité personnelle de « se trouver »…dans une succession de « diagnostics »…l’un derrière l’autre, l’un venant renouveler (?) l’assurance ou l’espoir (?) d’avoir enfin saisi la vérité nous concernant. Vérité expliquant le passé le présent et cristallisant notre futur dans nos relations avec les humains et ce monde. Comme ci, ces diagnostics n’étaient que le reflet du désir d’être aimé enfin, accepté tel que nous sommes et tel qu’ils sont aussi ? Et puis après quelques années, le miracle ne s’étant pas ou que partiellement accompli, concernant cette place à trouver dans cette humanité, il faille se replonger dans la recherche d’une autre explication à notre malaise, à nos différences, nos difficultés dans les rapports humains et conceptuels de ce monde difficile ? Personnellement, j’ai accepté d’acter le principe de « l’insolubilité » de mon essence avec celle du monde alentour, et surtout de ne plus la désirer ni vouloir être accepté, ni vouloir expliquer, ni essayer de changer les paradigmes séculaires et autres poncifs de la société humaine…concernant la diversité… Il y’a une forme de libération à ne plus vouloir être un mouton à 4 pattes et d’assumer ses cinq pattes. Même si ils ne comprennent ni acceptent ces différences. N’est ce pas aussi vouloir à tout prix être repéré dans la galaxie que forme les humains. Si chaque être humain est une étoile …l’univers est donc notre société…ou pas une seule étoile ne se situe aux mêmes coordonnées, à la même place et donc différents de tous les autres. Toutes ses atypies ne formeraient ainsi que des coordonnées multiples et infinies, des potentialités d’être humains infinis…alors pourquoi vouloir que l’on nous remarque dans le ciel ? Pourquoi chercher à se positionner en rapport aux autres ? Pourquoi croire que notre position dans ce Cosmos soit particulière ? Pourquoi Pourquoi etc… Il est vrai que l’univers est bien froid et on cherche à se rapprocher des autres pour avoir moins de frissons dans notre âme… Enfin, encore merci de votre investissement pour aider les étoiles plus excentriques ou décalées de notre cosmos humain… Fk 👋
@@wuit982 Bonjour Frank, Quel plaisir de vous lire ! Je comprends votre interrogation sur cette nécessité à se trouver dans des diagnostics. Pour ma part, je dirai que je ne me trouve pas dans les diagnostics mais plus que cela me permets d'éclairer mon fonctionnement global et donc de rentrer en profondeur dans ma nature. Et de m'y arrêter tranquillement, d'en goûter toute la saveur, de m'y installer. Ce n'est donc pas un besoin de reconnaissance ou de brillance sans fin, mais plus une nécessité à comprendre, à voir afin de mieux gérer, de mieux anticiper, d'oser davantage, de mieux aider, en toute simplicité. Et de demeurer. Mais vous soulevez des questions importantes qui mériteraient une vraie discussion...
@@helenelangloismeurinne bjr Hélène J’espère que je ne vous ai pas donné l’impression que je parlais de vous dans mes interrogations sur mon commentaire précédent…parfois mes idées disruptives donnent à penser 💭 que je suis dans le jugement d’autrui …mais ce n’est presque jamais le cas. Juste une forme de « candeur » comme vous en parler dans la 2e vidéo sur TSA… Je pressens quand même que l’énergie sous jacente à toutes nos recherches et connaissance de soi même est essentiellement puisée dans une forme de mal être au monde et aux gens… Mieux se connaître pour mieux vivre au sein d’une société « étrangère », basée sur les pensées des plus nombreux. Je pense que celui qui ne cherche pas comme nous sa vérité intérieure pour vivre en paix avec lui même et autrui, c’est qu’il n’a pas se mal être au fond de ses tripes. Cette personne vit relativement « bien » en un monde qu’elle ne ré interroge que lors d’événements de vie exceptionnels… Elle n’a pas le potentiel de poursuivre ses investigations ni le désir réel, et reviens à la case départ d’avant événement ou sombre …dépression,addictions, crises diverses (Une autre forme de malaise me direz vous …!) Les gens atypiques l’ont plus cette capacité à s’étudier en temps normal mais parfois limité aussi. D’où mes réflexions sur un cycle de diagnostics, comme des cures, pour aller mieux. Mais, le fond du problème existentiel de cette personne atypique n’est pas creusé suffisamment pour en venir à accepter sa place dans la cartographie, la galaxie qui nous contient, nous les humains. Il me semble que ses recherches personnelles psychologiques pour soi ou pour d’autres devraient apporter à la personne la paix. Purger cette personne de cette énergie sous jacente aux recherches neuro-cognitives. Atteindre un niveau de sérénité en rapport à soi même, aux autres dans l’empathie. Quelques soient les différences hp Hpi tdah tsa et autres joyeusetés, si celles ci nous maintiennent dans le mal-être, cela peut-il vouloir dire que nous n’avons pas encore bien compris ou accepté notre être et/ou notre place dans la galaxie humaine? La connaissance serait alors la clé pour être mieux ? Avons nous besoin de toute la connaissance sur nous même quand nous avons déjà compris cela ? Le niveau de conscience de nous même est à mon avis plus nécessaire, essentiel. Être capable de sortir de la maison pour voler autour d’elle et surtout de ne plus ressentir la nécessité d’y retourner à contre cœur. Comme vous l’expliquiez dans une de vos vidéos Hpi. Le choix d’y vivre dans cette maison alors lui appartient de plein droit et lorsqu’elle y reste, elle n’en souffre plus vraiment…elle est toujours quelque part en position méta dans son esprit…quelque soit son diagnostic…celui-ci n’a pas d’importance car dans la maison, il ne sera jamais vraiment bien compris ni respecté par la majorité. Le désir de Vouloir être accepté par la maison nourrit-il l’énergie sous jacente ? Alors, détachée de certains désirs, peut être que cette personne ressent la paix intérieure ? Quand pensez-vous ? Perso j’ai touché parfois cette état …et je vole de mieux en mieux ….😊 Encore merci de votre travail. Bien amicalement Fk
@@wuit982 Bonjour Frank, Je comprends ces moments de grâce qu'il vous arrivent de vivre (et moi aussi) où un détachement et une acceptation permettent de vivre une paix profonde. C'est merveilleux et c'est à cultiver, mais nous n'en n'avons pas le contrôle. Et puis il y a les autres moments ou même si le méta regard est là, nous sommes en prise avec nos besoins, notre sensibilité, notre vision des choses, et tout s'accroche peut-être...si nous sommes TSA cela est bien normal alors. Et la seule solution que je vois est d'accepter son propre fonctionnement, pour gérer sa vie autrement et ne plus attendre des autres ce qui n'est pas possible, en se protégeant, en s'organisant en fonction de soi, etc.. Comme si suite aux diagnostics il y avait tout un chemin d'intégration et de changement dans sa manière de vivre sa vie avec autrui, dans son travail; etc.. tout un programme de transformation pour aligner sa vie concrète et intérieure à cette nouvelle connaissance de soi. Au plaisir, bien à vous, H
Et si nous étions conscience aimante faisant expérience de la biodiversité? Le sans forme goûtant, s'identifiant, se perdant dans la forme? Et s'il n'y avait rien à craindre, rien à perdre, rien à comprendre? Et s'il suffisait de goûter, de se perdre, de vivre pleinement, se relier, se dechirer, rire et pleurer, souffrir et jouir, puis se réabsorber dans le sans forme?
Très compliqué est le diagnostique si pistes de TSA avec je viens de l'apprendre un THQI. Je devrais être fixé le 5 décembre... À 47 ans je découvre tout ça cette année, par hasard, lors d'une lecture du DSM5 pour compléter mes connaissances en psychiatrie. Bizarre tout ça...
Un syndrome, plusieurs composantes, à analyser tour à tour, jusqu'à la plus méconnue, la plus "difficile" à porter dans une société normée à environ 95%.
TDAH+HPI, et je découvre "réellement" avec la psy que le TSA peut être une de mes caractéristiques.
Très langagier. Très efficient. Mais un caractère trop différent qui m'a amené à être isolé et seul face à moi même pour cette découverte de moi. Merci à vous, car vos vidéos m'ont permis d'avancer vers beaucoup d'acceptation.
Bonjour, merci pour votre partage.
J'aime bien votre formulation "un syndrome plusieurs composantes". Car cela réunit, unifie les différents fonctionnements en un seul, avec différentes facettes. Et cette unité est beaucoup plus juste.
Et je compatis à votre solitude.
Belle continuation !
Bonjour a vous,helene, c'est un reel plaisir de pouvoir suivre votre video presente. On y aporends toujours des tas de choses utiles. Je voulais aussi vous suggerer concernant le sujet qye vous developpez dans cette video que vous proposez, sans chercher a m'immiscer dans votre reflexion personnelle, que nous pourrions tous peut-etre, qui saurait, et je n'en sais pas grand chose moi-meme dans le fond, omettre quelque chose qui eventuellement pourrait donner une appreciation mrilleure encore sur des sujets si delicats selon mon propre point de vue. Si ceka pourrait eventuellement vous interesser, j'ai pu perdonnellelent avancer dans ma recherche sur moi-meme, et j'ai fini par me redecouvrir. Mon probleme personnel etait certainement m du a la toxicite inherente a mon parcours personnel. Beaucoup de choses sur moi-mememl'etaient selon moi masquees par cette toxicite dans beaucpup de mes relations au quotidien. Je penserais que je dois avoir potentiellement un niveau thqi, mais l'empoisonnement toxique que je suis force de rencontrer regulierement inhiberait en bonne partie, lesdites caoacites que je detiendrais. Mon onjectif des lors serait de chercher a resoudre cette toxicite, En tout cas, je voukais vous dite que je oense etre plus heureux a present, de savoir plus precisement qui je pourrais etre dabs les faits. Je vous adresse mes salutations les plus cordiales helene, et a votre orochaine video !
Bonjour Claude,
Merci pour votre témoignage, où finalement j'y entends votre souhait et votre besoin de guérir de vos traumatismes, de cet empoisonnement toxique dont vous parlez. Or, la guérison psychologique se fait en grande partie en étant accompagné par quelqu'un de compétent. Car c'est au coeur d'une relation thérapeutique bienveillante que l'on peut peu à peu se libérer de ses entraves et de sa souffrance.
Bien à vous,
Coucou Hélène, agréable de te revoir. Très belle qualité de vidéo. Et tu es très belle aussi avec cette coiffure et ces lunettes. Bon cheminement sur les traces de l’autisme!🙏🌸🕊️🌱☀️✨
Coucou Gaëlle, merci de ton retour et de tes encouragements, c'est adorable !
A bientôt ...
Bonsoir Hélène. Content de vous réentendre !!
Je partage totalement votre questionnement sur soi en rapport aux différents caractéristiques neuros, génétiques, epigénetique, parcours de vie etc…pour apprendre à mieux se comprendre soi même et les autres. Cela nous permet de nous placer dans le « cosmos », l’univers humain…ou spectre ….
Néanmoins, je m’interroge sur cette nécessité personnelle de « se trouver »…dans une succession de « diagnostics »…l’un derrière l’autre, l’un venant renouveler (?) l’assurance ou l’espoir (?) d’avoir enfin saisi la vérité nous concernant. Vérité expliquant le passé le présent et cristallisant notre futur dans nos relations avec les humains et ce monde.
Comme ci, ces diagnostics n’étaient que le reflet du désir d’être aimé enfin, accepté tel que nous sommes et tel qu’ils sont aussi ?
Et puis après quelques années, le miracle ne s’étant pas ou que partiellement accompli, concernant cette place à trouver dans cette humanité, il faille se replonger dans la recherche d’une autre explication à notre malaise, à nos différences, nos difficultés dans les rapports humains et conceptuels de ce monde difficile ?
Personnellement, j’ai accepté d’acter le principe de « l’insolubilité » de mon essence avec celle du monde alentour, et surtout de ne plus la désirer ni vouloir être accepté, ni vouloir expliquer, ni essayer de changer les paradigmes séculaires et autres poncifs de la société humaine…concernant la diversité…
Il y’a une forme de libération à ne plus vouloir être un mouton à 4 pattes et d’assumer ses cinq pattes. Même si ils ne comprennent ni acceptent ces différences.
N’est ce pas aussi vouloir à tout prix être repéré dans la galaxie que forme les humains. Si chaque être humain est une étoile …l’univers est donc notre société…ou pas une seule étoile ne se situe aux mêmes coordonnées, à la même place et donc différents de tous les autres. Toutes ses atypies ne formeraient ainsi que des coordonnées multiples et infinies, des potentialités d’être humains infinis…alors pourquoi vouloir que l’on nous remarque dans le ciel ?
Pourquoi chercher à se positionner en rapport aux autres ? Pourquoi croire que notre position dans ce
Cosmos soit particulière ?
Pourquoi
Pourquoi etc…
Il est vrai que l’univers est bien froid et on cherche à se rapprocher des autres pour avoir moins de frissons dans notre âme…
Enfin, encore merci de votre investissement pour aider les étoiles plus excentriques ou décalées de notre cosmos humain…
Fk
👋
@@wuit982 Bonjour Frank,
Quel plaisir de vous lire !
Je comprends votre interrogation sur cette nécessité à se trouver dans des diagnostics.
Pour ma part, je dirai que je ne me trouve pas dans les diagnostics mais plus que cela me permets d'éclairer mon fonctionnement global et donc de rentrer en profondeur dans ma nature. Et de m'y arrêter tranquillement, d'en goûter toute la saveur, de m'y installer.
Ce n'est donc pas un besoin de reconnaissance ou de brillance sans fin, mais plus une nécessité à comprendre, à voir afin de mieux gérer, de mieux anticiper, d'oser davantage, de mieux aider, en toute simplicité. Et de demeurer.
Mais vous soulevez des questions importantes qui mériteraient une vraie discussion...
@@helenelangloismeurinne bjr Hélène
J’espère que je ne vous ai pas donné l’impression que je parlais de vous dans mes interrogations sur mon commentaire précédent…parfois mes idées disruptives donnent à penser 💭 que je suis dans le jugement d’autrui …mais ce n’est presque jamais le cas.
Juste une forme de « candeur » comme vous en parler dans la 2e vidéo sur TSA…
Je pressens quand même que l’énergie sous jacente à toutes nos recherches et connaissance de soi même est essentiellement puisée dans une forme de mal être au monde et aux gens…
Mieux se connaître pour mieux vivre au sein d’une société « étrangère », basée sur les pensées des plus nombreux.
Je pense que celui qui ne cherche pas comme nous sa vérité intérieure pour vivre en paix avec lui même et autrui, c’est qu’il n’a pas se mal être au fond de ses tripes. Cette personne vit relativement « bien » en un monde qu’elle ne ré interroge que lors d’événements de vie exceptionnels…
Elle n’a pas le potentiel de poursuivre ses investigations ni le désir réel, et reviens à la case départ d’avant événement ou sombre …dépression,addictions, crises diverses
(Une autre forme de malaise me direz vous …!)
Les gens atypiques l’ont plus cette capacité à s’étudier en temps normal mais parfois limité aussi. D’où mes réflexions sur un cycle de diagnostics, comme des cures, pour aller mieux. Mais, le fond du problème existentiel de cette personne atypique n’est pas creusé suffisamment pour en venir à accepter sa place dans la cartographie, la galaxie qui nous contient, nous les humains.
Il me semble que ses recherches personnelles psychologiques pour soi ou pour d’autres devraient apporter à la personne la paix. Purger cette personne de cette énergie sous jacente aux recherches neuro-cognitives. Atteindre un niveau de sérénité en rapport à soi même, aux autres dans l’empathie.
Quelques soient les différences hp Hpi tdah tsa et autres joyeusetés, si celles ci nous maintiennent dans le mal-être, cela peut-il vouloir dire que nous n’avons pas encore bien compris ou accepté notre être et/ou notre place dans la galaxie humaine?
La connaissance serait alors la clé pour être mieux ?
Avons nous besoin de toute la connaissance sur nous même quand nous avons déjà compris cela ?
Le niveau de conscience de nous même est à mon avis plus nécessaire, essentiel.
Être capable de sortir de la maison pour voler autour d’elle et surtout de ne plus ressentir la nécessité d’y retourner à contre cœur. Comme vous l’expliquiez dans une de vos vidéos Hpi.
Le choix d’y vivre dans cette maison alors lui appartient de plein droit et lorsqu’elle y reste, elle n’en souffre plus vraiment…elle est toujours quelque part en position méta dans son esprit…quelque soit son diagnostic…celui-ci n’a pas d’importance car dans la maison, il ne sera jamais vraiment bien compris ni respecté par la majorité.
Le désir de Vouloir être accepté par la maison nourrit-il l’énergie sous jacente ?
Alors, détachée de certains désirs, peut être que cette personne ressent la paix intérieure ?
Quand pensez-vous ?
Perso j’ai touché parfois cette état …et je vole de mieux en mieux ….😊
Encore merci de votre travail.
Bien amicalement
Fk
@@wuit982 Bonjour Frank,
Je comprends ces moments de grâce qu'il vous arrivent de vivre (et moi aussi) où un détachement et une acceptation permettent de vivre une paix profonde. C'est merveilleux et c'est à cultiver, mais nous n'en n'avons pas le contrôle.
Et puis il y a les autres moments ou même si le méta regard est là, nous sommes en prise avec nos besoins, notre sensibilité, notre vision des choses, et tout s'accroche peut-être...si nous sommes TSA cela est bien normal alors. Et la seule solution que je vois est d'accepter son propre fonctionnement, pour gérer sa vie autrement et ne plus attendre des autres ce qui n'est pas possible, en se protégeant, en s'organisant en fonction de soi, etc..
Comme si suite aux diagnostics il y avait tout un chemin d'intégration et de changement dans sa manière de vivre sa vie avec autrui, dans son travail; etc.. tout un programme de transformation pour aligner sa vie concrète et intérieure à cette nouvelle connaissance de soi.
Au plaisir,
bien à vous,
H
Et si nous étions conscience aimante faisant expérience de la biodiversité?
Le sans forme goûtant, s'identifiant, se perdant dans la forme?
Et s'il n'y avait rien à craindre, rien à perdre, rien à comprendre?
Et s'il suffisait de goûter, de se perdre, de vivre pleinement, se relier, se dechirer, rire et pleurer, souffrir et jouir, puis se réabsorber dans le sans forme?
Bonjour,
Oui c'est un peu cela !
Mais pour s'y abandonner peut-être que la prise de conscience et la compréhension sont nécessaires.
Très compliqué est le diagnostique si pistes de TSA avec je viens de l'apprendre un THQI. Je devrais être fixé le 5 décembre... À 47 ans je découvre tout ça cette année, par hasard, lors d'une lecture du DSM5 pour compléter mes connaissances en psychiatrie. Bizarre tout ça...
Oui, diagnostic complexe dans ce cas là !