Balzac, l'envers du décor - Le making-off
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- เผยแพร่เมื่อ 5 เม.ย. 2018
- L’équipe, dirigée d’une main de fer par la réalisatrice Josée Dayan, se lançait dans un défi difficile : réaliser en deux épisodes pour la télévision, la vie d’Honoré de Balzac, interprétée par Gérard Depardieu. Deux fois une heure et demie en trente cinq millimètres, un millier de figurants en costumes d’époques, une cinquantaine de décors à construire, pour une distribution de rêve en télévision : Gérard Depardieu, Jeanne Moreau, Fanny Ardent, Claude Rich, Virna Lisi… Nous avons tourné « Balzac en contrechamps » : le film du film.
- บันเทิง
Exceptionnel. Mille mercis pour ce reportage passionnant. Les gens tremblent devant la réalisatrice qui est très exigeante, normal, mais manque tellement de respect.
Magnifique Gérard ❤❤❤❤❤.
J’adore cette réalisatrice
quel travail !trés bons acteurs madame Dayan vous c' est formidable bravo
Bravo! Car, c'était Bravo cablé tv que j'ai vu ka série pour la première fois
Indecent milieu
Sinon la dayan elle est contente quand ?
Elle est rare et travaille elle se fout d'être aimée
@@sylviejacquemot6890 d'accord
Le tournage d'un film est la comédie humaine de Balzac. De gros bourges réalisateur, staf et stars bien payés et le petit peuple mal payé sont à leurs dispositions. Un plan au château, Dayan arrive dans sa jag et toutes les voitures des travailleurs du ciné tous inférieur à 10 000€.
Et le peuple va regarder ce film alors que lui vit au quotidien la comédie humaine dans sa chair, chacun à sa place. Ainsi va la vie sur terre. Balzac aurait détesté ce film. Sa réflexion : il n'ont rien compris à mon œuvre. Tout comme les gens de gauche n'ont rien compris à George Sand.
La gauche comprend-elle la vie? Non, ce sont des jouisseurs au quotidien. Des bourgeois perdu dans un monde qui les dépasse. Nous le peuple on ne comprend pas mieux, mais nous vivons humblement sans prétendre le connaître et nous n’exploitons pas notre prochain pour vivre mieux que lui.
Très poudrée, la Dayan. Franchement c'est ignoble de traiter ses subalternes de cette manière.
Quelle vulgarité cette Dayan !
Quelle vulgarité cette Dayan !