Ben Des, dans quel quartier de Lima vous habitez? Car pour faire telle affirmation j'imagine que vous y habitez. Ou, au moins y avoir vécu quelques temps.
Je suis francoperuvienne et j'ai vécu 12 ans au Pérou et ce documentaire est archi faux ! Déjà on ne connait pas ça comme le mur de la honte... Ça sort de l'imaginaire de ce reportage et deuxièment ce que l'on voit là, au Pérou, s'est ce que l'on surnomme des "invasions". Les invasions sont le résultat de personnes démunies qui construisent des cabanes ou même parfois des maisons sur des collines appartenants à l'Etat. C'est très dangereux d'ailleurs parce que Lima et le Pérou, en général, est un lieu sujet à de nombreux séismes ! Lima n'a pas eu un gros séisme depuis 200 ans et on l'attend; tôt ou tard il finira para arriver et toutes ces constructions illégales vont s'écrouler le long des collines et feront de nombreux morts ! De plus, ils disent qu'ils ne sont jamais de l'autre côté du mur ! C'est archi faux ! Il faut bien qu'ils déscendent leur colline pour acheter de quoi manger et travailler ! Ce documentaire est cousu de mensonges pour sensibiliser les personnes. D'ailleurs, étant avocate, au Pérou on a une loi qui régule ce genre de situation. Si une personne est en possession d'un terrain un certain nombre d'années, de manière pacifique et publique, c'est-à-dire connu de tous, et de manière illégitime, au bout de 30 ans si personne ne vient les déloger et bien ils deviendront propriétaires. Et ici c'est le cas de nombreux péruviens et c'est pour ça qu'ils vivent là et ne veulent pas partir ! Le mur a de nombreuses raisons: 1. Éviter que les invasions s'étendent parce que comme cela a été dit dans le reportage, ces terrains coûtent très cher. 2. Éviter les vols (l'entrée principale de las casuarinas exige la présentation de la carte d'identité. 3. Comme je l'ai expliqué, une fois qu'ils ont pris la possession du terrain, il est très difficil de les déloger. Ce reportage peut faire croire que les pauvres sont écartés de la société, alors que pas du tout. En général, les personnes pauvres vivent dans des quartiers comme San Juan de Lurigancho, San Martín de Porres, etc. Et il y a les fameuses invasions... Il ne faut pas confondre l'un avec l'autre !
@@chloebronnec9573 Dites-moi, en réalité c'est assez amusant, toujours le même constat ! Les personnes démunies se retrouvent toujours dans des habitats précaires, nocifs et dangereux pour leur santé, il faudrait quand même qu'ils réalisent que ce ne sont pas des conditions d'habitat convenables et amènes ! Plus sérieusement, est-ce que vous vous êtes déjà posé la question de la cause qui amènerait ces personnes à vivre dans cet endroit extrêmement dangereux et incommode ? Peut-être tout simplement car ils n'ont pas d'autre choix.
@@chloebronnec9573c'est vous qui mentez, le mur est bien appelé le Mur de la honte "el muro de la verguenza" , ma copine est péruvienne, elle vient d'un quartier pauvre de Chorillos, je pense que c'est de la mauvaise fois de votre part Mais il y a bien un problème avec les "invasions" comme dans tous les pays latinos il suffit de regarder La Paz, ce sont des problèmes politique dans des pays hyper centralisés où à l'extérieur des villes il n'y a aucune perspective, certains n'ont pas accès à l'école, à la santé etc.. il y a énormément à faire au Pérou et dans les autres pays, mais ce n'est pas en cachant le problème que ça va changer, au contraire ça va s'accentuer
Le mur n' est pas fait pour séparé les gens mais pour empêcher d'envahir la colline par l'autre côté, c'est vrai que ça fait la peine de voir des familles pauvres mais les permettre continuer a envahir c'est comme si l'on condamné a une morte sûre car c'est trop dangereux si un jour il y a un tremblement de terre. Comme la femme qui dit qu'avant il y avait rien, et ils ont commencé a envahir, pourquoi ils n'ont pas acheté dans un terrain plat habitable? Je suis péruvien et je sais qu'il y a des terrains en vente bien situé, un peu éloigné de la commune mais bien situé, mais non, ils ont préféré envahir près de la commune et ça ces sont les résultats...
La question est de savoir qui sont réellement les envahisseurs. Est-ce vraiment ceux qui vivent du côté pauvre (avec une majorité d'indigène)? Ou cette minorité de personnes riches (ministres, ambassadeurs venus d'ailleurs) qui se sont installés dans ce quartier "artificiel" et fermé? L'explosion démographique de Lima a inévitablement amené la population a construire et densifier davantage afin de pouvoir se loger (de façon légal ou non). Mais la construction du mur (construit sous la pression des personnes citées précédemment) amplifie largement ce phénomène au fil du temps. La haute sécurité instaurée dans ce quartier riche, avec villa, jardin et piscine, attire encore plus cette catégorie très aisée de la population et à l'inverse le mur contribue à isoler la partie pauvre et péjore encore plus leur situation (connexions et routes fortement réduites, pas de possibilité d'accéder aux infrastructures de la ville, accès aux soins et écoles faibles, voir inexistants ). Bien que le point de vue de chacun semble compréhensible, le mur n'avantage que la minorité aisée (argument de la sécurité) et prétérite fortement la vie de l'autre côté du mur, qui constitue la plus grande majorité. Si l'on prend l'argument de la sécurité, on pourrait ausi imaginer l'insécurité induite par ce mur. (Isolement, manque d'accès aux soins, accès impossible pour la police, futur infrastructures pour l'eau/électricité compromises... ). Ce mur a été construit car le poids des personnes aisées ou plus influentes est considéré comme supérieure.
@@lucash98 n'importe quoi... Tu devrais faire un tour à Lima et tu comprendrais mieux. Déjà, Las Casuarinas n'est pas le seul quartier aisé fermé et séparé des autres comme tu dis. Il y a un gros système de sécurité mis en place par la communauté dans Las Casuarinas... Oui certes mais c'est pour éviter les vols. Par contre tout le monde peut y rentrer en présentant sa carte d'identité à l'entrée principale. Ce système est mis en place pour éviter les vols. Cependant, ce n'est pas le seul quartier riche, loins de là ! Il y a la Molina, Villa, San Isidro (le centre financier de Lima), Surco, San Borja, La planicie, Miraflores, Barranco, une partie Magdalena, etc. Et les derniers que j'ai cité ont la particularité d'être des quartiers ouverts avec des centres commercials etc. Miraflores est d'ailleurs très touristique et Barranco aussi. Les pauvres ont tendance à Vivre dans des quartiers plus dangereux comme San Martín de Porres, San Juan de Lurigancho, etc. Là, ces personnes dans ce reportage se sont tout simplement des invasions. Ils possèdent un terrain illégitimement. Il ne faut pas confondre l'invasion avec la pauvreté ! Ils peuvent très bien acheter des terrains pas chef ou louer, comme le font la plupart des péruviens. Eux ils préfèrent l'invasion parcequ'ils deviendront propriétaires au bout de 30 ans de possession de manière pacifique et publique, si personne n'essaye de les déloger. Ils ne sont pas cons hein...
@@chloebronnec9573 Je te remercie pour ta réponse. J'ai vécu et travaillé dans un bureau d'architecture à Lima et la structure de cette ville nécessite de grandes stratégies de planification pour résoudre tous ces enjeux. Mais les murs ne seront jamais la solution et péjorent beaucoup plus la qualité de vie des gens que l'inverse. Puis-je te demander de quel côté du mur vis-tu ? Ta réponse me semble très partiale.
Ces gens n'ont, de par leur situation économique et sociale, généralement peu voire aucun moyen d'accès à la contraception et encore moins à l'avortement. Ce qui peut notamment expliquer la croissance démographique de ces populations démunies. Rassurez-vous, les personnes riches font sûrement tout autant, peut-être même plus "ngolo ngolo", mais contrairement aux autres, elles peuvent bénéficier des diverses formes de contraception.
Super le violoniste sur son balcon.... c'est émotionant! Excellent journalisme...heureusement ça existe encore!
saben si esta subtiulada este docuemental
voyager et profiter des autres quelle tristesse les je me moi
Quelle tristesse et quelle situation désastreuse...une de plus...
je me demande combien il yen a au total...
qui regarde cette vidéo grace a mr richard ?
Respecter les règles qu'eux .établissent... bien sûr!
Pérou pays raciste
Pauvre ou riche, ils mourront tous pareil. Dieu n'aime pas les riches plus que les pauvres, ils sont tous pareil au yeux du créateur.
Un reportage complètement faux. Et pourquoi aller si loin puisqu’en France on a la même chose ?
Ben Des, dans quel quartier de Lima vous habitez? Car pour faire telle affirmation j'imagine que vous y habitez. Ou, au moins y avoir vécu quelques temps.
Je suis francoperuvienne et j'ai vécu 12 ans au Pérou et ce documentaire est archi faux ! Déjà on ne connait pas ça comme le mur de la honte... Ça sort de l'imaginaire de ce reportage et deuxièment ce que l'on voit là, au Pérou, s'est ce que l'on surnomme des "invasions". Les invasions sont le résultat de personnes démunies qui construisent des cabanes ou même parfois des maisons sur des collines appartenants à l'Etat. C'est très dangereux d'ailleurs parce que Lima et le Pérou, en général, est un lieu sujet à de nombreux séismes ! Lima n'a pas eu un gros séisme depuis 200 ans et on l'attend; tôt ou tard il finira para arriver et toutes ces constructions illégales vont s'écrouler le long des collines et feront de nombreux morts ! De plus, ils disent qu'ils ne sont jamais de l'autre côté du mur ! C'est archi faux ! Il faut bien qu'ils déscendent leur colline pour acheter de quoi manger et travailler ! Ce documentaire est cousu de mensonges pour sensibiliser les personnes. D'ailleurs, étant avocate, au Pérou on a une loi qui régule ce genre de situation. Si une personne est en possession d'un terrain un certain nombre d'années, de manière pacifique et publique, c'est-à-dire connu de tous, et de manière illégitime, au bout de 30 ans si personne ne vient les déloger et bien ils deviendront propriétaires. Et ici c'est le cas de nombreux péruviens et c'est pour ça qu'ils vivent là et ne veulent pas partir ! Le mur a de nombreuses raisons: 1. Éviter que les invasions s'étendent parce que comme cela a été dit dans le reportage, ces terrains coûtent très cher. 2. Éviter les vols (l'entrée principale de las casuarinas exige la présentation de la carte d'identité. 3. Comme je l'ai expliqué, une fois qu'ils ont pris la possession du terrain, il est très difficil de les déloger.
Ce reportage peut faire croire que les pauvres sont écartés de la société, alors que pas du tout. En général, les personnes pauvres vivent dans des quartiers comme San Juan de Lurigancho, San Martín de Porres, etc. Et il y a les fameuses invasions... Il ne faut pas confondre l'un avec l'autre !
@@chloebronnec9573 Dites-moi, en réalité c'est assez amusant, toujours le même constat ! Les personnes démunies se retrouvent toujours dans des habitats précaires, nocifs et dangereux pour leur santé, il faudrait quand même qu'ils réalisent que ce ne sont pas des conditions d'habitat convenables et amènes !
Plus sérieusement, est-ce que vous vous êtes déjà posé la question de la cause qui amènerait ces personnes à vivre dans cet endroit extrêmement dangereux et incommode ?
Peut-être tout simplement car ils n'ont pas d'autre choix.
@@chloebronnec9573c'est vous qui mentez, le mur est bien appelé le Mur de la honte "el muro de la verguenza" , ma copine est péruvienne, elle vient d'un quartier pauvre de Chorillos, je pense que c'est de la mauvaise fois de votre part
Mais il y a bien un problème avec les "invasions" comme dans tous les pays latinos il suffit de regarder La Paz, ce sont des problèmes politique dans des pays hyper centralisés où à l'extérieur des villes il n'y a aucune perspective, certains n'ont pas accès à l'école, à la santé etc.. il y a énormément à faire au Pérou et dans les autres pays, mais ce n'est pas en cachant le problème que ça va changer, au contraire ça va s'accentuer
🇭🇹🇭🇹🇭🇹🇭🇹🇭🇹🇭🇹🇭🇹🇭🇹🇭🇹🇭🇹👍💯
Pour quoi tu ramène se drapeau ici
v
Le mur n' est pas fait pour séparé les gens mais pour empêcher d'envahir la colline par l'autre côté, c'est vrai que ça fait la peine de voir des familles pauvres mais les permettre continuer a envahir c'est comme si l'on condamné a une morte sûre car c'est trop dangereux si un jour il y a un tremblement de terre.
Comme la femme qui dit qu'avant il y avait rien, et ils ont commencé a envahir, pourquoi ils n'ont pas acheté dans un terrain plat habitable? Je suis péruvien et je sais qu'il y a des terrains en vente bien situé, un peu éloigné de la commune mais bien situé, mais non, ils ont préféré envahir près de la commune et ça ces sont les résultats...
La question est de savoir qui sont réellement les envahisseurs. Est-ce vraiment ceux qui vivent du côté pauvre (avec une majorité d'indigène)? Ou cette minorité de personnes riches (ministres, ambassadeurs venus d'ailleurs) qui se sont installés dans ce quartier "artificiel" et fermé?
L'explosion démographique de Lima a inévitablement amené la population a construire et densifier davantage afin de pouvoir se loger (de façon légal ou non). Mais la construction du mur (construit sous la pression des personnes citées précédemment) amplifie largement ce phénomène au fil du temps. La haute sécurité instaurée dans ce quartier riche, avec villa, jardin et piscine, attire encore plus cette catégorie très aisée de la population et à l'inverse le mur contribue à isoler la partie pauvre et péjore encore plus leur situation (connexions et routes fortement réduites, pas de possibilité d'accéder aux infrastructures de la ville, accès aux soins et écoles faibles, voir inexistants ).
Bien que le point de vue de chacun semble compréhensible, le mur n'avantage que la minorité aisée (argument de la sécurité) et prétérite fortement la vie de l'autre côté du mur, qui constitue la plus grande majorité. Si l'on prend l'argument de la sécurité, on pourrait ausi imaginer l'insécurité induite par ce mur. (Isolement, manque d'accès aux soins, accès impossible pour la police, futur infrastructures pour l'eau/électricité compromises... ).
Ce mur a été construit car le poids des personnes aisées ou plus influentes est considéré comme supérieure.
@@lucash98 n'importe quoi... Tu devrais faire un tour à Lima et tu comprendrais mieux. Déjà, Las Casuarinas n'est pas le seul quartier aisé fermé et séparé des autres comme tu dis. Il y a un gros système de sécurité mis en place par la communauté dans Las Casuarinas... Oui certes mais c'est pour éviter les vols. Par contre tout le monde peut y rentrer en présentant sa carte d'identité à l'entrée principale. Ce système est mis en place pour éviter les vols. Cependant, ce n'est pas le seul quartier riche, loins de là ! Il y a la Molina, Villa, San Isidro (le centre financier de Lima), Surco, San Borja, La planicie, Miraflores, Barranco, une partie Magdalena, etc. Et les derniers que j'ai cité ont la particularité d'être des quartiers ouverts avec des centres commercials etc. Miraflores est d'ailleurs très touristique et Barranco aussi. Les pauvres ont tendance à Vivre dans des quartiers plus dangereux comme San Martín de Porres, San Juan de Lurigancho, etc. Là, ces personnes dans ce reportage se sont tout simplement des invasions. Ils possèdent un terrain illégitimement. Il ne faut pas confondre l'invasion avec la pauvreté ! Ils peuvent très bien acheter des terrains pas chef ou louer, comme le font la plupart des péruviens. Eux ils préfèrent l'invasion parcequ'ils deviendront propriétaires au bout de 30 ans de possession de manière pacifique et publique, si personne n'essaye de les déloger. Ils ne sont pas cons hein...
@@chloebronnec9573 Je te remercie pour ta réponse. J'ai vécu et travaillé dans un bureau d'architecture à Lima et la structure de cette ville nécessite de grandes stratégies de planification pour résoudre tous ces enjeux. Mais les murs ne seront jamais la solution et péjorent beaucoup plus la qualité de vie des gens que l'inverse. Puis-je te demander de quel côté du mur vis-tu ? Ta réponse me semble très partiale.
Que voulez vous? Ils s'ennuient, sans travail, alors ils font ngolo ngolo dans la case et les enfants arrivent les uns après les autres
Ces gens n'ont, de par leur situation économique et sociale, généralement peu voire aucun moyen d'accès à la contraception et encore moins à l'avortement. Ce qui peut notamment expliquer la croissance démographique de ces populations démunies.
Rassurez-vous, les personnes riches font sûrement tout autant, peut-être même plus "ngolo ngolo", mais contrairement aux autres, elles peuvent bénéficier des diverses formes de contraception.