Mille mercis, voix inconnue, pour tes podcast et leurs contenus; leur forme simple, claire et accessible, et cette voix grave, juste et envoutante, me ramènent en une certaine époque où les médias mêlaient volontiers pensée et quête de vérité.. (radiophonie, documentaires et films des années 50 60 et milieu 70) merci merci merci...
Je suis d’accord avec les personas, nous en avons tous une qui est unique. Mais la part d’ombre que nous avons tous, et qu’il faut aussi savoir révéler pour s’accomplir il est vrai, a une limite : elle ne peut transcender les contraintes législatives, au risque d’apporter plus d’ennuis que de plaisirs. Elle ne peut donc que transpercer le cadre moral afin d’être bénéfique (malgré quelques réprimandes), ce qui se rapproche plus de la conception du surhomme de Nietzsche « ce qui ne tue pas rend plus fort ». Et puis aussi et surtout, être soi-même en tant que persona pure ne signifie pas forcément être heureux. J’insiste sur ce point. Si ma persona est trop en décalage avec la société ou si elle ne m’y apporte pas ce que je suis venu y chercher, même si je suis en parfait accord avec moi-même, j’ai peu de chances d’être heureux. Exemple : une persona simplette et introvertie qui cherche des sensations fortes dans sa vie va devoir sortir de sa persona afin d’accéder à cette équilibre. Autre exemple : une persona fantasque et expansive qui recherche l’amour sincère et stable va devoir sortir de sa persona aussi. Effectivement, il y a un certain bonheur à se trouver, l’angoisse disparaît, mais l’ennui et l’insatisfaction prennent le relais : nous ne nous contentons jamais de ce que nous avons. Peut-être que les clés du bonheur sont alors aussi à chercher dans une forme de sagesse, en même temps que de se donner les moyens de vivre ce que l’on a envie de vivre. Alors oui, il faut se chercher, se trouver, s’accepter et définir la limite opérationnelle de notre persona, mais ça ne s’arrête pas là. Il faut ensuite user de sagesse et/ou choisir un chemin qui nous est propre afin de nous accomplir pleinement. Concernant la sagesse, les cultures orientales ont tellement poussé le bouchon à ce sujet qu’elles décorrèlent l’action et le bonheur : pour être heureux, pas besoin de faire, de devenir quelqu’un, de s’accomplir par l’action... On peut être heureux par la médiation, la contemplation (même si on voit que le modèle de bonheur occidental par l’action a pris le dessus, voir « la tentation de l’occident » d’André Malraux à ce propos, certainement pour des raison neurobiologiques trop longue à étayer ici, lire « le bug humain » de Sébastien Bohler vous permettra peut-être de faire le lien). Je pense que Jung est une étape indispensable, mais pas exhaustive. On est pas « heureux » une fois le processus d’individuation terminé et notre part d’ombre ne peut jamais totalement s’exprimer. Il y a un travail derrière et les neurosciences prennent le relais actuellement, nous proposant des exercices afin d’affiner notre sagesse, notre pleine conscience, notre capacité à diriger notre vie et notre propension à rendre la quotidien merveilleux, qui sont autant de voies vers le bonheur. Ce que disent les neurosciences finalement est que le bonheur est une chose au moins autant collective qu’individuelle, sans que cela ai rien à voir avec l’inconscient collectif Jungien évidemment (ne pas confondre).
Merci. Ce n'est pas mon cas, mais dans le secteur du bâtiment financé, budgetise.... architectes, dirigeants des travaux....des attitudes malveillantes ...le pouvoir inhumain à finaliser des travaux énergivores dans les banlieues....les relations sont déséquilibrées ce qui nuit à l'organisation harmonieuse...ce qui déséquilibré le bien être du citoyen dépassé par un changement architectural...les résidents présentent une névrose....les réclamations pour mieux gérer les nuisances sont effacées ! Un vide au point de la résignation et subir le pouvoir malveillants qui refoule des services de bien être programmés légalement ??fatigue, nervosité....la déshumanisation au profit du bizness barbare et de clandestinité ouvrière, un déni des résidents qui se renferment dur eux-même ....comme 1 fatalité sociale...guerre de chantier...
Croire en sa théorie basée sur des croyances mettant en avant des entités supérieures à l'homme et réfuter, par ailleurs, l'existence d'un seul Dieu. Ah, l'homme.. aucune logique.
Je ne vois pas du tout en quoi cela n'a aucune logique au contraire si l'ont croie en des entités supérieures a l'homme en quoi cela fait il d'elles des non dieux?Et même si ces entités comme les humains découlent d'un même être unique la multiplicité de ses créations sont donc elles mêmes divines.
Aucun logique au vu de la société dans laquelle il a évolué et au vu de sa volonté de scientifiser une idée qui n'entre pas dans ce modèle sociétal puisqu'elle ne tient sur absolument rien, à condition de croire en Dieu.@@dieodd9866 Voilà, ça, c'est de la schizophrénie.
Une chaîne d’utilité publique, et la voix off au top du top ! Merci 🙏
Mille mercis, voix inconnue, pour tes podcast et leurs contenus; leur forme simple, claire et accessible, et cette voix grave, juste et envoutante, me ramènent en une certaine époque où les médias mêlaient volontiers pensée et quête de vérité.. (radiophonie, documentaires et films des années 50 60 et milieu 70) merci merci merci...
Je viens de découvrir j'aime le fond, la forme, la voix, et Jung bien sûr, cet être génial... Bravo 🎉
Merci infiniment pour ce podcast clair et ô combien passionnant ❤️🔥
Merci pour cette présentation claire 🙏
Je suis d’accord avec les personas, nous en avons tous une qui est unique.
Mais la part d’ombre que nous avons tous, et qu’il faut aussi savoir révéler pour s’accomplir il est vrai, a une limite : elle ne peut transcender les contraintes législatives, au risque d’apporter plus d’ennuis que de plaisirs. Elle ne peut donc que transpercer le cadre moral afin d’être bénéfique (malgré quelques réprimandes), ce qui se rapproche plus de la conception du surhomme de Nietzsche « ce qui ne tue pas rend plus fort ».
Et puis aussi et surtout, être soi-même en tant que persona pure ne signifie pas forcément être heureux. J’insiste sur ce point. Si ma persona est trop en décalage avec la société ou si elle ne m’y apporte pas ce que je suis venu y chercher, même si je suis en parfait accord avec moi-même, j’ai peu de chances d’être heureux. Exemple : une persona simplette et introvertie qui cherche des sensations fortes dans sa vie va devoir sortir de sa persona afin d’accéder à cette équilibre. Autre exemple : une persona fantasque et expansive qui recherche l’amour sincère et stable va devoir sortir de sa persona aussi.
Effectivement, il y a un certain bonheur à se trouver, l’angoisse disparaît, mais l’ennui et l’insatisfaction prennent le relais : nous ne nous contentons jamais de ce que nous avons. Peut-être que les clés du bonheur sont alors aussi à chercher dans une forme de sagesse, en même temps que de se donner les moyens de vivre ce que l’on a envie de vivre.
Alors oui, il faut se chercher, se trouver, s’accepter et définir la limite opérationnelle de notre persona, mais ça ne s’arrête pas là. Il faut ensuite user de sagesse et/ou choisir un chemin qui nous est propre afin de nous accomplir pleinement.
Concernant la sagesse, les cultures orientales ont tellement poussé le bouchon à ce sujet qu’elles décorrèlent l’action et le bonheur : pour être heureux, pas besoin de faire, de devenir quelqu’un, de s’accomplir par l’action... On peut être heureux par la médiation, la contemplation (même si on voit que le modèle de bonheur occidental par l’action a pris le dessus, voir « la tentation de l’occident » d’André Malraux à ce propos, certainement pour des raison neurobiologiques trop longue à étayer ici, lire « le bug humain » de Sébastien Bohler vous permettra peut-être de faire le lien).
Je pense que Jung est une étape indispensable, mais pas exhaustive. On est pas « heureux » une fois le processus d’individuation terminé et notre part d’ombre ne peut jamais totalement s’exprimer. Il y a un travail derrière et les neurosciences prennent le relais actuellement, nous proposant des exercices afin d’affiner notre sagesse, notre pleine conscience, notre capacité à diriger notre vie et notre propension à rendre la quotidien merveilleux, qui sont autant de voies vers le bonheur.
Ce que disent les neurosciences finalement est que le bonheur est une chose au moins autant collective qu’individuelle, sans que cela ai rien à voir avec l’inconscient collectif Jungien évidemment (ne pas confondre).
Merci!
Excellente vidéo Merci beaucoup
J'adore ❤
Le long chemin de Shamata bouddhiste tibétain qui mène à soi , le long chemin d' individuation 💞
Il était bouddhiste youg?
@@reneev4141 je ne pense pas
Gros travail sur soi
Waw je dois revoir la vidéo pour mieux l'appréhender
Merci!
❣
Juste
5:09
Merci. Ce n'est pas mon cas, mais dans le secteur du bâtiment financé, budgetise.... architectes, dirigeants des travaux....des attitudes malveillantes ...le pouvoir inhumain à finaliser des travaux énergivores dans les banlieues....les relations sont déséquilibrées ce qui nuit à l'organisation harmonieuse...ce qui déséquilibré le bien être du citoyen dépassé par un changement architectural...les résidents présentent une névrose....les réclamations pour mieux gérer les nuisances sont effacées ! Un vide au point de la résignation et subir le pouvoir malveillants qui refoule des services de bien être programmés légalement ??fatigue, nervosité....la déshumanisation au profit du bizness barbare et de clandestinité ouvrière, un déni des résidents qui se renferment dur eux-même ....comme 1 fatalité sociale...guerre de chantier...
Le faux self?
Croire en sa théorie basée sur des croyances mettant en avant des entités supérieures à l'homme et réfuter, par ailleurs, l'existence d'un seul Dieu. Ah, l'homme.. aucune logique.
Je ne vois pas du tout en quoi cela n'a aucune logique au contraire si l'ont croie en des entités supérieures a l'homme en quoi cela fait il d'elles des non dieux?Et même si ces entités comme les humains découlent d'un même être unique la multiplicité de ses créations sont donc elles mêmes divines.
Aucun logique au vu de la société dans laquelle il a évolué et au vu de sa volonté de scientifiser une idée qui n'entre pas dans ce modèle sociétal puisqu'elle ne tient sur absolument rien, à condition de croire en Dieu.@@dieodd9866 Voilà, ça, c'est de la schizophrénie.
La théière dans l’espace chacal