je suis en train d'apprendre le français et cette émission est vraiment l'une de mes préférées. Merci à Madame Gilbert d’éclairer tous ces doutes-là toujours d'une façon très amusante. C'est tellement encourageant !
par rapport au "on", on a la même chose avec vous : Vous êtes joli (si on parle à une personne hommes). Vous êtes jolies (si on parle à plusieurs femmes).
Qui décide légalement, comment doit s’écrire et prononcer le Français. Comment font les Suisses romands,les Belges wallons, les Québécois.Sans oublier les francophones d’autre pays.
@@IA_Information_ParisLes hommes aussi vont chez le coiffeur. Si tu veux dire par là que la femme en question va trouver le coiffeur afin de livrer à des ébats sexuels avec lui - allusion très fine à la vache qui va "au taureau", à la chèvre qui va "au bouc", etc... - là on dira "elle va voir son amant le coiffeur", ou quelque chose dans le genre. Ta réponse n'a pour seul but que d'essayer d'avoir le dernier mot pour te rendre intéressant.
Concernant le pléonasme aujourd’hui et l’horrible expression à la mode utilisée par les petits potentats « au jour d’aujourd’hui », je voudrais juste vous faire remarquer que dans une autre langue venant du latin comme la nôtre, l’espagnol, aujourd’hui, se dit hoy, donc vraisemblablement bien plus proche de hui.
Aïe ! A 17:50, le présentateur de la radio dit : « et Céline, elle n’est pas prête d’oublier ». Horreur ! Horrible pataquès ! On ne dit pas, elle n’est pas prête de, mais elle n’est pas près de. On peut dire, je ne suis pas prête à partir, mais on dit je ne suis pas près de partir, ce qui ne signifie pas tout à fait la même chose. D’ailleurs, en anglais on dit ready pour prêt à et Close to pour près de.
Bonjour, question pour madame Gilbert à propos du on / nous : comme nous devons écrire : on est allés au cinéma, devons nous écrire aussi : on allons au cinéma ? bien à vous
L'éclaircissement de ON, c'est juste. Mais quelle horreur d'entendre que il, elle , on sont des articles!!!!!!! Ce sont des pronoms personnels ! La grammaire aurait-elle changé ?
Oui, en probabilité (mathématiques), on utilise le mot CHANCE. Donc, si vous avez un tempérament scientifique et que vous avez une perception neutre de la vie, vous pouvez utiliser le mot CHANCE, et si vous préférez exprimer votre subjectivité, alors vous choisirez entre "chance" et "risque". Alors... le médecin utilisera volontiers : 60% de chance de mourir, car lui, il exprime une statistique objective. Par contre, quand vous allez évoquer une opération risquée avec vos proches, vous utiliserez plus le mot "risque". Tout ça, c'est des habitudes, et ça nous rappelle que chaque mot, au-delà de l'usage général et de la définition du dictionnaire, chaque personne ressent chaque mot à sa manière. Comme j'ai fait des statistique au lycée, utilisez le mot chance pour exprimer une probabilité, même tragique, ne me dérange pas du tout. :)
En tant qu’Américaine, il me semble que le phrase « de coup » en français est très semblable à « like » en anglais pour les jeunes. Je déteste vraiment cela.
@olivierguille4688 Pour ce qui est de l'origine (oui, les réponses précédentes à votre question sont complètement hors sujet), de mémoire, cette règle de l'accord du participe passé avec le COD seulement s'il est placé avant serait une importation (emprunt) de la langue italienne à la Renaissance. Nos érudits de l'époque l'auraient trouvée raffinée et logique. Sauf qu'en italien, cet accord est beaucoup plus intuitif et spontané qu'en français puisque les marques du féminin et des pluriels s'entendent à l'oral grâce à des variations vocaliques (mangiato, mangiata, mangiati, mangiate) alors qu'en français, la plupart du temps, cette différence ne se voit qu'à l'écrit (mangé, mangée, mangés, mangées). Après, en soi, la règle n'est pas "débile" du tout puisque qu'elle permet d'accorder le participe passé en genre et en nombre avec l'objet auquel il se rapporte, selon la même logique que lorsque le participe passé est attribut du sujet avec l'auxiliaire "être" (ce que Mme Gilbert explique très bien dans cette vidéo avec le petit "truc" qu'elle recommande). On la retrouve d'ailleurs également dans d'autres langues romanes, comme le catalan.
@@sergio9500Et la règle est aussi logique d'autant qu'on ne peut accorder en genre et en nombre que si on dispose de l'information. Par contre, pour ce qui est de partir en défaut avec le masculin et le singulier, je n'y comprends rien.
Madame Gilbert l'explique en partie dans cette émission : cela provient des moines copistes. Lorsque l'objet de la phrase précédait le verbe, il était plus simple d'accorder le participe passé, car l'objet était déjà écrit. En revanche, si l'objet restait à écrire, l'accord ne se faisait pas.
je suis en train d'apprendre le français et cette émission est vraiment l'une de mes préférées. Merci à Madame Gilbert d’éclairer tous ces doutes-là toujours d'une façon très amusante. C'est tellement encourageant !
Chouette cette émission ça mériterait de continuer.👍
Arnaud, Hoedt et Jérôme Piron sont, je suis heureux de vous l’entendre dire, madame, des personnages très amusants, au sens, noble du terme.
Vraiment top ! Merci 🙏
par rapport au "on", on a la même chose avec vous :
Vous êtes joli (si on parle à une personne hommes). Vous êtes jolies (si on parle à plusieurs femmes).
Très fun !😊
.Merci merci beacoup!!!!!
Merci
pourquoi pas sous titres svp?
Qui décide légalement, comment doit s’écrire et prononcer le Français. Comment font les Suisses romands,les Belges wallons, les Québécois.Sans oublier les francophones d’autre pays.
Merciii
Excelente Partage!!
Interessant. A condition de ne pas tomber trop souvent dans des questions du genre " on va au ou chez le coiffeur ? ". 😅
Ça dépend de la relation que la femme a avec son coiffeur !!
@@IA_Information_ParisLes hommes aussi vont chez le coiffeur.
Si tu veux dire par là que la femme en question va trouver le coiffeur afin de livrer à des ébats sexuels avec lui - allusion très fine à la vache qui va "au taureau", à la chèvre qui va "au bouc", etc... - là on dira "elle va voir son amant le coiffeur", ou quelque chose dans le genre. Ta réponse n'a pour seul but que d'essayer d'avoir le dernier mot pour te rendre intéressant.
Il n’y a pas de sous-titres. C’est dommage
Concernant le pléonasme aujourd’hui et l’horrible expression à la mode utilisée par les petits potentats « au jour d’aujourd’hui », je voudrais juste vous faire remarquer que dans une autre langue venant du latin comme la nôtre, l’espagnol, aujourd’hui, se dit hoy, donc vraisemblablement bien plus proche de hui.
Aïe ! A 17:50, le présentateur de la radio dit : « et Céline, elle n’est pas prête d’oublier ». Horreur ! Horrible pataquès ! On ne dit pas, elle n’est pas prête de, mais elle n’est pas près de. On peut dire, je ne suis pas prête à partir, mais on dit je ne suis pas près de partir, ce qui ne signifie pas tout à fait la même chose. D’ailleurs, en anglais on dit ready pour prêt à et Close to pour près de.
❤❤❤
pourpuoi pas les sous-titres
Donc, si j'inverse je n'accorde pas? Tu as acheté combien de robes?
Bonjour, question pour madame Gilbert à propos du on / nous : comme nous devons écrire : on est allés au cinéma, devons nous écrire aussi : on allons au cinéma ? bien à vous
on va
Est-ce correct de prononcer le Z quand on dit sansZ S?
Oui, comme on dit "deux(z) L" (L se dit "èle".)
L'éclaircissement de ON, c'est juste. Mais quelle horreur d'entendre que il, elle , on sont des articles!!!!!!! Ce sont des pronoms personnels !
La grammaire aurait-elle changé ?
Une "horreur", carrément !
Oui, en probabilité (mathématiques), on utilise le mot CHANCE. Donc, si vous avez un tempérament scientifique et que vous avez une perception neutre de la vie, vous pouvez utiliser le mot CHANCE, et si vous préférez exprimer votre subjectivité, alors vous choisirez entre "chance" et "risque". Alors... le médecin utilisera volontiers : 60% de chance de mourir, car lui, il exprime une statistique objective. Par contre, quand vous allez évoquer une opération risquée avec vos proches, vous utiliserez plus le mot "risque".
Tout ça, c'est des habitudes, et ça nous rappelle que chaque mot, au-delà de l'usage général et de la définition du dictionnaire, chaque personne ressent chaque mot à sa manière.
Comme j'ai fait des statistique au lycée, utilisez le mot chance pour exprimer une probabilité, même tragique, ne me dérange pas du tout. :)
Ah! la radio de papa...
Elle parte três vite!
Moi je m'interroge plutôt du pourquoi on écrit "robes" - donc au pluriel?
-> est-ouest ? avec un tiret?
SOUS-TITRES SVP !!!
19:43 Entendre l'horrible "toutes celles-z'et-ceux" dans une émission qui parle du français normatif...
Le "toutes" est fautif dans la mesure où il inclut du masculin à sa suite, mais la liaison demeure correcte.
malheusement il y pas des surtitres dans la video
En tant qu’Américaine, il me semble que le phrase « de coup » en français est très semblable à « like » en anglais pour les jeunes. Je déteste vraiment cela.
Si quelqu'un pouvait m'expliquer L'ORIGINE de cette règle "débile" de l'accord ou pas du participe passé avec l'auxiliaire avoir,merci.
@@Steph_L1598 La question était pas comment mais L'ORIGINE ou si vous préférez pourquoi. Merci de votre réponse. C'est pas compliqué, n'est ce pas.
@olivierguille4688
Pour ce qui est de l'origine (oui, les réponses précédentes à votre question sont complètement hors sujet), de mémoire, cette règle de l'accord du participe passé avec le COD seulement s'il est placé avant serait une importation (emprunt) de la langue italienne à la Renaissance. Nos érudits de l'époque l'auraient trouvée raffinée et logique.
Sauf qu'en italien, cet accord est beaucoup plus intuitif et spontané qu'en français puisque les marques du féminin et des pluriels s'entendent à l'oral grâce à des variations vocaliques (mangiato, mangiata, mangiati, mangiate) alors qu'en français, la plupart du temps, cette différence ne se voit qu'à l'écrit (mangé, mangée, mangés, mangées).
Après, en soi, la règle n'est pas "débile" du tout puisque qu'elle permet d'accorder le participe passé en genre et en nombre avec l'objet auquel il se rapporte, selon la même logique que lorsque le participe passé est attribut du sujet avec l'auxiliaire "être" (ce que Mme Gilbert explique très bien dans cette vidéo avec le petit "truc" qu'elle recommande).
On la retrouve d'ailleurs également dans d'autres langues romanes, comme le catalan.
@@sergio9500Et la règle est aussi logique d'autant qu'on ne peut accorder en genre et en nombre que si on dispose de l'information. Par contre, pour ce qui est de partir en défaut avec le masculin et le singulier, je n'y comprends rien.
Madame Gilbert l'explique en partie dans cette émission : cela provient des moines copistes. Lorsque l'objet de la phrase précédait le verbe, il était plus simple d'accorder le participe passé, car l'objet était déjà écrit. En revanche, si l'objet restait à écrire, l'accord ne se faisait pas.