Merci pour vos commentaires. J’aime ce mot de Christian Bobin : « Pour lire un roman, il faut deux ou trois heures. Pour lire un poème, il faut une vie entière », tellement sa compréhension, les interprétations et les approches peuvent être différentes. Laisser une place à l’autre, à l’oreille qui vous fait le don de son écoute.
Qqqaaaaرأيت ما كنت أخشى أن أراه ..... هنا في البحر البارد و شمس النحاس نتعلم إن الموت شكل من أشكال الحياة و أركع كإمرأة ...... أنا الرجوع الى الماضي كمركب محمور بين الامواج ....... أنا الدي ارتعش ... رأيت مئات المآدن ..... و أشبه الفراشة عندما تعرق في التعاسة و تهجر شفاه الزهر
Superbe interprétation du poème célèbre d'Arthur Rimbaud. Tout y est : le souffle, la retenue, la densité, le mystère. Mille fois bravo. Bien amicalement. Thierry
Très belle interprétation, sobre et rythmée comme il faut pour laisser la parole s'incarner. J'avais les oeuvres complètes dans ma poche à munitions, au service militaire. J'avais appris ce poème par coeur à l'époque, et je reconstitue aujourd'hui ma mémoire, avec l'aide de belles réalisations comme celle-ci. Merci !
+Philippe cuénoud Très touché par votre commentaire. Merci de votre écoute. Un cadeau ! Je déposerai peut-être ‘Le bateau ivre’ pour en proposer l’écoute sur ma page Facebook.Pourrais-je utiliser votre gentil commentaire comme intro. ?
Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs: Des Peaux-rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. J’étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m’ont laissé descendre où je voulais. Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, Je courus! Et les Péninsules démarrées N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants. La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots! Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sûres, L’eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et, dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la mer, infusé d’astres, et lactescent; Dévorant les azurs verts; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend; Où, teignant tout à coup les bleutés, délires Et rythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l’amour! Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs, et les courants: je sais le soir, L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes, Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir! J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très-antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets! J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baisers montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs! J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l’assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs! J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides Mêlant au fleurs des yeux de panthères à peaux D’hommes! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux! J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant! Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus avec de noirs parfums! J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. - Des écumes de fleurs ont béni mes dérades Et d’ineffables vents m’ont ailé par instants. Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux… Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds, Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir à reculons! Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau; Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d’azur, Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs; Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et des Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l’Europe aux anciens parapets! J’ai vu des archipels sidéraux! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur: - Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t’exiles, Millions d’oiseaux d’or, ô future Vigueur? Mais, vrai, j’ai trop pleuré! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer: L’acre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate! Ô que j’aille à la mer! Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide où, vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi, plein de tristesses, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai. Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons!
Bravo et merci pour cette lecture, sobre, au service du texte, mais précise ! Pour l'instant c'est ma version Favorite sur TH-cam Savez-vous que ce poème est écrit en grand sur des murs dans la rue à Paris ? À côté de la place Saint-Sulpice, ce poème est inscrit en énormes. J'adore passer le soir devant et le lire à haute voix à moi-même
J’opte, par choix, pour une certaine sobriété, une certaine distance ; que ma voix ne soit que cet archet qui frotte les mots, sachant que le luthier, c’est le poète. Oui ! Je sais, je me répète et je paraphrase Léo Ferré.
@LaColoquinte Poète moi-même, j'estime pour ma part que l'emphase, voire la frénésie peuvent nuire à l'interprétation d'une oeuvre. Monsieur Gilles-Claude Thériault qui m'a fait l'honneur de poser sa voix sur plusieurs de mes textes poétiques, dit les vers avec un mélange de force et de retenue ô combien admirable ! Mais tout est évidemment affaire de goût et cette opinion ici n'engage que moi. Thierry
@Theriault100: Je sais que vous avez téléchargé 93 vidéos, et je pouvais vérifier si vous aimerez Arthur Rimbaud très bien, mais ... il y a 93 vidéos!! Alors je voudrais savoir si ce soit vrai, marci. P.S. Il est évident que j'ai besoin de me perfectionner en français, et pardonnez à moi si je fais unebêtise, s'il vous plaît.
ruzickaw gotta disagree here, first time i heard this poem someone spoke the eighth stanza to me in this calm and measured tempo, and it changed my whole perception of the poem, especially that stanza. i’ve loved it ever since
Tres beau, j'ai moi meme realisé une video parfaitement merveilleuse pour illustrer un poeme du grand rimbaud ! Ne manquez surtout pas de la regarder sur ma chaine hahaha cordialement
Comment ne pas aimer la poésie lorsque l'on entend de si beaux textes et si bien interprétés....MERCI pour cet instant de pur bonheur....
Votre interprétation est vraiment splendide. Mille merci !
Merci pour vos commentaires.
J’aime ce mot de Christian Bobin :
« Pour lire un roman, il faut deux ou trois heures.
Pour lire un poème, il faut une vie entière »,
tellement sa compréhension,
les interprétations et les approches peuvent être différentes.
Laisser une place à l’autre,
à l’oreille qui vous fait le don de son écoute.
Voici une citation qui souligne bien votre interprétation.
Qqqaaaaرأيت ما كنت أخشى أن أراه
.....
هنا في البحر البارد
و شمس النحاس
نتعلم إن الموت شكل من أشكال الحياة
و أركع كإمرأة ......
أنا الرجوع الى الماضي كمركب محمور بين الامواج .......
أنا الدي ارتعش ...
رأيت مئات المآدن .....
و أشبه الفراشة عندما تعرق في التعاسة
و تهجر شفاه الزهر
Superbe interprétation du poème célèbre d'Arthur Rimbaud.
Tout y est : le souffle, la retenue, la densité, le mystère.
Mille fois bravo.
Bien amicalement.
Thierry
Merveilleux. Merci.
Très belle interprétation, sobre et rythmée comme il faut pour laisser la parole s'incarner.
J'avais les oeuvres complètes dans ma poche à munitions, au service militaire. J'avais appris ce poème par coeur à l'époque, et je reconstitue aujourd'hui ma mémoire, avec l'aide de belles réalisations comme celle-ci.
Merci !
+Philippe cuénoud
Très touché par votre commentaire. Merci de votre écoute. Un cadeau !
Je déposerai peut-être ‘Le bateau ivre’ pour en proposer l’écoute sur ma page Facebook.Pourrais-je utiliser votre gentil commentaire comme intro. ?
Bien sûr !
En espérant que ça en incite d'autres à (re)découvrir ce poème.
@LaColoquinte
Vous définissez bien ce qui caractérise cette voix : la profondeur !
En toute amitié.
Thierry
bonsoir damoiseau : j'adore votre façon de lire les poème merci a vous !
Magnifique , merci pour le partage ...
Excellent et tellement bien dit en Poésie, c' est magnifique, Merci !
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs:
Des Peaux-rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J’étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m’ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants,
Je courus! Et les Péninsules démarrées
N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots
Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots!
Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sûres,
L’eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et, dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la mer, infusé d’astres, et lactescent;
Dévorant les azurs verts; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend;
Où, teignant tout à coup les bleutés, délires
Et rythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l’amour!
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs, et les courants: je sais le soir,
L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes,
Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir!
J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très-antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets!
J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baisers montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs!
J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l’assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs!
J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides
Mêlant au fleurs des yeux de panthères à peaux
D’hommes! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux!
J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan!
Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant!
Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises!
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus avec de noirs parfums!
J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont béni mes dérades
Et d’ineffables vents m’ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux…
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds,
Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir à reculons!
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d’azur,
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et des Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l’Europe aux anciens parapets!
J’ai vu des archipels sidéraux! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur:
- Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t’exiles,
Millions d’oiseaux d’or, ô future Vigueur?
Mais, vrai, j’ai trop pleuré! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer:
L’acre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate! Ô que j’aille à la mer!
Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache
Noire et froide où, vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi, plein de tristesses, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons!
Le poème de la mer et de sa vie !
Lo más bello de Rimbaud.
Homme aux semelles de vent !
Bravo et merci pour cette lecture, sobre, au service du texte, mais précise !
Pour l'instant c'est ma version Favorite sur TH-cam
Savez-vous que ce poème est écrit en grand sur des murs dans la rue à Paris ? À côté de la place Saint-Sulpice, ce poème est inscrit en énormes. J'adore passer le soir devant et le lire à haute voix à moi-même
Un délice !!!
La seule issue est la Poésie. merci.
J’opte, par choix, pour une certaine sobriété, une certaine distance ;
que ma voix ne soit que cet archet qui frotte les mots,
sachant que le luthier, c’est le poète.
Oui ! Je sais, je me répète et je paraphrase Léo Ferré.
Action painting lyrique🎉
Magic !
Thnks
Finally a version doing justice to the undefined melodies & war-beat rhythm the background music is of good humours though, tolerable
@LaColoquinte
Poète moi-même, j'estime pour ma part que l'emphase, voire la frénésie peuvent nuire à l'interprétation d'une oeuvre.
Monsieur Gilles-Claude Thériault qui m'a fait l'honneur de poser sa voix sur plusieurs de mes textes poétiques, dit les vers avec un mélange de force et de retenue ô combien admirable !
Mais tout est évidemment affaire de goût et cette opinion ici n'engage que moi.
Thierry
❤️
Cest vraiment beau et mélodieux, merci !
Quelle est cette que vous avez utilisée en fond ?
@Theriault100:
Je sais que vous avez téléchargé 93 vidéos, et je pouvais vérifier si vous aimerez Arthur Rimbaud très bien, mais ... il y a 93 vidéos!!
Alors je voudrais savoir si ce soit vrai, marci.
P.S. Il est évident que j'ai besoin de me perfectionner en français, et pardonnez à moi si je fais unebêtise, s'il vous plaît.
Ma version préférée
MAGIQUE
Ensorcellent
Mes salutations
Fileur eternel des immobilites bleues !
👍
14/03/2021.
Si Rimbaud avait voulu que les alexandrins soit lus comme des décasyllabes, il aurait écrit des décasyllabes...
too calm, too slow
ruzickaw gotta disagree here, first time i heard this poem someone spoke the eighth stanza to me in this calm and measured tempo, and it changed my whole perception of the poem, especially that stanza. i’ve loved it ever since
@@alisonsails5274 this version is better. th-cam.com/video/1oTNDGLPjBE/w-d-xo.html
Écoute vraiment agréable.
Elle le serait davantage si la prononciation était moins rigide et plus colorée.
Tres beau, j'ai moi meme realisé une video parfaitement merveilleuse pour illustrer un poeme du grand rimbaud ! Ne manquez surtout pas de la regarder sur ma chaine hahaha cordialement
Que pensez-vous de ma version rap? 🙂
th-cam.com/video/NGBtIxfEk-w/w-d-xo.html
pourquoi une musique derrière?voix pénible d'acteur de documentaire animalier