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- เผยแพร่เมื่อ 29 ก.ย. 2024
- Traduction : Arnaud Demaegd
© Éditions Bragelonne / Sans-Détour, 2015
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Nyarlathotep, l’âme des dieux, celui qui ouvre les portes du temps et de l’espace. Nouvelle fascinante, dont le récit est clairement découpé en trois zones : la première expose le contexte général, la seconde propose la rencontre déroutante avec Nyarlathotep, et la troisième entraîne le narrateur au cœur du cauchemar éveillé. L’écriture de Lovecraft n’a jamais été aussi polymorphe.
On notera l’insistance sur la couleur jaune - toujours négative depuis quelques nouvelles (cf. Polaris et les « petits êtres jaunes et courtauds », Celephaïs et le « grand prêtre qu’on ne peut décrire, qui porte un masque de soie jaune »). Ici, les « visages jaunes et mauvais ». Comme quoi, tout n’est pas verdâtre chez Lovecraft !
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Lecture, Illustration et Musique de Tindalos
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Prochaine vidéo : La Malédiction de Sarnath
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J’ai l’impression d’avoir déjà fait ce rêve… marchant dans les rues familières de ma ville mais sentant que « quelque chose ne va pas » inquiet, puis terrifié en voyant que les étrangers que j’aborde et à qui je lance des regards amicaux pour me rassurer, partagent la même vision que moi…
Ce texte de trois pages est immense et terrifiant, un des meilleurs que j'ai lu/écouté de Lovecraft pour le moment... J'aime plus que tout l'absence de sens et de compréhension dans le déroulement des événements, qui donne envie de se replonger encore et encore dans le texte, stimulant l'imagination bien davantage qu'un récit classique d'horreur...
Entièrement d'accord ! La progression est magnifique : nous passons d'une description large (contexte, Nyarlathotep en général) à un récit particulier (la "projection dans la salle suffocante), pour aboutir à l'errance des groupes et l'abandon final dans un tourbillon cosmique paralysant. L'écriture devient même de plus en plus compacte et tordue. Du grand Lovecraft, oui.
Rien à faire, je reviens toujours à ce texte merveilleusement conté… hypnotique…
Ça fait plaisir, merci ! J'aime beaucoup cette nouvelle, sa progression, son aboutissement terrifiant à l'écriture tournoyante. Un petit condensé d'effroi :-)
Très bonne lecture
Une voix faites pour ce genre de récit
Merci beaucoup :-)
excellent travail, le Reclus de Providence ne le renierait pas...
Merci pour tes illustrations et ta voix...!
Merci beaucoup !
Super musique d’intro ! ❤
Merci ! Je me suis bien amusé avec cette version égyptienne du thème "Howard Phillips Lovecraft" !
Merci.
Des flûtes blasphématoires... J'imagine que ce sont les mêmes qui sont jouées pour Azathot.
D'un point de vue textuel, oui - ce que dit Lovecraft dans cette nouvelle, il le répétera dans la nouvelle Azathoth, en effet, et le citera à nouveau presque mot pour mot dans "La quête onirique de Kadath l'Inconnue" (cf. #49). D'un point de vue musical, non. Dans cette vidéo, je fais jouer à la flûte le thème "Howard Phillips Lovecraft" dans un style orientalo/égyptien, tandis que dans la vidéo "Azathoth", je fais jouer à la flûte le thème "Azathoth".
Top
genial merci
super top ! merci
Belle lecture, merci !
Merci mec
La musique est transportante, très beau travail
Merci beaucoup ! Lovecraft à la sauce égyptienne, je me suis bien amusé ici, mais aussi dans #39 Prisonnier des Pharaons (obligé !...). Écoutable par-ici :
th-cam.com/video/9RkgYfmnSnU/w-d-xo.html
Sublime final.
J'adore cette nouvelle. Simple (quoique...), et efficace. La progression est sublime, car on débute avec un récit relativement "figuratif", puis l'écriture tourne à l'abstraction. Ce texte est très puissant !
Merci pour tout ton travail!
Mais de rien ! Si ça fait plaisir ! :)
cool ton travail
Merci !