Je t'ai rencontrée par hasard, Ici, ailleurs ou autre part, Il se peut que tu t'en souviennes. Sans se connaître on s'est aimés, Et même si ce n'est pas vrai, Il faut croire à l'histoire ancienne. Je t'ai donné ce que j'avais De quoi chanter, de quoi rêver. Et tu croyais en ma bohème, Mais si tu pensais à vingt ans Qu'on peut vivre de l'air du temps, Ton point de vue n'est plus le même. Cette fameuse fin du mois Qui depuis qu'on est toi et moi, Nous revient sept fois par semaine Et nos soirées sans cinéma, Et mon succès qui ne vient pas, Et notre pitance incertaine. Tu vois je n'ai rien oublié Dans ce bilan triste à pleurer Qui constate notre faillite. " Il te reste encore de beaux jours Profites-en mon pauvre amour, Les belles années passent vite." Et maintenant tu vas partir, Tous les deux nous allons vieillir Chacun pour soi, comme c'est triste. Tu peux remporter le phono, Moi je conserve le piano, Je continue ma vie d'artiste. Plus tard sans trop savoir pourquoi Un étranger, un maladroit, Lisant mon nom sur une affiche Te parlera de mes succès, Mais un peu triste toi qui sais " Tu lui diras que je m'en fiche... que je m'en fiche..."
Paroles de Francis Claude et de Léo Ferré. +ou- autobiographique, 1er mariage avec Odette qui s'est lassée de ne pas voir l'argent rentrer. Grand échiquier 1975.
Un musicien, un des rares à avoir arrangé ses "chansons", JM Defaye (arrangeur Barclays) disait de lui: " avec léo, pas grand chose à faire, un instrument à placer, puis léo : " tu crois" et cela se faisait ainsi" . puis après barclays c'est du tout LEO FERRE.
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♪ La Vie D'artiste ♪ Je t'ai rencontrée par hasard, Ici, ailleurs ou autre part, Il se peut que tu t'en souviennes. Sans se connaître on s'est aimés, Et même si ce n'est pas vrai, Il faut croire à l'histoire ancienne. Je t'ai donné ce que j'avais De quoi chanter, de quoi rêver. Et tu croyais en ma bohème, Mais si tu pensais à vingt ans Qu'on peut vivre de l'air du temps, Ton point de vue n'est plus le même. Cette fameuse fin du mois Qui depuis qu'on est toi et moi, Nous revient sept fois par semaine Et nos soirées sans cinéma, Et mon succès qui ne vient pas, Et notre pitance incertaine. Tu vois je n'ai rien oublié Dans ce bilan triste à pleurer Qui constate notre faillite. " Il te reste encore de beaux jours Profites-en mon pauvre amour, Les belles années passent vite." Et maintenant tu vas partir, Tous les deux nous allons vieillir Chacun pour soi, comme c'est triste. Tu peux remporter le phono, Moi je conserve le piano, Je continue ma vie d'artiste. Plus tard sans trop savoir pourquoi Un étranger, un maladroit, Lisant mon nom sur une affiche Te parlera de mes succès, Mais un peu triste toi qui sais " Tu lui diras que je m'en fiche... que je m'en fiche.
Paroles : Je t'ai rencontrée par hasard, Ici, ailleurs ou autre part, Il se peut que tu t'en souviennes. Sans se connaître on s'est aimé, Et même si ce n'est pas vrai, Il faut croire à l'histoire ancienne. Je t'ai donné ce que j'avais De quoi chanter, de quoi rêver, Et tu croyais en ma bohême. Mais, si tu pensais à vingt ans Qu'on peut vivre de l'air du temps, Ton point de vue n'est plus le même. Cette fameuse fin du mois Qui depuis qu'on est toi et moi, Nous revient sept fois par semaine Et nos soirées sans cinéma, Et mon succès qui ne vient pas, Et notre pitance incertaine. Tu vois je n'ai rien oublié Dans ce bilan triste à pleurer Qui constate notre faillite. "Il te reste encore de beaux jours Profites-en mon pauvre amour, Les belles années passent vite." Et maintenant tu vas partir, Tous les deux nous allons vieillir Chacun pour soi comme c'est triste. Tu peux remporter le phono, Moi je conserve le piano, Je continue ma vie d'artiste. Plus tard sans trop savoir pourquoi Un étranger, un maladroit, Lisant mon nom sur une affiche Te parlera de mes succès, Mais un peu triste toi qui sais "Tu lui diras que je m'en fiche... Que je m'en fiche..."
Esto es lo primero que conocí de Leo Ferré y quede fascinado de inmediato.
Bello, muy bello.
Sublime, unique, sidéral comme toujours.
Le dernier des géants. Et c'est tellement vrai ...
A chaque fois que j écoute le grand léo je me réveil de mon monde de léthargie après je suis sonné comme si j avais pris un directe
Comment ne pas être nostalgique face à tant de beauté?
Le talent a l'état pur
Je t'ai rencontrée par hasard,
Ici, ailleurs ou autre part,
Il se peut que tu t'en souviennes.
Sans se connaître on s'est aimés,
Et même si ce n'est pas vrai,
Il faut croire à l'histoire ancienne.
Je t'ai donné ce que j'avais
De quoi chanter, de quoi rêver.
Et tu croyais en ma bohème,
Mais si tu pensais à vingt ans
Qu'on peut vivre de l'air du temps,
Ton point de vue n'est plus le même.
Cette fameuse fin du mois
Qui depuis qu'on est toi et moi,
Nous revient sept fois par semaine
Et nos soirées sans cinéma,
Et mon succès qui ne vient pas,
Et notre pitance incertaine.
Tu vois je n'ai rien oublié
Dans ce bilan triste à pleurer
Qui constate notre faillite.
" Il te reste encore de beaux jours
Profites-en mon pauvre amour,
Les belles années passent vite."
Et maintenant tu vas partir,
Tous les deux nous allons vieillir
Chacun pour soi, comme c'est triste.
Tu peux remporter le phono,
Moi je conserve le piano,
Je continue ma vie d'artiste.
Plus tard sans trop savoir pourquoi
Un étranger, un maladroit,
Lisant mon nom sur une affiche
Te parlera de mes succès,
Mais un peu triste toi qui sais
" Tu lui diras que je m'en fiche...
que je m'en fiche..."
"on "s'est rencontré je crois :) beau travail
Paroles de Francis Claude et de Léo Ferré. +ou- autobiographique, 1er mariage avec Odette qui s'est lassée de ne pas voir l'argent rentrer. Grand échiquier 1975.
Un poete un chanteur mais aussi un pianiste!
Un musicien, un des rares à avoir arrangé ses "chansons", JM Defaye (arrangeur Barclays) disait de lui: " avec léo, pas grand chose à faire, un instrument à placer, puis léo : " tu crois" et cela se faisait ainsi" . puis après barclays c'est du tout LEO FERRE.
Un grand poète, chanteur et surtout grand musicien !
Quel talent immense ❤❤❤❤
prestation parfaite! merci.
Elle est magnifique.
Que interpretación más maravillosa.
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@Decker Fletcher Instablaster :)
♪ La Vie D'artiste ♪
Je t'ai rencontrée par hasard,
Ici, ailleurs ou autre part,
Il se peut que tu t'en souviennes.
Sans se connaître on s'est aimés,
Et même si ce n'est pas vrai,
Il faut croire à l'histoire ancienne.
Je t'ai donné ce que j'avais
De quoi chanter, de quoi rêver.
Et tu croyais en ma bohème,
Mais si tu pensais à vingt ans
Qu'on peut vivre de l'air du temps,
Ton point de vue n'est plus le même.
Cette fameuse fin du mois
Qui depuis qu'on est toi et moi,
Nous revient sept fois par semaine
Et nos soirées sans cinéma,
Et mon succès qui ne vient pas,
Et notre pitance incertaine.
Tu vois je n'ai rien oublié
Dans ce bilan triste à pleurer
Qui constate notre faillite.
" Il te reste encore de beaux jours
Profites-en mon pauvre amour,
Les belles années passent vite."
Et maintenant tu vas partir,
Tous les deux nous allons vieillir
Chacun pour soi, comme c'est triste.
Tu peux remporter le phono,
Moi je conserve le piano,
Je continue ma vie d'artiste.
Plus tard sans trop savoir pourquoi
Un étranger, un maladroit,
Lisant mon nom sur une affiche
Te parlera de mes succès,
Mais un peu triste toi qui sais
" Tu lui diras que je m'en fiche...
que je m'en fiche.
Merci du partage ! sublime ! . Léo, génie !
Sublime...
Paroles :
Je t'ai rencontrée par hasard,
Ici, ailleurs ou autre part,
Il se peut que tu t'en souviennes.
Sans se connaître on s'est aimé,
Et même si ce n'est pas vrai,
Il faut croire à l'histoire ancienne.
Je t'ai donné ce que j'avais
De quoi chanter, de quoi rêver,
Et tu croyais en ma bohême.
Mais, si tu pensais à vingt ans
Qu'on peut vivre de l'air du temps,
Ton point de vue n'est plus le même.
Cette fameuse fin du mois
Qui depuis qu'on est toi et moi,
Nous revient sept fois par semaine
Et nos soirées sans cinéma,
Et mon succès qui ne vient pas,
Et notre pitance incertaine.
Tu vois je n'ai rien oublié
Dans ce bilan triste à pleurer
Qui constate notre faillite.
"Il te reste encore de beaux jours
Profites-en mon pauvre amour,
Les belles années passent vite."
Et maintenant tu vas partir,
Tous les deux nous allons vieillir
Chacun pour soi comme c'est triste.
Tu peux remporter le phono,
Moi je conserve le piano,
Je continue ma vie d'artiste.
Plus tard sans trop savoir pourquoi
Un étranger, un maladroit,
Lisant mon nom sur une affiche
Te parlera de mes succès,
Mais un peu triste toi qui sais
"Tu lui diras que je m'en fiche...
Que je m'en fiche..."
Les paroles sont de Francis Claude et de Léo Ferré.
Magique
Il est irremplaçable...
mais un peu triste toi qui sais...
"Comme d habitude"
Plus le cynisme ou l hypothèse d'une réalité
Triste à pleurer
Elle n'était pas sa muse, elle ne lui appartenait pas, ce n'était que son tour.
mENTEUR TU AS MENTIS fERRE TU AS MENTIS
?
Beh oui ???