As far as i know, Last tango in Paris was one of the most controversial movies during the 70s because of the famous butter scene in which Marlon Brando & Maria Schneider were involved. Nowadays, it's different today as we have social media, it's hard to unfake chemistry with someone on a set, so probably Bernardo Bertolucci would be cancelled today for the scene of the butter.
Vraiment une personne sacrifiée par beaucoup de maux sociaux. D'abord l'impossibilité pour son père de la reconnaître, ensuite l'exploitation sexuels des jeunes acteurs dans le monde du cinéma, le sexisme, le blâme de la victime, et la culpabilisation de la personne qui souffre d'addiction. Il y a des personnes qui cumulent les violences et les angles morts de la société sur elles. J'en connais.... RIP belle Maria.
J'aimerai vous dire que ce film m'a obsédé enfant. On m'avait parlé de cette scène et je ne savais pas qu'il s'agissait d'un viol. A l'age requis j'ai adoré ce film et Maria Shneider était pou rmoi la plus grande et belle des actrices. Definitevement je pense qu'elle a marqué le temps du cinéma.
Pour l'homme, le viol est un rapport amoureux, qu'une partie des deux, souhaite. La deuxième, pourrait faire un effort. Etre une femme, ne veut PAS DIRE oui. P.S: A LIRE: Quand les hommes ont tous les droits, de Kate Manne.
1:45: premiers mots de Vanessa Schneider: "Je ne suis pas sûre qu'un film peut briser la vie de quelqu'un, mais il a clairement CONTRIBUE à la casser profondément..." Ce qui n'empêche pas un commentateur (leofrance20006) de conclure, je cite: "on veut absolument TOUT ramener à cette histoire... comme si c'était la source de TOUT"... Dès lors, et avant même d'avoir écouté la suite de la vidéo, il est déjà permis de se demander QUI veut construire un narratif pour "servir une idéologie": en l'occurrence bien sûr pas celle qui est dénoncée dans un tel commentaire, mais une autre, semble-t-il diamétralement opposée, et dont je préfère ne pas mentionner les motivations inavouées qui peuvent la nourrir..
Elle a été utilisée par surprise pour cette scène : oui. c'est moche et patriarcal on est d'accord. Elle a été violée sur le plateau:non. Le film a détruit sa vie: pour partie sans doute, et pour partie ça lui a permis de décrocher des rôles pendant dix ans. Il n 'y a pas de quoi faire un film la dessus sauf à vouloir se faire du blé en exploitant le filon metoo, c' est à dire en faisant de l'argent avec des drames en faisant semblant d'épouser une noble cause. À tout prendre je préfère l'infamie de Bertolucci: tout abject qu'il fut, lui au moins faisait du vrai cinéma.
Personne n'adoubait le viol. Personne n'avait conscience à l'époque que la scène n'était pas simulée et le film ne prend évidemment pas partie pour le personnage masculin à ce moment-là...
cette scène était prévue dans le scénario que personne ne l'a obligée à accepter. Il serait temps que chacun prenne ses responsabilités : le premier regret est d'avoir accepté de tourner dans un film qu'elle a regretté par la suite.
Une légende du cinéma n'a pas à être remise en cause parce qu'une actrice avec qui il a joué dans un seul film a malheureusement accumulé les problèmes dans son parcours personnel et professionnel
@@luciedetant1095 Légende du cinéma ou pas, son comportement lors du tournage de cette scène est remis en cause car il a suivi les indications du réalisateur et s'est donc montré complice de ce dernier. "La séquence du beurre est une idée que j'ai eue avec Marlon la veille du tournage. Je voulais que Maria réagisse, qu'elle soit humiliée. Je pense qu'elle nous a haïs tous les deux parce que nous ne lui avons rien dit", reconnaît le cinéaste dans cette vidéo. Au moment de la disparition de Maria Schneider (morte en février 2011), le réalisateur avait fait part de regrets. Il aurait "voulu demander pardon" à l'actrice, marquée à vie par cette scène dans laquelle elle finit en larmes."
Le problème de Maria était avant tout la suite de cette scène dans la vraie vie. Les gens de cette époque étaient beaucoup plus conservateurs qu'aujourd'hui, c'est pourquoi cette femme a été ridiculisée pendant des années dans la presse et même dans la rue.Tout cela sur fond fragile d'une jeune femme abandonnée par sa mère, méconnue de son père.L'alcool et la drogue étaient une solution assez courante pour les personnes souffrant de PTD (syndrome post-traumatique)..
Font semblant de découvrir que les acteurs sont manipulés par les réalisateurs?! Comment elle a pu rester en bonne relation avec Brando?! Bref trop de contradictions pour une vraie analyse crédible.
Elle était abandonnée par sa mère qui n'a pas voulu l'élever, elle n'a pas été reconnue par son père, elle s'est détruite avec la drogue... mais on veut absolument tout ramener à cette histoire du "Dernier tango..." comme si c'était la source de tout. Vanessa Schneider, au début, relativise un petit peu mais finalement elle n'est pas vraiment écoutée. Le narratif doit absolument être celui du trauma "Dernier tango...", il n'y a que ça qui permet de servir l'idéologie qui doit prévaloir aujourd'hui.
C'est du cinéma madame et à l'époque il sortait des films encore plus violents que la simulation.. ( des morts à chaque image de guerre.)...que Brando à faite....dans le film...... il pouvait s'en passé......Brando ours mal léché saoul les 3/4 du temps en a profité.....Maria Schneider n'était pas avertie de cette scène....c'est Bertolucci le responsable....l'actrice ne s'est jamais remis de cette scène....comme bien plus tard, l'actrice qui tourna avec une femme réalisatrice Despentes et Rocco Siffredi.....
Ah oui mais t'as eu la curiosité d'aller le voir, le film, ça t'excitait , sa réputation sulfureuse. Et maintenant tu vien sjouer les saintes nitouche ..???
Mais c'est par ailleurs un très beau film, réduit par des concierges bas de plafond à cette scène. On peut ne vouloir rien comprendre ou on peut vouloir être un peu plus intelligent ( c'est pas à la mode, je sais).
Moi j'appelle cela un viol tout simplement : mineur, non consentante ! J'aimais beaucoup Maria Schneider et heureusement que sa cousine a pensé à rappeler à tout ce monde du cinéma qu'il y avait et a toujours de gros porcs dans ce milieu. Repose en paix Maria, ils l'ont payé. Karma.
Le viol proprement dit de Maria Schneider n'a fort heureusement pas eu lieu. En revanche, Maria Schneider a bien reçu du beurre de la main de Brando entre les fesses. C'est cet effet de surprise et d'humiliation qui a été saisi par le réalisateur comme il le souhaitait (il avait organisé ce guet-apens le matin même avec l'acteur). Jamais Maria Schneider n'en a été informée et cette scène ne figurait pas sur le script. Aussi s'est-elle sentie souillée et déconsidérée. Brando aurait fini par reconnaitre qu'il s'était très mal conduit et aurait présenté ses excuses à la jeune actrice qui les a acceptées. Bertolucci ne l'a admis que sur le tard, sous la pression.
Il y a un documentaire de Mireille Dumas ou Maria Schneider dit clairement que Marion Brando l’avait mise au courant du « changement » du réalisateur et que l’acte a été simulé dans le film !
Vanessa Schneider est journaliste au Monde. Son livre "Maria" dans lequel elle rendait hommage à sa cousine et expliquait à quel point on s'était mépris sur son compte a servi de support au film. Elle n'a pas écrit ce livre pour se "faire du fric" mais pour rétablir la vérité sur Maria.
Que Maria ait été traumatisée par le tournage, c'est grave et triste. Cependant, marre de lire n'importe quoi sur ce chef-d'oeuvre absolu du cinéma, une date comparable selon la grande critique Pauline Kael au "Sacre du Printemps" dans la musique. Seuls les aveugles ou les ignares peuvent penser que ce film mettrait en valeur le "mâle", alors qu'il raconte précisément la lente chute vers la mort du "masculin" (le "féminin" se libérant à la fin). Le personnage de Brando est montré dans toute sa décrépitude (poignante ET répugnante), son déclin physique et émotionnel, voire sa dégueulasserie (justement dans la fameuse scène où lui-même d'ailleurs souhaite se faire humilier par le même type d'acte). Les tableaux de Bacon dans le générique du début ne sont pas gratuits : le film est sans pitié sur les tourments de la chair, du désir, de la mort. Ne pas comprendre ça, c'est ne rien comprendre au cinéma en tant qu'art, oublier que pendant une vingtaine d'années (des premiers sommets d'Antonioni à la "Nave va" de Fellini) le cinéma européen (italien en particulier) était la quintessence adulte (voulant se confronter enfin à la pensée, la poésie, l'indicible, et pas juste le divertissement) de cette forme d'expression.
@@sofyab.6264 Non, désolé mais vous jouez sur les mots : vous songez à un viol symbolique, moi je vous parle de scénario, de film, et de scène qui ne constitue pas (quand bien même vous avez le droit d'être choquée) un viol au sens de la loi.
On reproche aux anciennes colonies de ne pas vivre dans le passé, d'aller de l'avant. Mais vous, occidentaux, ne faites que ressasser vos vieilleries. Votre société est vraiment malade !
@@nicolerip3264 C'est qui "vous" ?! Je réitère, votre société est malade ! Et tant que vous ne vous en rendrez pas compte (ou continuerez à fermer les yeux sur vos maux), rien ne s'arrangera :p
@@ladykiller1978 Si l'actrice n'était pas au courant du changement de scénario, je ne vois pas comment elle a pu simuler, elle pleure pendant la scène du viol. Ce sont de vraies larmes parce que Brando la pénètre par surprise.
N'importe quoi. Un film de circonstance fait par des cyniques, comme d'hab. Qui peut imaginer que Maria Schneider a été violée par Brando devant vingt techniciens !?? Qu'elle ait été impliquée par surprise dans cette scène par bertolucci au point que cela l'affecte et que tout un tas de connards lui tombe sur le râble ensuite, d'accord. Mais elle ne s'est pas faite pénétrer, et ça personne ne le précise. C 'était une actrice assez anodine qui a fait d' autres scènes de sexe (dans la dérobade notamment) et son statut hypertrophié de victime va en faire une actrice de talent post mortem. Ridicule.
Dans l'article du "Elle" de juin, la journaliste qui itw Vanessa Schneider dit que Brando lui a passé le beurre dans les fesses. Cette scène ne figurait absolument pas sur le scénario et c'est son expression outragée et humiliée non feinte que Bertolucci a voulu filmer. Il a fini par reconnaître son attitude indigne. Les autres scènes de sexe de ce film comme des autres films qu'elle allait tourner figuraient sur les scenarios et elle avait donné son accord. Ce qu'elle n'a pas supporté c'est de subir cette humiliation devant une équipe et la caméra. Elle n'avait pas signé pour, pas donné son consentement.
As far as i know, Last tango in Paris was one of the most controversial movies during the 70s because of the famous butter scene in which Marlon Brando & Maria Schneider were involved. Nowadays, it's different today as we have social media, it's hard to unfake chemistry with someone on a set, so probably Bernardo Bertolucci would be cancelled today for the scene of the butter.
Bertolluci l'a humilié dans le dernier tango. Elle ne s'en n'ait JAMAIS remise.
Et elle est resté en bonne relation avec Brando.
. Cherchez l'erreur !
Bienfait pour elle 😅
@@tachou2009 Pourquoi ?
@@tachou2009je devine votre profil ! Vue votre commentaire.
Tous pervers et vicieux face à actrice mineur à l'époque, heureusement les temps ont changé.
Vraiment une personne sacrifiée par beaucoup de maux sociaux. D'abord l'impossibilité pour son père de la reconnaître, ensuite l'exploitation sexuels des jeunes acteurs dans le monde du cinéma, le sexisme, le blâme de la victime, et la culpabilisation de la personne qui souffre d'addiction. Il y a des personnes qui cumulent les violences et les angles morts de la société sur elles. J'en connais.... RIP belle Maria.
Le bertollucci etait 1 gros vicieux
Un métier qui rend fou !!
J'aimerai vous dire que ce film m'a obsédé enfant. On m'avait parlé de cette scène et je ne savais pas qu'il s'agissait d'un viol. A l'age requis j'ai adoré ce film et Maria Shneider était pou rmoi la plus grande et belle des actrices. Definitevement je pense qu'elle a marqué le temps du cinéma.
@@ArseneLapin-rc7qsmais bien sûr elle est tomber dans la drogue dure après le film pour le fun
@@ArseneLapin-rc7qs quand on te met du beurre, c'est quoi ?
@@catherinepas4923la sodomie n’empêche pas le respect
Terrible son histoire
Bertoluchi aurait dû proposer le rôle à sa fille...
Un porco mascherato da intellettuale.Di gusti sadici e ambigui.
Che non riposi in pace.
Vous avez entièrement raison.
Pour l'homme, le viol est un rapport amoureux, qu'une partie des deux, souhaite. La deuxième, pourrait faire un effort. Etre une femme, ne veut PAS DIRE oui.
P.S: A LIRE: Quand les hommes ont tous les droits, de Kate Manne.
1:45: premiers mots de Vanessa Schneider: "Je ne suis pas sûre qu'un film peut briser la vie de quelqu'un, mais il a clairement CONTRIBUE à la casser profondément..."
Ce qui n'empêche pas un commentateur (leofrance20006) de conclure, je cite: "on veut absolument TOUT ramener à cette histoire... comme si c'était la source de TOUT"...
Dès lors, et avant même d'avoir écouté la suite de la vidéo, il est déjà permis de se demander QUI veut construire un narratif pour "servir une idéologie":
en l'occurrence bien sûr pas celle qui est dénoncée dans un tel commentaire, mais une autre, semble-t-il diamétralement opposée, et dont je préfère ne pas mentionner les motivations inavouées qui peuvent la nourrir..
Elle a été utilisée par surprise pour cette scène : oui. c'est moche et patriarcal on est d'accord.
Elle a été violée sur le plateau:non.
Le film a détruit sa vie: pour partie sans doute, et pour partie ça lui a permis de décrocher des rôles pendant dix ans.
Il n 'y a pas de quoi faire un film la dessus sauf à vouloir se faire du blé en exploitant le filon metoo, c' est à dire en faisant de l'argent avec des drames en faisant semblant d'épouser une noble cause. À tout prendre je préfère l'infamie de Bertolucci: tout abject qu'il fut, lui au moins faisait du vrai cinéma.
Quand le viol était adoubé par l élite
Personne n'adoubait le viol. Personne n'avait conscience à l'époque que la scène n'était pas simulée et le film ne prend évidemment pas partie pour le personnage masculin à ce moment-là...
Il n'y a aucun viol réel dans cette scène. Point.
cette scène était prévue dans le scénario que personne ne l'a obligée à accepter. Il serait temps que chacun prenne ses responsabilités : le premier regret est d'avoir accepté de tourner dans un film qu'elle a regretté par la suite.
@@luciedetant1095 La pénétration digitale n'était absolument pas au programme et elle ne l'avait pas acceptée.
Et c'est toujours le cas
Quel est cette consensualité envers Brando alors qu'il n'a pas consolé Marie Schneider ?
Ce consensus!!!
Une légende du cinéma n'a pas à être remise en cause parce qu'une actrice avec qui il a joué dans un seul film a malheureusement accumulé les problèmes dans son parcours personnel et professionnel
@@luciedetant1095 Légende du cinéma ou pas, son comportement lors du tournage de cette scène est remis en cause car il a suivi les indications du réalisateur et s'est donc montré complice de ce dernier. "La séquence du beurre est une idée que j'ai eue avec Marlon la veille du tournage. Je voulais que Maria réagisse, qu'elle soit humiliée. Je pense qu'elle nous a haïs tous les deux parce que nous ne lui avons rien dit", reconnaît le cinéaste dans cette vidéo.
Au moment de la disparition de Maria Schneider (morte en février 2011), le réalisateur avait fait part de regrets. Il aurait "voulu demander pardon" à l'actrice, marquée à vie par cette scène dans laquelle elle finit en larmes."
Ah @@luciedetant1095
Brando était superbe à l'écran mais très dysfonctionnel dans la vie. Un affreux jojo. Regardez son histoire familiale côté descendance...
Le problème de Maria était avant tout la suite de cette scène dans la vraie vie. Les gens de cette époque étaient beaucoup plus conservateurs qu'aujourd'hui, c'est pourquoi cette femme a été ridiculisée pendant des années dans la presse et même dans la rue.Tout cela sur fond fragile d'une jeune femme abandonnée par sa mère, méconnue de son père.L'alcool et la drogue étaient une solution assez courante pour les personnes souffrant de PTD (syndrome post-traumatique)..
Les vêtîtes sortent enfin
Font semblant de découvrir que les acteurs sont manipulés par les réalisateurs?!
Comment elle a pu rester en bonne relation avec Brando?!
Bref trop de contradictions pour une vraie analyse crédible.
Brando l à fait aussi pkoi elle a farde contact avec lui?
C'est effrayant, ce film n'est pas sain.
Elle était abandonnée par sa mère qui n'a pas voulu l'élever, elle n'a pas été reconnue par son père, elle s'est détruite avec la drogue... mais on veut absolument tout ramener à cette histoire du "Dernier tango..." comme si c'était la source de tout. Vanessa Schneider, au début, relativise un petit peu mais finalement elle n'est pas vraiment écoutée. Le narratif doit absolument être celui du trauma "Dernier tango...", il n'y a que ça qui permet de servir l'idéologie qui doit prévaloir aujourd'hui.
Si, tout ceci est la faute de Bertolluci, Vers la fin de sa vie, il a regrétté de ne pas avoir présenté ses excuses à l'actrice. Un type abject.
L'idéologie? C'est à dire?
@@turnover7si tu poses la question, c'est qu'on ne peut rien faire pour toi.
Faux. Des idéologies, il en existe des centaines.
@@turnover7 Tu sais très bien quelle idéologie domine le cinéma français aujourd'hui. Ce film est purement dans la doxa.
Ce satané film m'avait beaucoup choquée en tant que spectatrice, je n'ose imaginer le traumatisme en tant qu'actrice trahie sur le tournage.
C'est du cinéma madame et à l'époque il sortait des films encore plus violents que la simulation.. ( des morts à chaque image de guerre.)...que Brando à faite....dans le film...... il pouvait s'en passé......Brando ours mal léché saoul les 3/4 du temps en a profité.....Maria Schneider n'était pas avertie de cette scène....c'est Bertolucci le responsable....l'actrice ne s'est jamais remis de cette scène....comme bien plus tard, l'actrice qui tourna avec une femme réalisatrice Despentes et Rocco Siffredi.....
Votre commentaire est pathétique de contradiction mais bon, vous êtes un "user".
"Profession Reporter" de Michelangelo Antonioni avec Jacques Nickolson est un très beau film.
Ah oui mais t'as eu la curiosité d'aller le voir, le film, ça t'excitait , sa réputation sulfureuse. Et maintenant tu vien sjouer les saintes nitouche ..???
Mais c'est par ailleurs un très beau film, réduit par des concierges bas de plafond à cette scène. On peut ne vouloir rien comprendre ou on peut vouloir être un peu plus intelligent ( c'est pas à la mode, je sais).
Ce film est nul.truc de vieux dégeu libidineux.alors que Bertolucci a fait des chefs d'oeuvre.
Moi j'appelle cela un viol tout simplement : mineur, non consentante ! J'aimais beaucoup Maria Schneider et heureusement que sa cousine a pensé à rappeler à tout ce monde du cinéma qu'il y avait et a toujours de gros porcs dans ce milieu. Repose en paix Maria, ils l'ont payé. Karma.
Brando innocent ?
C'est lui le marteau fou dans la scène non ?
Et le metteur en scène ça va lui pas trop traumatisé par sa propre perversion ?????????
Le viol proprement dit de Maria Schneider n'a fort heureusement pas eu lieu. En revanche, Maria Schneider a bien reçu du beurre de la main de Brando entre les fesses. C'est cet effet de surprise et d'humiliation qui a été saisi par le réalisateur comme il le souhaitait (il avait organisé ce guet-apens le matin même avec l'acteur). Jamais Maria Schneider n'en a été informée et cette scène ne figurait pas sur le script. Aussi s'est-elle sentie souillée et déconsidérée. Brando aurait fini par reconnaitre qu'il s'était très mal conduit et aurait présenté ses excuses à la jeune actrice qui les a acceptées. Bertolucci ne l'a admis que sur le tard, sous la pression.
Au secours vos commentaires....vos remarques...😢
Il y a un documentaire de Mireille Dumas ou Maria Schneider dit clairement que Marion Brando l’avait mise au courant du « changement » du réalisateur et que l’acte a été simulé dans le film !
L'acte a été simulé mais pas la main de Brando avec le beurre dans les fesses dixit article ELLE de juin 2024.
C est triste on s est servi d elle comme une superlliere
Une justification artistique c.....d
1 viol prémédité
Ce film l a detruite
mais qui est la Brune qui rigole à propos de ce drame?
Où la voyez-vous ?????
La femme de Hollande !!!!!!
C'est sa cousine je crois ? Elle se fait du fric ....
Vanessa Schneider est journaliste au Monde. Son livre "Maria" dans lequel elle rendait hommage à sa cousine et expliquait à quel point on s'était mépris sur son compte a servi de support au film. Elle n'a pas écrit ce livre pour se "faire du fric" mais pour rétablir la vérité sur Maria.
tout travail mérite salaire.
Mais qu'est-ce qu'elle fout là, la femme de Flamby ??
Elle t’emm…❣️
J ai jamais rien compris a ce film ... La pauvre tout ca pour ca ....Et la méchancete des gens bien sure !!!!
Que Maria ait été traumatisée par le tournage, c'est grave et triste. Cependant, marre de lire n'importe quoi sur ce chef-d'oeuvre absolu du cinéma, une date comparable selon la grande critique Pauline Kael au "Sacre du Printemps" dans la musique. Seuls les aveugles ou les ignares peuvent penser que ce film mettrait en valeur le "mâle", alors qu'il raconte précisément la lente chute vers la mort du "masculin" (le "féminin" se libérant à la fin). Le personnage de Brando est montré dans toute sa décrépitude (poignante ET répugnante), son déclin physique et émotionnel, voire sa dégueulasserie (justement dans la fameuse scène où lui-même d'ailleurs souhaite se faire humilier par le même type d'acte). Les tableaux de Bacon dans le générique du début ne sont pas gratuits : le film est sans pitié sur les tourments de la chair, du désir, de la mort. Ne pas comprendre ça, c'est ne rien comprendre au cinéma en tant qu'art, oublier que pendant une vingtaine d'années (des premiers sommets d'Antonioni à la "Nave va" de Fellini) le cinéma européen (italien en particulier) était la quintessence adulte (voulant se confronter enfin à la pensée, la poésie, l'indicible, et pas juste le divertissement) de cette forme d'expression.
Tu es un grande malade.🤮
Ceci est un viol, continuez à vous délecter de ce « chef d’œuvre » sans culpabilité. Mais ne vous racontez pas d’histoires !
@@sofyab.6264 Non, désolé mais vous jouez sur les mots : vous songez à un viol symbolique, moi je vous parle de scénario, de film, et de scène qui ne constitue pas (quand bien même vous avez le droit d'être choquée) un viol au sens de la loi.
On reproche aux anciennes colonies de ne pas vivre dans le passé, d'aller de l'avant. Mais vous, occidentaux, ne faites que ressasser vos vieilleries. Votre société est vraiment malade !
Que racontez vous ? Vous ne comprenez rien comme d'hab!
@@nicolerip3264 C'est qui "vous" ?!
Je réitère, votre société est malade ! Et tant que vous ne vous en rendrez pas compte (ou continuerez à fermer les yeux sur vos maux), rien ne s'arrangera :p
Voilà la mariée il manque le voile aurelie
Brendo senti manipulée? il l'a quand même enc4lé....
Viol odieux. Marlon Brando était complice car il est le violeur de ce drame.
Mais il n’y a pas eu de viol c’était une scène mimée dont elle n’a pas été mise au courant
@@ladykiller1978 Si elle n'était pas au courant, elle ne pouvait pas la mimer donc c'est un viol non simulé.
@@ladykiller1978 Si l'actrice n'était pas au courant du changement de scénario, je ne vois pas comment elle a pu simuler, elle pleure pendant la scène du viol. Ce sont de vraies larmes parce que Brando la pénètre par surprise.
@@PrunelleTommy-yi9be Le cinéma et vous ça fait deux...
@@Serge-x3qvous et la justice et l'empathie, ça fait dix!
Ce film etait nul ,j ai deteste le dernier tango
N'importe quoi. Un film de circonstance fait par des cyniques, comme d'hab. Qui peut imaginer que Maria Schneider a été violée par Brando devant vingt techniciens !?? Qu'elle ait été impliquée par surprise dans cette scène par bertolucci au point que cela l'affecte et que tout un tas de connards lui tombe sur le râble ensuite, d'accord. Mais elle ne s'est pas faite pénétrer, et ça personne ne le précise. C 'était une actrice assez anodine qui a fait d' autres scènes de sexe (dans la dérobade notamment) et son statut hypertrophié de victime va en faire une actrice de talent post mortem. Ridicule.
Ah ok, elle ne s'est pas fait pénétrée donc tout va bien d'après vous🙄 qu'est ce qu'il faut pas lire🤦♀️
Dans l'article du "Elle" de juin, la journaliste qui itw Vanessa Schneider dit que Brando lui a passé le beurre dans les fesses. Cette scène ne figurait absolument pas sur le scénario et c'est son expression outragée et humiliée non feinte que Bertolucci a voulu filmer. Il a fini par reconnaître son attitude indigne. Les autres scènes de sexe de ce film comme des autres films qu'elle allait tourner figuraient sur les scenarios et elle avait donné son accord. Ce qu'elle n'a pas supporté c'est de subir cette humiliation devant une équipe et la caméra. Elle n'avait pas signé pour, pas donné son consentement.
😮bof pas terrible le film maria
Elle, humiliée et lui, adulé 🤮
Quel autres films avez vous vu d'elle ?
L’actrice du film « Maria » a réellement été violée pour apporter du crédit au film ? 🤣
Oui mais Brando c était brando