Les bonnes idées attirent l’argent.

[00:00-00:17] son sujet de travail, donc il est en train de réfléchir comment, en 30 ans, Paris puisse avoir des maisons dans les sous-sorts. Vous comprenez? C'est ça l'innovation. Lui, son travail, c'est dans 30 ans, il y aura des maisons à Paris
[00:19-00:33] dans les sous-sorts. Les gens vont acheter des maisons, il y aura des avenirs, il y aura tout ça. Financé par quoi? Par la mairie de Bataille. Quand vous avez des bonnes idées, ça attire l'argent. Et moi, pour me mettre dans ce... Je vis là pour que je pose des questions.
[00:35-00:47] Moi, je ne sais pas comment je vais poser des questions. Je vais dire ma paté, vous allez... Comment on peut vivre dans ces abattus? Et là, on réfléchit déjà, comme il y a ces populations, comment vivre dans les sous-sols. Avec des véhicules, s'il vous plaît, vous achetez les parcelles, tout ça.
[00:50-00:59] Oui. Je me suis dit que c'était une marge, je me réserve pour poser des questions parce que je suis... Je suis congolais, ça me dépassait. Donc, élevons notre niveau. du coup vous voyez c'est ça qui dépasse donc et les fonds d'autres niveaux comme université moi je m'adresse aux universités évidemment c'est difficile parce que quand
[01:03-01:15] vous étudiez dans des conditions difficiles dans un environnement de pauvreté, moi je ne vais pas nous dire vous avez du mal à réfléchir je voulais même dire à mon frère quand j'ai dit que nos structures officielles ne sont pas efficaces
[01:20-01:34] par rapport aux ressources qu'on met à disposition et son passé par rapport aux sources communes le financement des élus quand il est déçu c'est bizarre
[01:34-01:44] c'est la pauvreté excusez-moi mais moi j'ai réfléchi comme ça nous c'est le financement des millions quand on fait déjà dans le service et je ne donne pas plus de gratuité pour
[01:48-01:59] l'avenir et commencer par un clic de famille c'est bizarre déjà des fois qu'on soit pressé c'est quelqu'un là et nous si le président d'algerie qui a fait des médias des cibles à l'université les étudiants pour
[02:04-02:15] battre et pour jésus mais mettons et désormais ses financements et le faire et des médias nous sommes en train de y aller pour et de faire des billardaires. Nous sommes un grand billardaire, beaucoup de cotisations. Et portons seulement l'orgueil d'être
[02:16-02:27] bongolais et d'être grand. Et de chercher toujours une place devant quand on est à l'échange. Et notre drapeau flotte, que ce soit dans le football, que ce soit dans l'entrepreneuriat,