Entretien très intéressant, merci ... rien à voir avec les échanges sur les réseaux sociaux. Le sujet est pour moi très actuel et abordé de façon posée et réfléchie, ça fait du bien.
Excellent ouvrage que j’ai pris énormément de plaisir à lire. Seul petit reproche qui ne doit en rien minimiser la qualité du travail de M. Stépanoff, sa division de la chasse actuelle entre chasses paysannes du petit gibier d’un côté et chasse commerciale du grand gibier de l’autre (sans parler du cas à part et minoritaire de la chasse à courre) pourrait donner à penser au lecteur non averti que c’est ainsi que s’articule aujourd’hui le monde de la chasse en France. Or des chasses commerciales de petit gibier existent (lâchers de faisans d’élevage pour le plaisir du tir des « chasseurs », pour le beau geste) tout comme les chasses paysannes du grand gibier existent aussi et se pratiquent dans les ACCA partout en France. Cette opposition est donc totalement arbitraire, artificielle et simpliste. La réalité du terrain est un peu plus compliquée, mais sûrement M.Stépanoff n’a pas eu le temps ou l’occasion de l’approfondir suffisamment pour s’en saisir.
Je n ai pas lu son ouvrage mais comparer les dernieres peuplades chamaniques de siberie encore nomades qui tuent l'animal pour se nourrir, les comparer aux chasseurs francais avec leur 4x4 et tout leur attirail moderne, qui font tous leur courses a carrefour mais qui s amusent à flinguer le peu d animaux sauvages qui tentent de survivre dans les quelques espaces naturels qui restent entre les zones urbaines, c est assez osé. A moins que le but soit justement d en mesurer l éloignement.
A propos de l'animal - enfant, dépendant de ses maîtres pour le nourrir, le chat reste tout de même semi sauvage étant donné sa capacité à chasser par lui-même. Contrairement aux chiens domestique par exemple.
Merci pour cette formidable perspective, M. Stepanoff. Meilleurs vœux pour votre santé et bravo pour ce prix!
je viens de finir ce livre que j'ai trouvé rigoureux, plein d'infos, fantastique .merci
Merci et bravo pour cette vision partagée et expliquée au plus grand nombre .
Merci à vous « Libraire Mollat ».
Vous souscrivez à notre appétence de savoir et notre volonté de vouloir nous élever….
Encore une fois, je suis ravi!
Très intéressant 👍 merci!
Entretien très intéressant, merci ... rien à voir avec les échanges sur les réseaux sociaux. Le sujet est pour moi très actuel et abordé de façon posée et réfléchie, ça fait du bien.
Excellent ouvrage que j’ai pris énormément de plaisir à lire.
Seul petit reproche qui ne doit en rien minimiser la qualité du travail de M. Stépanoff, sa division de la chasse actuelle entre chasses paysannes du petit gibier d’un côté et chasse commerciale du grand gibier de l’autre (sans parler du cas à part et minoritaire de la chasse à courre) pourrait donner à penser au lecteur non averti que c’est ainsi que s’articule aujourd’hui le monde de la chasse en France. Or des chasses commerciales de petit gibier existent (lâchers de faisans d’élevage pour le plaisir du tir des « chasseurs », pour le beau geste) tout comme les chasses paysannes du grand gibier existent aussi et se pratiquent dans les ACCA partout en France.
Cette opposition est donc totalement arbitraire, artificielle et simpliste. La réalité du terrain est un peu plus compliquée, mais sûrement M.Stépanoff n’a pas eu le temps ou l’occasion de l’approfondir suffisamment pour s’en saisir.
Merci
Excellent
Je n ai pas lu son ouvrage mais comparer les dernieres peuplades chamaniques de siberie encore nomades qui tuent l'animal pour se nourrir, les comparer aux chasseurs francais avec leur 4x4 et tout leur attirail moderne, qui font tous leur courses a carrefour mais qui s amusent à flinguer le peu d animaux sauvages qui tentent de survivre dans les quelques espaces naturels qui restent entre les zones urbaines, c est assez osé. A moins que le but soit justement d en mesurer l éloignement.
A propos de l'animal - enfant, dépendant de ses maîtres pour le nourrir, le chat reste tout de même semi sauvage étant donné sa capacité à chasser par lui-même.
Contrairement aux chiens domestique par exemple.