Déjà trois ans. La plus belle interprétation que je connaisse. Merveilleuse synthèse du classique et du jazz que Thomas Enhco est le seul aujourd’hui à pouvoir réaliser.
Gershwin aimait et était très influencé par le jazz, seul un pianiste de jazz comme Thomas Enhco pouvait nous restituer cette Rhapsodie dans l'esprit, la sensibilité de l'auteur, avec sa virtuosité époustouflante... Bref, c'est une interprétation d'anthologie. Bravo Monsieur Enhco !
Par contre la suite est époustouflante, quelle ampleur de l'orchestre et le toucher précieux de Enhco est merveilleux; le rubato trouve sa place ...entre Chopin et Keith Jarrett, rag time et romantisme..un grand merci.
Un ami musicien m'avait dit : " il y a trois types de chefs (d'orchestre), il y a ceux qui font jouer (les musiciens), ceux qui laissent jouer et ceux qui empêchent de jouer!"... J'adore les nombreuses et audacieuses digressions composantes, "réappropriantes", de Thomas Enhco, cette grâce swinguante toute particulière qu'il a dans les solos. On sent aussi qu'il attend parfois l'orchestre tout occupé à décoller ses bottes de la gadoue argileuse et collante dans laquelle le "chef empêcheur" aux bras si lourd, lourds, lourds, semble les avoir plongés, eux, Thomas Enhco et le pauvre Gershwin...Dommage, et bravo tout de même (la critique est aisée mais l'art...)
L’orchestre et son chef ne sont pas tout à fait au niveau du pianiste, mais l’ensemble a une sacrée gueule ! Ça change du barnum en quoi on transforme habituellement cette œuvre. Bref tout ça est sacrément musical...
Déjà trois ans. La plus belle interprétation que je connaisse. Merveilleuse synthèse du classique et du jazz que Thomas Enhco est le seul aujourd’hui à pouvoir réaliser.
Dire qu'on a loupé ce concert et aucune excuse, on habite à portée de fusil. Que des regrets car c'est excellent et j'adore Thomas Enhco.
Gershwin aimait et était très influencé par le jazz, seul un pianiste de jazz comme Thomas Enhco pouvait nous restituer cette Rhapsodie dans l'esprit, la sensibilité de l'auteur, avec sa virtuosité époustouflante... Bref, c'est une interprétation d'anthologie.
Bravo Monsieur Enhco !
Magnifique interprétation, bravo !
Par contre la suite est époustouflante, quelle ampleur de l'orchestre et le toucher précieux de Enhco est merveilleux; le rubato trouve sa place ...entre Chopin et Keith Jarrett, rag time et romantisme..un grand merci.
Brilliant!
Un seul mot : Grandiose !
Gershwin adorerait . Il l'"a sans doute pensé comme ca ! Bravo ^^
Un ami musicien m'avait dit : " il y a trois types de chefs (d'orchestre), il y a ceux qui font jouer (les musiciens), ceux qui laissent jouer et ceux qui empêchent de jouer!"... J'adore les nombreuses et audacieuses digressions composantes, "réappropriantes", de Thomas Enhco, cette grâce swinguante toute particulière qu'il a dans les solos. On sent aussi qu'il attend parfois l'orchestre tout occupé à décoller ses bottes de la gadoue argileuse et collante dans laquelle le "chef empêcheur" aux bras si lourd, lourds, lourds, semble les avoir plongés, eux, Thomas Enhco et le pauvre Gershwin...Dommage, et bravo tout de même (la critique est aisée mais l'art...)
Très bien
Denne vil jeg omdøpt til Rhapsody in blue and yellow
Bonjour, donnez-vous des cours sur paris?
vers 8:39, cadenza ou interprétation personnelle ?
C'est une petite improvisation. Bien vu ! (il y en a d'autres parsemées ici et là ;-))
la famosa rapsodia in blu
L’orchestre et son chef ne sont pas tout à fait au niveau du pianiste, mais l’ensemble a une sacrée gueule ! Ça change du barnum en quoi on transforme habituellement cette œuvre. Bref tout ça est sacrément musical...
J’oubliais : et quelle musicalité, quelle élégance, quelle sonorité dans les solos du piano !
drôle de début !!! il a avalé sa salive?