Est-ce que le fait de reconnaître ce qu'on a fait est quelque chose qui permet d'atteindre la résilience ? ...certains reconnaissent, pour autant sans se remettre en question. Reconnaître est juste une étape. Il y a 14 ans, devant moi ma mère a mis une violente gifle à mon fils âgé de seulement 2 ans et demi à l époque. Le lendemain, elle m'a demandé " bon, j ai mis une gifle à ton fils car il m'a poussé à bout, et je voulais savoir : est-ce qu il m'aime toujours ? Je l ai giflé et je voulais savoir s'il m aime toujours malgré tout ?". Elle a reconnu son geste violent sur mon enfant qui est son petit-fils. Pour autant, elle n'a pas ressenti de culpabilité et sa seule préoccupation était de savoir si mon enfant allait continuer à l'aimer. Précisons donc bien svp que reconnaître qu on a été violente n'est qu une infime étape du chemin donnant accès à la résilience. Certaines personnes gravissent cette petite première marche puis vous disent " j ai reconnu que j ai été violente donc hein c est bon ça suffit je l ai reconnu donc tu peux me refaire confiance à nouveau". Ça ne suffit pas. C est vraiment le fait de sentir une profonde culpabilité qui fera que la personne auteure en sortira. Sans le sentiment de culpabilité, reconnaître sa propre violence ça peut créer davantage de malaise. Ma mère a reconnu qu elle avait été violente. Mais en me demandant si mon fils allait toujours l aimee, j ai compris qu elle banalisait la violence psychologique et physique qu elle exerce. Un juge aux affaires familiales l a déboutée de sa demande de droit de visite et d' hébergement sur mes deux enfants il y a 3 ans. C est important ce type de témoignage que vous diffusez. Car cette dame le dit bien. C est le fait qu elle s est sentie honteuse et imprégnée d une forte culpabilité qui lui a permis d arrêter sa violence, d en sortir et de faire ensuite quelque chose d'intéressant pour les autres. Bravo madame. Je suis très admirative devant le témoignage de cette dame. Votre sentiment de culpabilité , c'est ce qui vous a permis de choisir un autre chemin.
très touchée par ce témoignage.. parcours magnifique !! en résonnance avec le mien, à ceci près que je n'ai pas pu mettre d'enfants au monde, que j'ai réussi à fuir les violences, que j'ai fait un parcours thérapeutique , en commençant par la psycha, un parcours étudiant en lien avec la petite enfance, et hélas, tellement heurtée par la maltraitance, y compris en institution.. tellement de peine et de colère... je n'ai pas réussi à subblimer..ni le professionnel, ni le couple.. alors oui madame soyez fière de votre parcours et de votre chemin. Merci pour ce témoignage.
J'ais vécue pareille. Je l'ais découvert en 2016. Quand mon ex mari m'a jetée pour une autre personne. J'ais repris le fil de mon enfance pour savoir si j'ais était avec des personnes dans ma famille. Effectivement je n'ai pas réagit dans mon enfance mais c'était ça. Après thérapie j'ais compris pourquoi j'ais rencontrée un mari pn qui m'a quelque fois violenter mais c'était verbalement parfois physiquement ça lui ai arrivé 😢. Je trouvais que c'était normale. La violence verbale et physique. Mais jamais reportée sur mes enfants 😊merci monsieur Bouchoux 😄😉❤️❤️🙏
❤coucou vous deux Richard et Brigitte merci pour CE PARTAGE qui me parle moi j ai été ABANDONNÉE et violé dans mon intimité j avais 10ans DIEU merci je N ais pas pour autant subir ça a mon fils 😢😏🤔👋🙏😚💛🥰
merci mais cela peut prendre très longtemps j'ai été élevé par des parents PN j'en ai 64 ans mais cela fait très peu de temps que j'ai compris cela et que plein de personnes de mon entourage sont ou étaient PN
Donc aujourd’hui on trouve ça normal de mettre une femme qui reconnaît avoir été violente moralement et physiquement avec ses enfants, responsable de la petite enfance, et on trouve ça normal ? Je comprends pourquoi la plupart des éducateurs le sont
Manque d'amour charnelle et réel . De la non accomplissement Shabbat
Est-ce que le fait de reconnaître ce qu'on a fait est quelque chose qui permet d'atteindre la résilience ? ...certains reconnaissent, pour autant sans se remettre en question. Reconnaître est juste une étape. Il y a 14 ans, devant moi ma mère a mis une violente gifle à mon fils âgé de seulement 2 ans et demi à l époque. Le lendemain, elle m'a demandé " bon, j ai mis une gifle à ton fils car il m'a poussé à bout, et je voulais savoir : est-ce qu il m'aime toujours ? Je l ai giflé et je voulais savoir s'il m aime toujours malgré tout ?".
Elle a reconnu son geste violent sur mon enfant qui est son petit-fils. Pour autant, elle n'a pas ressenti de culpabilité et sa seule préoccupation était de savoir si mon enfant allait continuer à l'aimer. Précisons donc bien svp que reconnaître qu on a été violente n'est qu une infime étape du chemin donnant accès à la résilience. Certaines personnes gravissent cette petite première marche puis vous disent " j ai reconnu que j ai été violente donc hein c est bon ça suffit je l ai reconnu donc tu peux me refaire confiance à nouveau".
Ça ne suffit pas.
C est vraiment le fait de sentir une profonde culpabilité qui fera que la personne auteure en sortira.
Sans le sentiment de culpabilité, reconnaître sa propre violence ça peut créer davantage de malaise. Ma mère a reconnu qu elle avait été violente. Mais en me demandant si mon fils allait toujours l aimee, j ai compris qu elle banalisait la violence psychologique et physique qu elle exerce. Un juge aux affaires familiales l a déboutée de sa demande de droit de visite et d' hébergement sur mes deux enfants il y a 3 ans.
C est important ce type de témoignage que vous diffusez. Car cette dame le dit bien. C est le fait qu elle s est sentie honteuse et imprégnée d une forte culpabilité qui lui a permis d arrêter sa violence, d en sortir et de faire ensuite quelque chose d'intéressant pour les autres.
Bravo madame. Je suis très admirative devant le témoignage de cette dame. Votre sentiment de culpabilité , c'est ce qui vous a permis de choisir un autre chemin.
très touchée par ce témoignage.. parcours magnifique !! en résonnance avec le mien, à ceci près que je n'ai pas pu mettre d'enfants au monde, que j'ai réussi à fuir les violences, que j'ai fait un parcours thérapeutique , en commençant par la psycha, un parcours étudiant en lien avec la petite enfance, et hélas, tellement heurtée par la maltraitance, y compris en institution.. tellement de peine et de colère... je n'ai pas réussi à subblimer..ni le professionnel, ni le couple.. alors oui madame soyez fière de votre parcours et de votre chemin. Merci pour ce témoignage.
Excellent Jean-Charles, comme d'habitude!
J'ais vécue pareille. Je l'ais découvert en 2016. Quand mon ex mari m'a jetée pour une autre personne. J'ais repris le fil de mon enfance pour savoir si j'ais était avec des personnes dans ma famille. Effectivement je n'ai pas réagit dans mon enfance mais c'était ça. Après thérapie j'ais compris pourquoi j'ais rencontrée un mari pn qui m'a quelque fois violenter mais c'était verbalement parfois physiquement ça lui ai arrivé 😢. Je trouvais que c'était normale. La violence verbale et physique. Mais jamais reportée sur mes enfants 😊merci monsieur Bouchoux 😄😉❤️❤️🙏
Merci Jean Charles
❤coucou vous deux Richard et Brigitte merci pour CE PARTAGE qui me parle moi j ai été ABANDONNÉE et violé dans mon intimité j avais 10ans DIEU merci je N ais pas pour autant subir ça a mon fils 😢😏🤔👋🙏😚💛🥰
merci mais cela peut prendre très longtemps j'ai été élevé par des parents PN j'en ai 64 ans mais cela fait très peu de temps que j'ai compris cela et que plein de personnes de mon entourage sont ou étaient PN
Donc aujourd’hui on trouve ça normal de mettre une femme qui reconnaît avoir été violente moralement et physiquement avec ses enfants, responsable de la petite enfance, et on trouve ça normal ? Je comprends pourquoi la plupart des éducateurs le sont
cc ils ont vu mon fils a vu son pere violent avec moi il a reproduit la meme chose
Ben moi j ai EUX un conjoint VIOLENT psychologiquement pas physiquement par contre mon fils lui VIOLENT physique 😏🤔😘