@@pascalheimbach861 un mélange de turcs et d aryens avec un petit peu de semites Le culte du penis chez certains turcs les tengris et en Inde avec shiva
La conquête de la Grande Bulgarie : pointe de la Russie du Sud (Kouban), Crimée et partie Est de l'Ukraine peuplée de Bulgares (apparemment population mixte irano-turque) et les Koutrigours-Onogours-Saragours (tribus hunno-turques) a fortement contribué à l'adoption de cet idiome.
@@pascalheimbach861 Tout à fait. Les Bulgares seraient une population turcique totalement slavisée (contrairement aux Hongrois). Slavisée linguistiquement, mais aussi linguistiquement.
@@singularoverview9885 Là en l'occurrence avant leur partition en trois groupes : Bulgarie noire sous contrôle direct kazar, Bulgarie de la (haute) Volga fondée après émigration et vassalisée jusqu'au 10ème siècle et la Bulgarie balkanique que vous évoquiez avant leur conversion au Christianisme et slavisation. On parle de proto-Bulgares dans ce cas.
LA GENÈSE hapitre 9 Chapitre 10 Chapitre Chapitre 10 1 Voici la descendance des fils de Noé, Sem, Cham et Japhet. ll leur naquit des fils après le déluge Fils de Japhet : Gomer, Magog Madaï, Yavane, Toubal, Mèshek et Tirâs. 3 Fils de Gomer : Ashkenaz, Rifath et Togarma
Intéressante enquête génétique, demeure le problème sémantique : tu confonds génétique avec un concept. Ashkénaze est un concept, pas une race ou une géographie. Les ashkénazes premiers sont des juifs du nord méditerranéen remontés vers le nord et nord est de l'europe. Et enfin, Ashkénaze signifie "homme trésor" ou homme précieux, ce qui est mis en sécurité. Les khazars sont des convertis qui sont venus du caucase pour gonfler les rangs des ashkénazes de l'est européen.
Merci pour ton commentaire. Je ne comprends pas d'où sort le terme "race" que je n'ai pas utilisé une seule fois. Il n'en demeure pas moins que malgré les divergences, les Ashkénazes sont un groupe génétique assez homogène. L'autre caractéristique est d'ordre linguistique : c'est pourquoi les zones ashkénazes sont aussi appelées "yiddishland". Quant à la géographie, il est indéniable que depuis le Moyen-Âge, le terme Ashkénaze renvoie aux communautés juives d'Europe centrale et orientale. Le noyau initial était situé le long du Rhin, à cheval entre la France et l'Allemagne, mais au fur et à mesure des siècles (et des aléas), ces communautés ont essaimé vers l'Est. Pour les généticiens, tout comme pour les historiens, les Ashkénazes émergent en tant que groupe à compter des IXe et Xe siècles en Europe occidentale germanophone. En essaimant vers l'Est, ils absorbent des communautés juives de langue slave (à Kiev ou Prague notamment). Malgré la forte influence de celle-ci sur le yiddish (près de 15% du vocabulaire, des structures syntaxiques et des prénoms comme Badane ou Zlate), c'est le yiddish qui prend le dessus (même si le judéo-slave a continué d'être parlé pendant très longtemps en Biélorussie). Quant aux Khazars, c'est effectivement ce que je propose sur la vidéo. J'évite de donner tous ces détails sur la vidéo pour ne pas l'encombrer.
@@singularoverview9885 "race" = groupe génétique. Pas une seule fois tu me dis. On est d'accord que la présence d'ashkénazes est identifié dans l'est de la France. On peut y ajouter les judéo-espagnols entre le 10ème et 14ème siècle, bien qu'ils se stabilisent vers la hollande. Le terme Ash-Kénaze viendrait des juifs déportés vers Rome avec "Trésors" et intellectuels après la destruction du temple, ceci est documenté. J'ai été censuré il y a peu alors que je prouvais à un na(zi) si, auniste et je suis prudent, qui niait l'existence de la pal, es, tine et même des palestiniens, un idiot qui n'avait jamais lu la Torah, et qui refusait le terme de khazars et convertit, essayant de justifier par là le bon, barde, ment d'enfants actuellement. Des gens qui menacent les réseaux socios s'ils ne censurent pas.
@@victoremman4639 race est un terme dépassé. Il est très chargé idéologiquement puisqu'il implique l'idée d'une fatalité d'un groupe donné. "Groupe génétique", ça renvoie justement à des populations très proches d'un point de vue génétique. Les Ashkénazes forment un ensemble homogène. Les différences restent mineures. La composante d'Europe orientale, par exemple, n'existe pas les Juifs allemands alors qu'on la rencontre en Ukraine ou Bélarus. Il est également vrai que des Séfarades se sont installés en pays Ashkénaze à compter du XVe siècle. Aux Pays-Bas certes (Spinoza en est un bon exemple), mais aussi en Pologne et au Danemark. D'ailleurs, certains Ashkénazes portent des haplogroupes emblématiques de la Méditerranée occidentale : R-DF27 (ibérique), E-M81 (maghrébin) et G-FCG249 (ibéro-maghrébin). Quant à l'étymologie "Ashkénaze", ça renvoie plus certainement au personnage biblique "Ashkenaz" avec réinterprétation. L'étymologie que tu proposes m'a l'air populaire. Enfin, si la composante khazar existe (surtout d'un point de vue patrilinéaire), il ne faut pas non plus la surestimer. D'un point de vue autosomique, les Ashkénazes sont avant tout européens (à environ 55%), puis levantins (près de 35-38%). Les 8-10% restants sont partagés entre composante turcique/khazar et berbère/nord-africaine (via Al Andalus surtout).
@@singularoverview9885 Les données que tu présentes sont pertinentes et affutées. Ma spécialité est la sémantique. Au contraire, la définition de AshKénaze vient des mes analyses morphosémantiques et étymologiques du lexique de la Torah et du Qur'an en passant par l'araméen. Nous avons des traces historiques de la présence juive en Italie et sud de la France jusqu'à Lyon, dont certains sont montés plus au nord et vers l'allemagne. Je continue de croire que AshKénaze est un terme générique pour parler des juifs, et assimilés, en Europe centrale. Et pour l'analyse du mot : Ash signifie Homme en hébreu mais aussi le Feu, ce qui anime l'homme, sa flamme. Et Kénaze c'est l'étymon KN qui exprime un état durable, constant, et le Z indique une séparation, donc Kénaze parle de quelque chose "stockée + de côté", d'où le sens de Trésor.
@@victoremman4639 Tout à fait d'accord par rapport aux origines franco-italiennes des Ashkénazes. Cela est confirmé par la composante européenne des Ashkénazes, largement comparable aux Italiens. Ce sont les Européens les plus proches des Ashkénazes. Un Juif de Biélorussie est infiniment plus proche d'un Italien (du Sud, du Centre voire du Nord) que d'un Samaritain.
Une autre étude génétique révélait une ascendance méditerranéenne du côté matrilinéaire : Italie, Grèce, Anatolie pour les Ashkénazes. Le patrilinéaire semble partagé entre le Proche-Orient et ces populations d'Asie Centrale ou du Caucase.Tout dépend du pourcentage d'individus testés. Y a-t-il un lien avec les Kalash du Pakistan ou les Nouristanis d'Afghanistan ? Populations proche phénotypiquement des Européens et ayant probablement émigré vers l'actuel Xinjiang durant la période des Kouchans ou Huns Blancs jusqu'au VIème siècle de notre Ère.
Tout à fait. Il existe un noyau méditerranéen commun aux Ashkénazes-Italkim-Séfarades (au 1er sens du terme "descendants des Juifs ibériques"). Il inclut beaucoup de conversions de sud-européens au judaïsme. Les Juifs marocains ont, par exemple, pas mal d'haplogroupes patrilinéaires liés à ces régions italo-grecques et balkano-anatoliennes. Il en va de même pour les Ashkénazes : www.yfull.com/tree/I-Y3120/ ou encore www.yfull.com/tree/J-CTS6190/. Quant aux lignées matrilinéaires, elles semblent effectivement être, dans leur écrasante majorité, européenne. Costa avance l'estimation de 81% (d'Europe occidentale) : www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3806353/. Pour sa part, Broke (THE MATERNAL GENETIC LINEAGES OF ASHKENAZIC JEWS) insiste sur la contribution slave et germanique. Les lignées patrilinéaires sont majoritairement moyen-orientales effectivement, avec pour beaucoup, des concordances avec les Libanais ou Palestiniens. Cela étant, d'autres sont abusivement considérées comme "moyen-orientales" : à mon sens, la zone irano-caucasienne ne correspond pas au Moyen-Orient stricto sensu (du moins pas au Levant judéen). C'est encore moins le cas de la lignée corrélée aux langues iraniennes orientales. Doron Behar, auteur de beaucoup d'études génétiques sur les Juifs, est connu pour ses conclusions hâtives et sa sélection des résultats selon ses préférences idéologiques. Il n'a rendu public que 4 résultats de Juifs marocains. Les dizaines d'autres résultats (non issus d'études) auxquels j'ai pu accéder avaient une composante moyen-orientale moins importante, et une composante berbère/nord-africaine sensiblement plus forte (de l'ordre de 36% pour certains échantillons). Pour ce qui est de votre question, je ne saurais y répondre.
![Comment l’État d’Israël fut-il créé ? [QdH#58]](/img/n.gif)
Parmi les khazars y avait les magyars , actuellement les hongrois, c'est pour ça y'a bcp de juifs hongrois, comme le cas de Nikola Sarkozy
Beau travail.
On dirait que la conclusion a été coupée . Je reste sur ma fin .
Merci pour votre travail.
L'Oghur (langue hunno-bulgare) etait la lingua franca du Kaganat et n'impliquait pas forcément une appartenance à un groupe ethnique turc
Tout à fait. Linguistique et génétique sont souvent à dissocier.
@@pascalheimbach861 un mélange de turcs et d aryens avec un petit peu de semites
Le culte du penis chez certains turcs les tengris et en Inde avec shiva
La conquête de la Grande Bulgarie : pointe de la Russie du Sud (Kouban), Crimée et partie Est de l'Ukraine peuplée de Bulgares (apparemment population mixte irano-turque) et les Koutrigours-Onogours-Saragours (tribus hunno-turques) a fortement contribué à l'adoption de cet idiome.
@@pascalheimbach861 Tout à fait. Les Bulgares seraient une population turcique totalement slavisée (contrairement aux Hongrois). Slavisée linguistiquement, mais aussi linguistiquement.
@@singularoverview9885 Là en l'occurrence avant leur partition en trois groupes : Bulgarie noire sous contrôle direct kazar, Bulgarie de la (haute) Volga fondée après émigration et vassalisée jusqu'au 10ème siècle et la Bulgarie balkanique que vous évoquiez avant leur conversion au Christianisme et slavisation. On parle de proto-Bulgares dans ce cas.
LA GENÈSE
hapitre 9
Chapitre 10
Chapitre
Chapitre 10
1 Voici la descendance des fils de
Noé, Sem, Cham et Japhet. ll leur
naquit des fils après le déluge
Fils de Japhet : Gomer, Magog
Madaï, Yavane, Toubal, Mèshek et
Tirâs.
3 Fils de Gomer : Ashkenaz, Rifath et
Togarma
Hors sujet. Vous melanger tout. On parle uniquement des khasards et des Ashkénazes. Donc des lieux et époques différentes.
@@festbloch4135 oui , justement, époque différentes donc aucun lien génétique avec les hébreux biblique.
Peut être pas tous mais sans doute une.proportion non negligeable
Tout à fait. C'est loin d'être une composante majoritaire mais elle existe.
Ashkénazes ça me fait penser à un verset de la genèse...
Mdr
Tu devrais te convertir au judaïsme 🥂
Les Alains sont un peuple iranique
Tout à fait, c'est ce qui est proposé sur la vidéo (malgré le lapsus "germanique" à un moment)
Intéressante enquête génétique, demeure le problème sémantique : tu confonds génétique avec un concept. Ashkénaze est un concept, pas une race ou une géographie. Les ashkénazes premiers sont des juifs du nord méditerranéen remontés vers le nord et nord est de l'europe. Et enfin, Ashkénaze signifie "homme trésor" ou homme précieux, ce qui est mis en sécurité. Les khazars sont des convertis qui sont venus du caucase pour gonfler les rangs des ashkénazes de l'est européen.
Merci pour ton commentaire.
Je ne comprends pas d'où sort le terme "race" que je n'ai pas utilisé une seule fois. Il n'en demeure pas moins que malgré les divergences, les Ashkénazes sont un groupe génétique assez homogène.
L'autre caractéristique est d'ordre linguistique : c'est pourquoi les zones ashkénazes sont aussi appelées "yiddishland". Quant à la géographie, il est indéniable que depuis le Moyen-Âge, le terme Ashkénaze renvoie aux communautés juives d'Europe centrale et orientale. Le noyau initial était situé le long du Rhin, à cheval entre la France et l'Allemagne, mais au fur et à mesure des siècles (et des aléas), ces communautés ont essaimé vers l'Est. Pour les généticiens, tout comme pour les historiens, les Ashkénazes émergent en tant que groupe à compter des IXe et Xe siècles en Europe occidentale germanophone.
En essaimant vers l'Est, ils absorbent des communautés juives de langue slave (à Kiev ou Prague notamment). Malgré la forte influence de celle-ci sur le yiddish (près de 15% du vocabulaire, des structures syntaxiques et des prénoms comme Badane ou Zlate), c'est le yiddish qui prend le dessus (même si le judéo-slave a continué d'être parlé pendant très longtemps en Biélorussie).
Quant aux Khazars, c'est effectivement ce que je propose sur la vidéo.
J'évite de donner tous ces détails sur la vidéo pour ne pas l'encombrer.
@@singularoverview9885 "race" = groupe génétique. Pas une seule fois tu me dis. On est d'accord que la présence d'ashkénazes est identifié dans l'est de la France. On peut y ajouter les judéo-espagnols entre le 10ème et 14ème siècle, bien qu'ils se stabilisent vers la hollande. Le terme Ash-Kénaze viendrait des juifs déportés vers Rome avec "Trésors" et intellectuels après la destruction du temple, ceci est documenté. J'ai été censuré il y a peu alors que je prouvais à un na(zi) si, auniste et je suis prudent, qui niait l'existence de la pal, es, tine et même des palestiniens, un idiot qui n'avait jamais lu la Torah, et qui refusait le terme de khazars et convertit, essayant de justifier par là le bon, barde, ment d'enfants actuellement. Des gens qui menacent les réseaux socios s'ils ne censurent pas.
@@victoremman4639 race est un terme dépassé. Il est très chargé idéologiquement puisqu'il implique l'idée d'une fatalité d'un groupe donné. "Groupe génétique", ça renvoie justement à des populations très proches d'un point de vue génétique. Les Ashkénazes forment un ensemble homogène. Les différences restent mineures. La composante d'Europe orientale, par exemple, n'existe pas les Juifs allemands alors qu'on la rencontre en Ukraine ou Bélarus. Il est également vrai que des Séfarades se sont installés en pays Ashkénaze à compter du XVe siècle. Aux Pays-Bas certes (Spinoza en est un bon exemple), mais aussi en Pologne et au Danemark. D'ailleurs, certains Ashkénazes portent des haplogroupes emblématiques de la Méditerranée occidentale : R-DF27 (ibérique), E-M81 (maghrébin) et G-FCG249 (ibéro-maghrébin).
Quant à l'étymologie "Ashkénaze", ça renvoie plus certainement au personnage biblique "Ashkenaz" avec réinterprétation. L'étymologie que tu proposes m'a l'air populaire.
Enfin, si la composante khazar existe (surtout d'un point de vue patrilinéaire), il ne faut pas non plus la surestimer. D'un point de vue autosomique, les Ashkénazes sont avant tout européens (à environ 55%), puis levantins (près de 35-38%). Les 8-10% restants sont partagés entre composante turcique/khazar et berbère/nord-africaine (via Al Andalus surtout).
@@singularoverview9885 Les données que tu présentes sont pertinentes et affutées. Ma spécialité est la sémantique. Au contraire, la définition de AshKénaze vient des mes analyses morphosémantiques et étymologiques du lexique de la Torah et du Qur'an en passant par l'araméen. Nous avons des traces historiques de la présence juive en Italie et sud de la France jusqu'à Lyon, dont certains sont montés plus au nord et vers l'allemagne. Je continue de croire que AshKénaze est un terme générique pour parler des juifs, et assimilés, en Europe centrale. Et pour l'analyse du mot : Ash signifie Homme en hébreu mais aussi le Feu, ce qui anime l'homme, sa flamme. Et Kénaze c'est l'étymon KN qui exprime un état durable, constant, et le Z indique une séparation, donc Kénaze parle de quelque chose "stockée + de côté", d'où le sens de Trésor.
@@victoremman4639 Tout à fait d'accord par rapport aux origines franco-italiennes des Ashkénazes. Cela est confirmé par la composante européenne des Ashkénazes, largement comparable aux Italiens. Ce sont les Européens les plus proches des Ashkénazes. Un Juif de Biélorussie est infiniment plus proche d'un Italien (du Sud, du Centre voire du Nord) que d'un Samaritain.
Une autre étude génétique révélait une ascendance méditerranéenne du côté matrilinéaire : Italie, Grèce, Anatolie pour les Ashkénazes.
Le patrilinéaire semble partagé entre le Proche-Orient et ces populations d'Asie Centrale ou du Caucase.Tout dépend du pourcentage d'individus testés.
Y a-t-il un lien avec les Kalash du Pakistan ou les Nouristanis d'Afghanistan ? Populations proche phénotypiquement des Européens et ayant probablement émigré vers l'actuel Xinjiang durant la période des Kouchans ou Huns Blancs jusqu'au VIème siècle de notre Ère.
Tout à fait. Il existe un noyau méditerranéen commun aux Ashkénazes-Italkim-Séfarades (au 1er sens du terme "descendants des Juifs ibériques"). Il inclut beaucoup de conversions de sud-européens au judaïsme. Les Juifs marocains ont, par exemple, pas mal d'haplogroupes patrilinéaires liés à ces régions italo-grecques et balkano-anatoliennes. Il en va de même pour les Ashkénazes : www.yfull.com/tree/I-Y3120/ ou encore www.yfull.com/tree/J-CTS6190/.
Quant aux lignées matrilinéaires, elles semblent effectivement être, dans leur écrasante majorité, européenne. Costa avance l'estimation de 81% (d'Europe occidentale) : www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3806353/. Pour sa part, Broke (THE MATERNAL GENETIC LINEAGES OF ASHKENAZIC JEWS) insiste sur la contribution slave et germanique.
Les lignées patrilinéaires sont majoritairement moyen-orientales effectivement, avec pour beaucoup, des concordances avec les Libanais ou Palestiniens. Cela étant, d'autres sont abusivement considérées comme "moyen-orientales" : à mon sens, la zone irano-caucasienne ne correspond pas au Moyen-Orient stricto sensu (du moins pas au Levant judéen). C'est encore moins le cas de la lignée corrélée aux langues iraniennes orientales. Doron Behar, auteur de beaucoup d'études génétiques sur les Juifs, est connu pour ses conclusions hâtives et sa sélection des résultats selon ses préférences idéologiques. Il n'a rendu public que 4 résultats de Juifs marocains. Les dizaines d'autres résultats (non issus d'études) auxquels j'ai pu accéder avaient une composante moyen-orientale moins importante, et une composante berbère/nord-africaine sensiblement plus forte (de l'ordre de 36% pour certains échantillons).
Pour ce qui est de votre question, je ne saurais y répondre.
Àà