Les femmes venues témoigner pour ce sujet sont extrêmement courageuses. Le regret maternel est tellement tabou, tout comme la dépression post-partum... et ce n'est pas normal. On ne peut rien contre ses sentiments, ses ressentis, pourtant on continue de pointer du doigt et culpabiliser ces personnes qui sont dans une profonde détresse. J'ai une amie qui a vécu exactement la même chose que cette femme. À la naissance de son premier bébé, elle aussi se sentait comme un robot, esclave de sa nouvelle condition de maman. Elle n'a pas "reconnu" sa fille à sa naissance, s'en occupait mécaniquement sans rien ressentir, ne faisait que pleurer une fois qu'elle se retrouvait seule avec elle dans sa chambre d'hôpital... j'avais été très surprise d'apprendre tout ça, car je connais cette amie depuis toujours... et s'il y avait un rêve qu'elle revendiquait depuis toute petite, c'était bien celui d'avoir des enfants un jour. Et sa grossesse tant attendue l'avait rendue lumineuse, complètement épanouie. Ce sentiment de total détachement vis-à-vis de son bébé ainsi que cette profonde détresse qu'elle a ressentis à sa naissance, n'ont fait que la dérouter encore un peu plus... elle aurait tellement aimé que tout se passe comme "prévu", et pourtant, elle ne parvenait pas à changer ce mal-être. Il lui a fallu du temps pour ça. Aujourd'hui, elle a 3 enfants, et tout se passe merveilleusement bien. Elle est plus heureuse, plus épanouie que jamais dans cette maternité, elle est radieuse, et c'est magnifique à voir. Comme quoi, la dépression post-partum n'est pas une fin en soi, et ça ne fait pas de la jeune maman un monstre ! Voilà pourquoi je déteste ces discours culpabilisants, même carrément méchants, venant de personnes (bien souvent elles-mêmes mamans 😕) qui n'ont jamais rien vécu de tel mais se permettent quand même de juger. Comme si on pouvait rectifier ses sentiments/émotions sur commande... mais non, ce n'est pas possible (et ce n'est pas plus mal, finalement... comment serait la vie, si nous étions aptes à contrôler nos propres sentiments, tels des robots ? Bien triste, je pense...). Bref, arrêtons de juger les jeunes mamans ! Devenir mère, c'est un cap énorme à franchir, ça change une vie à tout jamais... pour certaines, ce cap se dépasse sans problèmes, mais ce n'est pas le cas pour tout le monde. Et c'est très violent pour une jeune maman de ne pas ressentir cette "Révélation" dont tout le monde parle à la naissance du bébé. On s'attend toujours à tout, sauf à ça... tant de bouleversements d'un seul coup sont évidemment très difficiles à gérer. Voilà pourquoi, si vous rencontrez une jeune maman dans cette situation, la bienveillance, l'écoute, le non-jugement et l'empathie, sont primordiaux. On ne soigne pas le mal par le mal 😉 Encore bravo à cette dame pour son témoignage ❤ Et merci à toutes ces personnes qui ne jugent pas bêtement les mamans dans cette situation.
J'ai fait une dépression post-partum après la naissance de mon premier enfant. Ça s'est débloqué après la naissance du deuxième enfant. Aujourd'hui je suis une maman épanouie de 4 enfants.
J'ai eu le coup de foudre pour mon bébé, une connexion incroyable, un amour indescriptible. Bref, je n'ai pas les mots pour décrire ce que j'ai ressenti et l'amour que je porte pour mes enfants. Ceci dit, parfois je regrette tellement ma vie d'avant .. c'est bizarre en écoutant son témoignage je la comprends tellement ! Et pourtant je n'ai pas vécu la même chose ...
J'ai personnellement ressenti une symbiose immédiate avec mes 3 enfants. Pourtant j'ai eu des moments de doutes de vague à l âme, de sentiments d Impuissance face notamment à leurs différentes petites difficultés pathologiques souvent classiques. Je comprends totalement les témoignages et fait un constat de société. Le manque d empathie d'écoute attentive de l'entourage, le soutien l accompagnement manque cruellement. La culpabisation qui ne fait qu'aggraver le malaise de la personne les conseils des "moi je" qui infantilisent la mère. Quel est la part aussi des soi disant bienveillants proches S interposant dans la relation mère enfant. S entourer de personnes ressources et aimantes sans jugement bienveillantes et en retrait est le seul conseil à donner.
Rien qu'en l'écoutant tu ressens l'angoisse, on est loin de l'effervescence qu'on nous vante à tout bout de champs concernant la maternité lol "Faut que j'apprenne à la connaitre avant de l'aimer"... Elle est pleine de symbolique cette phrase. Perso j'ai toujours eu du mal avec l'amour inconditionnel filial, juste parce que ça sort de ton orifice et pas celui de la voisine tu en fais la huitième merveille du monde, c'est pas net. Elle dit, tout comme une autre intervenante que ce qu'elle regrette c'est surtout la vie d'avant, les soirées, la liberté, l'insouciance ect....c'est quand meme un peu la base si tu decides d'avoir un enfant, tu sais que ces points là ne pourront perdurer de la meme manière. Moi j'ai toujours sur que je n'aurai jamais d'enfant, certainement pas pour ces motifs là, l'insouciance je ne l'ai jamais eu, mais à cause des règles du jeu de cette vie, les injustices, les manipulations, l'ignorance de notre existence ect, je ne les supporte pas moi meme je ne pourrai pas les imposer à quelqu'un. J'aurai l'impression de commettre un crime en faisant cela. Un autre point qui m'a marqué "avant je pensais que la dépression c'était pour les gens faibles et puis ça m'est arrivé j'ai pris une claque". Tellement révélateur! Le nombre de gens qui ont besoin d'etre eduqués par la vie, d'apprendre à travers la souffrance pour devenir davantage potables et respectables! Tant qu'ils sont sur leurs rails du bonheur, ça peut crever à coté pour eux ça sera synonyme d'indifférence et jugeront cela comme faiblesse ou autre défaut! C'est une quete importante pour moi, l'attribution de la souffrance, des destins tragiques à des gens vertueux et des boulevards d'actions aux raclures. On a une cohabition forcée entre l'excellence et la médiocrité.
@@croquefleur9687 Tant mieux si ça te parle, c'est en partie pour cela que je laisse des commentaires, que certains se retrouvent dedans ou se sentent moins seuls.
Et moi bientôt 27 ans je ressens tellement ce desir. Mais personne pour l'avoir .Mais meme avec ce desir le coté inquiet de la maternite me fait un peu peur .
Je comprends ... je regrette parfois ma vie insouciante. Mon 2eme a été et est tjrs l'épreuve la plus difficile que j'ai rencontré. Un enfant intense, depuis ses premiers jours de vie, des pleurs en permanence, 1h de repis par jour, même sa nounou a fini par lâcher. Depuis sa naissance, je me sens affreuse de juste vouloir qu'il grandisse vite, alors que la petite enfance passe si vite ... aussi petits soient-ils, ils peuvent vampirisé toute votre énergie.
Vous n’avez pas à vous sentir coupable, c’est difficile de s’occuper d’enfants h24 et encore plus quand ils demandent une attention particulière. Je suis sûre que vous faites au mieux. N’hésitez pas à demander de l’aide si vous vous sentez craquer, je vous souhaite bon courage
Je rejoins les commentaires plus bas, à creuser car un bébé qui pleure souvent à des besoins peut être plus intense que les autres , peut être une hypersensibilité, un tdi, un hpi, une hyperactivité. On a toujours tendance à dire que l'enfant est " dur " ou pire " mal élevé" alors qu'il exprime juste des besoins par des pleurs répétitifs. Je vous souhaite bon courage 👍🏻
On peut désirer un enfant, sans désirer un nourrisson. On peut désirer construire une famille, sans avoir à accueillir sous son toit de parfaits inconnus. On peut avoir connaissance des faits, sans en avoir conscience. Rien ne permet de juger ces femmes, leurs témoignages, leurs vécus. Les individus qui n'ont pas fait d'études de psychiatrie ne peuvent en rien se permettre de juger des situations et soucis de santé mentale qu'iels ne connaissent pas. La plus grande force de ces femmes est d'avoir recherché de l'aide, avant de devenir maltraitantes, bravo à elles et bon courage à celles, dans le même cas, qui liront le déferlement de haine sous ces trois vidéos !
Leur franchise demande courage et respect. Je n'ai pas vécu ce qu'elles ont traversé. Mon bonheur était immense et je n'ai pas connu le baby blues. Pourtant, je les écoute avec émotion et ce qu'elles disent est fort. Il faut bien écouter ce qu'elles expliquent sans jugement. Elles ne disent pas, ne pas aimer leur enfant mais regretter la vie d'avant, ne pas savoir gérer fatigue, difficulté, perte de son identité de jeune femme, perte de ses libertés. Fatigue, dépression et le cumul de ces choses qui bouleversent la vie autrement que ce qu'elles avaient imaginé ou rêvé, font qu'elles ont perdu pied. Dire que, si il s'arrête de respirer, ce n'est pas si grave, c'est aussi dire je ne lui ai, ou aurait fait aucun mal, et je me sentirai mieux, soulagée après. Ce n'est pas pour autant dire qu'elles souhaitent qu'ils ne respirent plus. Ce n'est pas pour autant dire qu'elles ne seraient pas tristes ou dévastées, c'est juste chercher une bulle d'air momentanée. Je ne l'ai pas vécu et j'ai peine à imaginer vivre ça, pourtant j'écoute et ça me peine, pour elles, leurs couples, leurs enfants. Mais tout ça n'est que passager, elles vont ou s'en sont sorties. Courage et bravo pour votre témoignage honnête.
La naissance d’un enfant est un un bouleversement physique et psychologique . Être parent est un métier à part entière.. son histoire est émouvante et je comprends parfaitement cette jeune femme. Le jugement n’a pas sa place pour ceux qui non jamais été confrontés à cette situation. Longue vie à cette jeune famille !.
Je me reconnais tellement dans ces témoignages. Je regrette énormément ma vie d'avant où j'étais libre de toute responsabilité. Ma fille a un an et demi et j'ai toujours ce regret, je pense par manque d'interaction avec elle, peut être que ça passera quand elle sera plus grande et qu'elle commencera à me parler et que j'aurais une réelle interaction avec elle. Je l'aime c'est indéniable, mais y a un mais. J'ai dû mal à l'exprimer même encore maintenant.
Je les comprends même si tout n’est pas pareil dans les vécus. Mon 1er fils j’ai été remplie d’émotion joyeuse. Le séjour à l’hôpital ne s’est pas très bien passé car c’était un rêve pour moi d’allaiter et je n’ai pas été accompagnée, donc pour moi 1er échec 👍🏼. Par la suite j’ai passé les 2 premiers mois enfermée chez moi seule avec mon bébé qui était un bébé « difficile », ne voulait que les bras, pleurait quasi tout le temps, ne dormait jamais la journée mais dormait bien la nuit et au lieu de me reposer je veillais sur lui car il s’étouffait souvent avec ses glaires dû à l’accouchement. Mes journées étaient rythmées par l’angoisse, l’énervement, la culpabilité, la solitude, le désespoir, l’extrême fatigue et j’en passe. Mon mari travaillait beaucoup et quelque part je n’ai pas su lui laisser sa place de père car j’avais peur qu’il fasse mal les choses. Un exemple le bain, IMPOSSIBLE qu’il le lui donne, dans ma tête il allait lui faire boire la tasse jusqu’à le faire mourir. Quand je pense qu’aujourd’hui il donne le bain à notre deuxième et que pendant ce temps je joue avec notre ainé🙄😂. Par la suite j’ai passé mon temps à « refiler » bébé à ma mère jour ET nuit, pendant 2-3-4-5 jours. Bien sûr j’étais habitée par la honte et la culpabilité de ne pas m’occuper de mon bébé. Et je sais que je n’ai plus pu me passer de mon fils quand il a eu 7 mois. Nous sommes devenus fusionnel, et j’ai même décidé de ne pas reprendre le boulot pour pouvoir me « rattraper » et profiter de chaque instant avec lui. Pour mon 2eme qui a 8 mois, je l’allaite (challenge réussi youpiii!!), et il ne me quitte jamais. Mais comme mon premier, je faisais les choses machinalement car il fallait le faire point. Et je suis aussi tombée amoureuse de lui il y a peu, environ à ses 5-6 mois. Je dois être ce « genre » de mamans là… je ne parlais pas à mes bébés, je faisais les choses silencieusement, n’étant pas bavarde de base, (dit elle pendant qu’elle écrit un roman😂🙄) et les bisous et câlins c’était très peu. Je pense que j’ai besoin d’apprendre à connaître mes bébés avant de les « accepter », le coup de foudre ce n’est pas pour moi. Parfois je me dis que j’ai loupé des moments avec eux alors qu’ils étaient nourrisson mais quand je vois la relation que nous avons, notre complicité, nos fous rires, nos moments difficiles aussi, nos bouderies, nos câlins nos bisous et nos « je t’aime » je me dis que c’est peut être pas plus mal que ça se soit passé comme ça finalement. Et peut être que pour le 3eme ce sera différent qui sait. En tout cas ces témoignages sont très touchant et nous ramène à une réalité que beaucoup ignore ou cache. Cette idée qu’être maman est inée, et que dès la naissance nous sommes toutes larmoyantes et heureuses devant ces petites choses inconsciemment cruelles et mignonnes… il est temps de lever le voile et de montrer que la maternité et la paternité ne sont pas choses évidentes pour tous. Et aussi de libérer la parole sur la réalité de l’accouchement, du post partum, du retour à la maison etc… tant de choses qui ne sont pas entendues à ces sujets. Y’a du boulot ! Mes pensées aux mamans/papas qui traversent ces tourbillons d’émotions et de changements. On en ressort plus fort et plus amoureux que jamais☺️.
J'ai connu ça aussi avec mon fils. Maman seul de 22 ans et sans famille ça a été dur mais aujourd'hui je l'aime plus que tout au monde. Et si c'était à refaire je le ferai. Je l'aime tellement 🥰
Qu'est-ce ce que je me retrouve dans ce témoignage, on se force à cacher nos sentiments ey on s'interdit de dévoiler notre mal-être nous nous sentons "mauvaise mère" quand on se retrouve en déprime après avoir donner la vie . arrêtons de juger ces femmes qui peuvent passer par ces moments très compliqués de la vie d'une maman surtout si elles ne sont pas soutenues par leur entourage. courage à toutes les mamans qui sont dans la même situation.
beaucoup de force et de courage à vous ! votre enfant ressentira tout cela et votre envie de l'aimer, n'hésitez pas à consulter, j'espère que cela vous fera le plus grand bien !
@@camille-aceillm6801 merci énormément, j'étais suivie pour ça mais encore faut trouver la bonne oreille avec qui ça peut matcher et sortir tout ce qu'on a sur le cœur et ce qu'on n'ose pas dire à quiconque
@@fatimazohrab8788 je comprends parfaitement ! Les pratiques autour de la psychothérapie s’ouvrent beaucoup ces derniers temps, comme l’emdr ou la réflexologie, peut-être que certaines vous conviendraient mieux ?
@@camille-aceillm6801peut-être ca vaut le coup d'essayer. Justement dernièrement j'entends parler de la kinésiologie surtout que depuis juillet 2019 (quand j'ai perdu mon premier bébé étoile à 34 SA quelque chose à cassé en moi et cette 2ème grossesse a été très compliqué couronné d'un accouchement cauchemardesque et cette dépression post partum et bcp dautres choses donc arrive un moment après tout ce cumul on devient très fragile et à tout moment une goutte de trop peut faire déborder le verre. Merci bcp pour votre sympathie et ce moment d'échange grand respect à vous 🙏🤝
Ma maman m'a raconté que la première fois qu'elle m'a vue à la maternité, elle a eu un coup de foudre, comme celui qu'elle a eu pour mon père. Avant d'habiter dans le ventre de ma maman, je suis sure que j'habitais dans son coeur. Merci pour tout ton amour ma mamounette. Je t'aime fort.Luce
Ça doit vraiment pas être facile pour moi c’était un pure bonheur mais je met à la place de cette femme qui ressent pas ça . Faut pas abandonner faut crée une connexion et petit a petit ça arrive ♥️❤️ courage
Oui tu as raison. Je n ai pas eu de coup de cœur à la naissance ni ressenti cette fameuse vague d amour mais c est venu petit à petit à force de se connaitre, de s aprehender, de passer du temps ensemble.. et aujourd'hui je les aime plus que tout au monde. Mais cette connexion, ce coup de foudre, n est pas automatique chez tout le monde.
J'ai 31 ans et mon conjoint et moi ne savons toujours pas si nous voulons un enfant ou non. J'ai peur de regretter et de ne pas m'épanouir et surtout de ne pas y arriver. Je n'arrive pas à ressentir une réelle envie profonde, comme d'autres de mes amis. Et j'ai aussi peur de passer à côté de quelque chose si je n'es pas d'enfants. C'est terrible de ne pas savoir.
Je connais des gens d'un certains âge qui non pas d'enfants par choix et pas de regrets. Donc oui, la nature nous permet d'avoir des enfants, mais je doute que nous puissions pas nous en passer. Le choix appartient à chacun d'entre nous et c'est ce que je souhaite que chacun et le choix. A notre époque la surpopulation que l'on est nous permet de choisir. Enfin voilà, sans vouloir entacher votre opinion celle-ci et la mienne 😊 Bien à vous☺️
Je ne juge pas du tout, ce sont des choses qui arrivent, malheureusement les premiers mois d'un bébé sont les plus importants (un bébé qui ne reçoit pas d'amour les premiers mois peut être fortement déstabilisé sur le plan affectif entre autre). J'espère que ça n'a pas entaché le développement de son enfant et que le temps "rattrapé" au bout d'un an suffira à créer un lien assez fort. Et pour tous ceux qui jugent. Cela vaut bien mieux de devenir mère après un an que de s'occuper de ses enfants pendant quelques années puis de les laisser tomber (et je ne parle même pas des drames familiaux qui peuvent arriver). Ça arrive de faire des erreurs ou avoir besoin de temps.
Je n'ai jamais voulu d'enfant mais quand ma fille est née quelqu'un m'a dit : "Ça ne te bouleverse pas d'aimer autant quelqu'un que tu ne connaissais pas hier ?" Et je n'ai pas compris cette remarque car ça faisait 9 mois que je la connaissais et que je l'aimais plus que tout et que nous avions déjà des souvenirs, une complicité. Bref. Un enfant ce n'est pas une surprise. Et non la vie ne change pas avec l'arrivée d'un enfant. Que faisaient ces gens de plus intéressant qu'ils ont du "sacrifier" ?
La même chose.. J'aime tellement ma fille, que je le dis que avant de l'avoir ma vie devait être bien vide.. je me demande ce que je faisais mdr. On attend d'être enceinte, pour certaines ça peut prendre du temps, on patiente ensuite 9 mois de plus en apprennent à découvrir notre nouveau corps, en priant pour que tout se passe bien.. et puis le jour J, la rencontre. Wahou j'ai découvert ce jour là un sentiment le plus primitif qu'il soit, l'instant maternel. En revanche les suites de couches avec les points de suture et le manque de sommeil ça c'est vraiment dur, mais ça passe. Ça restera toujours ma plus belle aventure.
@Anna Jm Sur le moment je ne le ressentais pas, je sortais beaucoup avec mes amies, un mariage agréable, à fond dans le travail.. et je ne savais pas comment je pourrais caser un enfant dans tout ça. Et finalement j'ai trouvé que ça se faisait naturellement, tout en continuant mes activités. Et sachant le temps qu'occupe un enfant je me dis FINALEMENT ma vie qui me semblait si remplie avant ne devais pas l'être autant. Ce n'est que mon vécu personnel, qui d'ailleurs pourrait changer avec l'arrivée d'un nouvel enfant, on ne peut pas savoir à l'avance. C'était une contribution personnelle qui ne jette la pierre à personne.
J'ai passé les premiers mois avec notre bébé c'était un pur bonheur Mais je me suis enfoncé dans une dépression grave post-partum pendant les 7 mois d'après Pendant 7 mois j'ai passé presque tout mon temps dans mon lit Mon mari a tout pris en charge a dû arrêter de travailler pour s'occuper de notre fils car je n'étais pas capable Presque tout le temps dans mon lit sans rien faire aucune force Vers la fin je commençais à avoir des idées suicidaires je faisais même des cauchemars où je me suicider J'ai au bout d'un moment jai décidé d'aller voir un médecin et me laisser prescrire un traitement antidépresseur et au bout d'un mois j'étais sauvée. Aujourd'hui depuis le mois de septembre je suis complètement guéri et je suis redevenu la maman que j'étais pendant ses 6 premiers mois. Donc quand je vois une femme en DPP, je lui dirai toujours qu'il y a un espoir. Mon bébé maman t'aime tellement!
J'ai vécu ça, pour mon premier , j'ai eu se coup de foudre à c'est 6 mois quand il a du être hospitalisé pour une gastro à se moment la j'ai eu très peur et j'ai eu se déclic, j'ai eu ma deuxième et la oui magique accouchement magique coup de foudre immédiat etc.. et en vivant mes premiers jours avec la deuxième je me suis rendu compte que pour mon premier sa était vraiment le baby blues la dépression post partum etc... , j'avais hésiter un moment à avoir le deuxième et je regrette en rien grâce à elle j'ai pu vivre vraiment le bonheur et la joie de cette aventure des premiers instant ! 🙏❤
Bravo pour les témoignages sur ce sujet. La honte ne m'a pas permis à moi de dire que je n'étais pas heureuse de suite. Je regrettais tellement ma vie d'avant, je pensais avoir fait une énorme bêtise. Aujourd'hui je n'écoute plus l'entourage. Aujourd'hui encore aussi à certains moments je regrette de ne pas vivre ma vie égoïstement, souvent je vis pour que mes enfants vivent bien et que tout le monde se sent bien mais et moi alors ....c pas tout le temps mais j'y pense quand même ...
Je pries sincèrement pour que les commentaires bienveillants pèsent plus lourd dans vos balances, Mesdames, que les jugements que l'on peut lire.. Preuve en est qu'il y a encore énormément de travail pour ouvrir les esprits et c'est grâce à des personnes comme vous, des personnes assez fortes pour avouer être ou avoir été vulnérables un jour, que le chemin se fraye petit à petit. Il y a des gens qui vous ont écouté, qui accueillent et qui comprennent, sachez-le 🙂 Merci pour vos témoignages 🙏💛
J'ai l'impression également que comme on fait des enfants un peu plus tard qu'à une époque (autour de 30 voir plus encore) et que l'on a goûté à la liberté, le fait d'en profiter plus que a 18/20 ans etc c'est plus compliqué ce changement de vie. Avec ma femme nous avons deux enfants qu'on aime plus que tout et qu'on a aimé immédiatement... Sauf que bon sang c'était dur cette transition quand on passe de voyager, sortir et profiter de cette liberté... Bien sûr je ne généralise pas mais je pense que c'est une théorie solide pour pas mal d'entre nous notamment ceux qui ont eu des enfants "sur le tard" 😅 et je ne parle même pas de l'énergie qui n'est pas la même à 20 ans et à 40 😁. Et de l'énergie il en faut un sacré paquet pour des enfants ! Oui c'est magnifique ! Oui c'est sûrement la plus belle chose qui existe mais oui aussi c'est très dur d'en avoir et que ça soit physiquement et psychologiquement ! Mais le jeu en vaut la chandelle c'est sûr !
@@mariaejacobus213 bien au contraire c'est quelque chose que je défends pleinement ! J'ai des amis qui n'en veulent pas et je suis le premier a les défendre de cette pression sociale comme quoi il faut absolument faire des enfants ! Chacun est libre 😉
D'où le plaisir d'avoir une vie sans enfant et d'assumer de penser à soi et d'aimer sa vie sans CETTE responsabilité (parce qu'on en a d'autres évidemment).
Le mal-être qu'on peut ressentir à la naissance peut aussi nous renvoyer à ce qu'on a vécu soi-même bb avec nos propres parents. S'ils ont été violents ou maltraitants, c'est très difficile de devenir mère. Car oui, hélàs, il y a des parents violents avec leur nourisson.
Je me reconnais beaucoup dans ton témoignage. Pour ma première fille je n’ai pas eu tout de suite de coup de foudre, quand j’ai accouchée je voulais quand l’emmène pour que je me repose … par la suite j’avais beaucoup de mal être en moi je ne m’étais pas habituée à mon nouveau rôle de maman, souvent le passé ma vie d’avant me manquait énormément ça a pris beaucoup de temps pour que je m’y fasse je dirais presque 3 ans . Maintenant j’ai une deuxième fille je l’ai reçu tout de suite le coup de foudre avec elle c’est différent. Je regrette d’avoir vécu ce bouleversement avec ma première mais je fais tout pour me rattraper maintenant. Donc ne te sens pas seule c’est quelque chose qui arrive sa prend du temps de changer de vie d’accepter son nouveau rôle sa nouvelle mission. La célèbre sage femme Anne Roy disait que de l’expulsion du placenta au 3 ans de l’enfant nous vivons un post partum tu regarderas sur TH-cam quand je l’ai vu chai tu de suite eu un déclic
Je me demandais toujours comment est-ce que les mamans arrivent à aimer leurs bébés dès le premier regard ? Je me suis toujours posée la question est-ce possible de ne pas avoir ce coup de cœur dès les premiers moments ensemble ? Merci pour cette émission et pour ces courageux témoignages ❤️❤️.
pour être passer par là (grossesse à 20 ans alors qu’elle n’était pas attendu) , j’ai mis quasiment 8 mois à accepter mon rôle de maman , j’avais peur de l’aimer , peur de trop m’attacher et paradoxalement j’étais en hypervigilence … c’est tellement complexe comme situation , vraiment je ne souhaite ça à personne ! heureusement quand on est bien entourée tout cela s’arrange
@Learning IsFun Bonjour, vous savez que même avec une contraception on peut quand même tomber enceinte ? Et ce n’est pas parce qu’on décide de garder la grossesse malgré le fait qu’elle n’était pas attendu qu’on est obligé de bien la vivre après l’accouchement.
Il faut arrêter de parler d’élan maternel ,(et encore moins de coup de foudre ,on est pas amoureuse de son enfant) on sait maintenant que ce n’est pas automatique .c’est juste le sentiment que la société fait peser sur les mamans..
Quand on décide d'avoir un enfants, c'est une responsabilité. On décide d'être responsable de quelqu'un mem si on a ou pas de déclic au départ. Le fait de réagir comme sa envers son enfants à la naissance montre qu'on avait pas pris conscience de la responsabilité et du choix qu'on faisait. Les enfants ressente nos émotions. Ils savent s'il sont aimé ou pas. C'est vraiment navrée de dire sa pour un être qui n'a pas demander de naître.
Tu oubli une chose on ne peu jamais savoir se qu'on vas vraiment resentir face à une situation qu'on a jamais vécu au paravant et c'est cela qui allucinant c'est se serais jamais imaginé réagir ainssi. De plus c'est un grand boulversement. Les papa on très rarement autant de responsabilité qu'une mère car de 1 il n'ont pas a partager leur corps pendant 9 mois et aprés subir les douleurs atroce de l'acouchement pour ensuit devoir servir le repas directe à même leur corp souvent ils parte travailler garde un moment le bébé essayent decparticiper pour les plus bravent mais très souvent il préfère rester à distence tant que ça pleur ou dans les cas les plus triste laisse tomber la jeune mère par peur des redponsabilité. La femme qui devien une jeune mère à plus de poid sur elle vis a vis du regard de la société au niveau de son bébé que les pères. Et c'est cela qui est triste
Je la comprends tellement même si notre séjour à l'hôpital etais le plus beau moment de notre vie... on a ni manger ni dormi à la maternité et les quelques jours revenu à la maison aussi tellement on était heureux !!!!!!!
Heureusement que j'ai pas vécu cette situation après l'accouchement mais il est vrai qu'on change complètement de vie et qu'on peut avoir des attitudes complètement différentes les unes des autres. Bravo à cette dame, elle a du courage de témoigner ce que la nature nous offre mais qui est difficile peut-être à accepter. Moi quand j'étais enceinte la première fois, on me demandait si j'allais être maternelle je répondais que je savais pas.
J’aimerais bien être dans la tête d’un nouveau né.. personne ne semble se soucier de ce que ressentent les bébés..comme si pour eux ce n’était pas violent .. je ne parle pas de la maman aucunement..
@@camille6760 au contraire, c’est pour ca qu’elles sont égoïstes en en parlant visage decouvert a la télé ! Le plus violent dans l’histoire, c’est quand les gosses verront ce temoignage, et realiseront le fardeau qu’ils ont été des la naissance, le desamour et le degout qu’ils ont provoqué. C’est d’un égoïsme stratosphérique de le dire a la télé sachant pertinemment que sa fille le verra un jour. Ca va tout simplement la detruire psychologiquement. Un temoignage anonyme, que les meres sachent que ca peut arriver, sans que sa fille ne reconnaisse sa mere, pourquoi pas oui ! Mais la, pauvre fille… elle lui met une deuxième claque en le disant publiquement.
@@machintruc9457 vous n'êtes vous simplement pas équipé pour comprendre les subtilités psychologiques des gens... Il est bon d'arrêter de juger et d'essayer de comprendre même si vous n'êtes pas d'accord ! Le monde n'est pas aussi binaire que vous le souhaiteriez... Car le plus important c'est que ces personnes soient devenues des bonnes mères comparé à des parents qui n'ont pas ressenti cela et faisant des gosses sans aucune reflexion et qui sont des parents épouvantables au final. Peu importe le ressenti ce qui compte c'est votre capacité à être un bon guide pour vos enfants... Mais ça c'est sûr que c'est pas donné à tous le monde de comprendre et de voir qu'on est tous différents selon nos ressenti... Et si les choses sont expliqués correctement aux enfants il n'y aura absolument aucun problème !
@@RAPACEPROD c’est vous qui n’etes pas équipés pour comprendre les subtilités de la psychologie, si vous croyez qu’un gosse peut réellement bien vivre d’apprendre qu’il n’a pas été aimé et a envoyé sa mere en depression par sa simple presence. Bien évidemment, je comprends que la mere ne faisait pas expres de ne pas aimer sa fille, je suis pas idiot, mais c’est vous qui manquez de finesse d’esprit si vous ne voyez pas en quoi il aurait été mieux de temoigner anonymement. Meme sans parler de la compréhension du gosse, a l’école tout le monde saura que tel camarade de classe est la fille mal-aimée par sa mère. C’est la catastrophe a tous les niveaux pour la fille. Mais bon, c’est sur que quand on ne pense qu’a son nombril, et qu’a etre compris sois meme, on pense pas a son gosse avant d’aller temoigner.
@@camille6760 vous ne m'avez pas lu ou quoi "Bien évidemment, je comprends que la mere ne faisait pas expres de ne pas aimer sa fille" je sais bien qu'elles n'en sont pas heureuses, mais ça n'excuse pas de le balancer à la gueule de sa fille !
@@machintruc9457 je suis d’accord, moi ça me ferait beaucoup trop de mal d’entendre ce genre de témoignage si c’était moi l’enfant dont elle parlait. De plus oui comme dit au dessus les enfants ressentent tout comme nous et une mère dépressive par exemple ou qui s’en fou de son gosse ça a vraiment des conséquences sur l’enfant
je crois q toutes les mères ont le blues après l'acouchement, plus ou moins. C'est un grand changement hormonal. Je me rappelle q je chialais dans les coins, sans raison ni tristesse, 20 min. et après c'était normal. Ça me soulageait
Effectivement au début il y a le baby-blues, mais c’est censé durer quelques semaines tout au plus. Si ça ne passe pas après quelques mois, c’est que c’est déjà la dépression qui s’installe. On est bien au-delà des pleurs intempestifs, pour ma part j’avais rédigé mon testament, organisé mon suicide et j’avais des pensées qui tournaient en boucle genre, je suis une mère horrible, ils seraient mieux sans moi etc. Il faut vraiment se faire prendre en charge rapidement quand on sent que ça ne passe pas aussi vite que cela « devrait ».
Personne ne peut juger ces Femmes, c'est pour toutes ces raisons dont je suis plus que consciente et pour lesquelles je ne veut pas d'enfants.. 27ans, une vie déjà mouvementé depuis toujours, 10 ans de couple Amoureux et Solides, mais pas prêts à renoncer "à notre vie" pour le moment et peut être même jamais... et ce monde ne me donne plus d'espoirs pour tout ça
Merci pour ses temoiniage qui est tellement tabou. Il rent la materniter tout beau cute parfait et rose alors que c est pas toujours le ca et personne ne parle du coter plus sombre. Et aussi il en parle pas non plus que c est pas toute les femnes qui aime etre enciente. Merci au temoiniage sur ce sujet tabou bravo pour votre courage et temoiniage.
J'ai l'impression qu'il y a comme une espèce d'immaturité maternelle chez certaines mamans de cette génération. Un refus des responsabilités ou de toutes éventuelles contraintes..
Quand la sage femme a mis ma fille sur ma poitrine la 1fois , j'étais choquée de ce que je vois en plus je m'attendais pas qu'elle soit aussi moche .Je me forçais de la tenir dans mes bras et de lui parler. C'était très difficile pour moi les premiers jours , j'étais en dépression et je passais mes journées avec des larmes . Je ne savais pas que ça existe ce refus de maternité . malheureusement je n'ai parler à personne parceque j'avais honte mais j'aurais aimé d'entendre ce témoignage avant mon accouchement . Merci bcp .
J'ai vécu à peu près la même chose mais coup de foudre avec ma fille très oeu de soutien et la fatigue vraiment m'a anéanti pas d'aide très très peu mon cheri et moi nous etions perdu la maternité on nous disait comme ça la sage femme comme ça le pédiatre comme ci houhaouuu grand vertige
Accouchement en pleine période de COVID, aucun suivi psychologique disponible. Sans mon mari, je pense que je me serais tuée. Au bout d'un an, l'amour a commencé a grandir. Aujourd'hui, au bout de deux ans, il est toute ma vie. Oui, je regrette un peu mon insouciance mais elle reviendra avec le temps.
Bonjour, je n’ai pas d’enfants donc je ne me permettrai jamais de juger ces femmes qui , quoi qu’on en pense , sont courageuses de venir en parler publiquement. J’avoue être plutôt perplexe, je pensais que c’était inné l’amour d’une mère. Je comprends totalement les arguments des mères qui témoignent mais j’avoue avoir peur pour les enfants si ils tombent sur cette émission dans quelques années . Pour moi , les mères ne sont pas à condamner mais plutôt la société qui met une énorme pression sur les femmes pour enfanter et qui ne veut pas parler de dépression post-partum ect... Je suis désolée si j’ai été maladroite, n’hésitez pas à me corriger si nécessaire.
En effet, les gosses verront un jour ce temoignage, et ca sera d’une violence inouïe pour eux ! Ces témoignages visage découvert sont honteux d’égoïsme. Qu’elles aient au moins la décence de temoigner anonymement pour eviter que leurs gosses ne les reconnaissent et n’entendent le fardeau qu’ils ont été pour elles. Certes, c’est pas leur faute, mais elles sont pas obligées de le jeter a la gueule de leurs gosses
@@machintruc9457 C’est votre jugement qui est honteux d’égoïsme et d’une violence inouïe. Cette femme témoigne du mal-être qu’elle a ressenti après son accouchement, de sa dépression même. Et c’est une maladie. Elle raconte même à quel point elle a culpabilisé pendant cette période, et vous osez en rajouter une couche ? C’est très déplacé, d’autant plus que toutes les femmes sur ce plateau sont d’accord pour dire que malgré l’épreuve qu’elles ont traversée, aujourd’hui elles portent un amour inconditionnel à leur enfant. Elles ont culpabilisé de ressentir ce mal-être vis à vis de leur maternité, non pas de l’enfant en lui même. Il faut savoir faire la différence. Et si elles se sont battues pour s’en sortir, c’est aussi pour que leur enfant ne ressente pas de manque et grandisse avec l’amour dont ils ont besoin. Un enfant ayant grandi avec de l’amour et avec une mère si investie ne pourra que compatir en voyant son témoignage. Visiblement, ce n’est pas votre cas et j’en suis navrée.
@@Amnrmd la réponse toute faite qui ne se contente que de repeter ce qui est dit dans l’emission sans reflechir plus loin que le bout de son nez… Je ne juge pas le fait qu’elle ne l’ait pas aimée, mais le fait qu’elle témoigne a visage decouvert. Ensuite, oui, la psy a dit qu’elles aimaient toutes leurs enfants, sauf que c’est faux, elles le disent d’elles memes, non, ce n’est pas qu’un desamour de la maternité. Elles ont pas eu le coup de foudre, elles avaient l’impression d’avoir un etranger chez elle, et elle dit elle meme qu’elle en est venue a penser que ce serait pas si mal si sa fille mourrait. Vous imaginez un peu la violence, lorsque vous etes gosses et entendez ca ?! Il y a beau avoir toutes les explications du monde, ca reste extremement violent et dur a vivre. Donc selon vous, le fait qu’elles en aient souffert les autorise a torturer moralement leur gosse a la télé ? A en rajouter une couche, comme si le desamour et l’absence d’une semaine avait pas été assez dur a vivre ? Mais oui, ca c’est l’egoisme et l’individualisme a la mode aujourd’hui. Ma souffrance me donne tous les droits, c’est mes droits, mon nombril, moi moi moi. Ces images ont été vues dans toute la france, donc meme quand elle arrivera en maternelle, ses camarades de classes sauront tous que telle fille de la classe est la mal aimée. Pour exterioriser son propre mal-être, elle deverse tout sur sa fille. On est vraiment dans la generation nombrilisme. Toujours « mes droits », jamais « mes devoirs », et jamais aucune reflexion sur l’impact qu’on a sur les autres.
@@mariaejacobus213 aucun argument ! non, les horribles personnes sont celles qui balancent leur désamour à la gueule de leurs gosses pour se soulager d'un poids, arretez de faire semblant de ne pas comprendre
Quand j'étais enceinte je disais à mon entourage dès que le bébé née je le mets direct dans sa chambre en fait quand j'étais enceinte j'étais pas consciente je n'avais pas créé de lien avec ce bébé pour ne pas m'y attacher j'avais peur de la fausse couche car 1 er enfant à 35 ans donc j'avais mis des barrières. Une fois que ma fille est née le coup de foudre direct je ne l'ai plus lâchée et elle à fait le cododo avec nous dans la chambre jusqu'à.... 😀 mon oxygène.
Qu’on puisse regretter sa vie d’avant je comprend… que tout gérer soit difficile je comprend aussi. Mais alors là les propos me choque : « Si il lui arrive quelque chose et bah tant pis » mais ça va pas la tête ? Elle ne mérite tellement pas d’être mère… pas une seconde de ma vie je pourrais me dire « tant pis » vis à vis de la mort de mon enfant… pas une seconde ma mère s’est dit cela… Ouin ouin elle était fatigué parce-que son bébé pleurait ? Pitié mais faite que ce genre de femme ne puisse pas enfanter !
Moi c'est tout l'inverse... Je déteste le fait de ne pas avoir encore d'enfants pour le moment. Je deteste les 24 premières années de ma vie, pour moi la vie commence vraiment quand on devient maman 💕 Enfin, je le vois comme ça
@@mariaejacobus213 Je suppose que je dois être une des rares à penser ça ! 😅 Mais pour moi oui, c'est une évidence de vouloir des enfants, et je n'aurai absolument rien à regretter de ma vie actuelle ^^
C'est celle-là qui disait qu'elle comprend les femmes qui mettent leur enfant à l'adoption parce que c'est dur car les enfants passent avant nous-même.
Ma fille a aujourd'hui 5ans elle a fait ses nuit à 4 ans depuis sa naissance c'etait des pleure tout les jours le soir c'était pire que la journée moi aussi j'ai fais une Baby-blues c'était le chaos dans ma tête tout le monde me disais elle va grandir sa va aller mais personne ne me comprenais courage vous les maman😔😔
Je sais que ce n'est pas de leur faute,mais est-ce que elles pensent à ce que pourra ressentir leur enfant si un jour ils tombe sur la vidéo. Si vous voulez débattre de ce que j'ai écrit il n'y a aucun problème,temps que c'est fait dans le respect de l'autre.
Ca dépend de comment leur relation aura évoluée. La dépression post partum c est bien reconnu maintenant, peut-être qu avec le temps ca ira dans le bon sens. Certaines femmes ont aussi du mal avec les nourrissons et tout s arrange une fois que les enfants grandissent et qu ils partagent davantage de choses.
Si cette maman. (ou les autres) regrette(nt) un jour d'avoir témoigné, il existe le "Droit à l'oubli sur Internet " (Il y a une procédure à suivre pour faire retirer une vidéo, un contenu sur un site, etc.) Bien à vous, Isabelle
je vais sur mes 34 ans et je n'ai aucun désir d'enfant. Si j'en faisais je pense que ce serait compliqué et à mon âge je ne peux pas dire que je ne suis pas prête..
@@Stefy44 Le fait d'être prête ou non à avoir un enfant, n'est aucunement une question d'âge... C'est une question d'état d'esprit et du désir ou non d'être parent... Sans compter la stabilité émotionnellement, psychologique, pécuniaire et matrimoniale rentrant en compte.
Mais sérieusement ça veut dire quoi "avoir le coup de foudre" pour son enfant... Je comprends la dépression post partum et ce sentiment contre lequel on ne peut rien faire mais ne plus accepter son enfant parce qu'on a "perdu sa vie" c'est tellement égoïste que le moment n'était peut être pas venue d'être maman...
![[PODCAST] Elle regrette d'avoir eu des enfants](/img/n.gif)
Les femmes venues témoigner pour ce sujet sont extrêmement courageuses. Le regret maternel est tellement tabou, tout comme la dépression post-partum... et ce n'est pas normal. On ne peut rien contre ses sentiments, ses ressentis, pourtant on continue de pointer du doigt et culpabiliser ces personnes qui sont dans une profonde détresse.
J'ai une amie qui a vécu exactement la même chose que cette femme. À la naissance de son premier bébé, elle aussi se sentait comme un robot, esclave de sa nouvelle condition de maman. Elle n'a pas "reconnu" sa fille à sa naissance, s'en occupait mécaniquement sans rien ressentir, ne faisait que pleurer une fois qu'elle se retrouvait seule avec elle dans sa chambre d'hôpital... j'avais été très surprise d'apprendre tout ça, car je connais cette amie depuis toujours... et s'il y avait un rêve qu'elle revendiquait depuis toute petite, c'était bien celui d'avoir des enfants un jour. Et sa grossesse tant attendue l'avait rendue lumineuse, complètement épanouie. Ce sentiment de total détachement vis-à-vis de son bébé ainsi que cette profonde détresse qu'elle a ressentis à sa naissance, n'ont fait que la dérouter encore un peu plus... elle aurait tellement aimé que tout se passe comme "prévu", et pourtant, elle ne parvenait pas à changer ce mal-être. Il lui a fallu du temps pour ça. Aujourd'hui, elle a 3 enfants, et tout se passe merveilleusement bien. Elle est plus heureuse, plus épanouie que jamais dans cette maternité, elle est radieuse, et c'est magnifique à voir. Comme quoi, la dépression post-partum n'est pas une fin en soi, et ça ne fait pas de la jeune maman un monstre ! Voilà pourquoi je déteste ces discours culpabilisants, même carrément méchants, venant de personnes (bien souvent elles-mêmes mamans 😕) qui n'ont jamais rien vécu de tel mais se permettent quand même de juger. Comme si on pouvait rectifier ses sentiments/émotions sur commande... mais non, ce n'est pas possible (et ce n'est pas plus mal, finalement... comment serait la vie, si nous étions aptes à contrôler nos propres sentiments, tels des robots ? Bien triste, je pense...).
Bref, arrêtons de juger les jeunes mamans ! Devenir mère, c'est un cap énorme à franchir, ça change une vie à tout jamais... pour certaines, ce cap se dépasse sans problèmes, mais ce n'est pas le cas pour tout le monde. Et c'est très violent pour une jeune maman de ne pas ressentir cette "Révélation" dont tout le monde parle à la naissance du bébé. On s'attend toujours à tout, sauf à ça... tant de bouleversements d'un seul coup sont évidemment très difficiles à gérer. Voilà pourquoi, si vous rencontrez une jeune maman dans cette situation, la bienveillance, l'écoute, le non-jugement et l'empathie, sont primordiaux. On ne soigne pas le mal par le mal 😉
Encore bravo à cette dame pour son témoignage ❤ Et merci à toutes ces personnes qui ne jugent pas bêtement les mamans dans cette situation.
Bonjour, et bravo pour votre message bienveillant
Qq
Un discours rempli de bienveillance et d'amour 🙏🏼❤ ça fait du bien au cœur🥰
@@deborahchatlinska8418 😊❤
J'ai fait une dépression post-partum après la naissance de mon premier enfant. Ça s'est débloqué après la naissance du deuxième enfant. Aujourd'hui je suis une maman épanouie de 4 enfants.
J'ai eu le coup de foudre pour mon bébé, une connexion incroyable, un amour indescriptible. Bref, je n'ai pas les mots pour décrire ce que j'ai ressenti et l'amour que je porte pour mes enfants. Ceci dit, parfois je regrette tellement ma vie d'avant .. c'est bizarre en écoutant son témoignage je la comprends tellement ! Et pourtant je n'ai pas vécu la même chose ...
J'ai personnellement ressenti une symbiose immédiate avec mes 3 enfants.
Pourtant j'ai eu des moments de doutes de vague à l âme, de sentiments d Impuissance face notamment à leurs différentes petites difficultés pathologiques souvent classiques.
Je comprends totalement les témoignages et fait un constat de société.
Le manque d empathie d'écoute attentive de l'entourage, le soutien l accompagnement manque cruellement. La culpabisation qui ne fait qu'aggraver le malaise de la personne les conseils des "moi je" qui infantilisent la mère. Quel est la part aussi des soi disant bienveillants proches S interposant dans la relation mère enfant. S entourer de personnes ressources et aimantes sans jugement bienveillantes et en retrait est le seul conseil à donner.
Je comprends cette femme. Ma vie d’avant me manque terriblement malgré tout l’amour que j’ai pour ma fille.
Rien qu'en l'écoutant tu ressens l'angoisse, on est loin de l'effervescence qu'on nous vante à tout bout de champs concernant la maternité lol
"Faut que j'apprenne à la connaitre avant de l'aimer"... Elle est pleine de symbolique cette phrase. Perso j'ai toujours eu du mal avec l'amour inconditionnel filial, juste parce que ça sort de ton orifice et pas celui de la voisine tu en fais la huitième merveille du monde, c'est pas net.
Elle dit, tout comme une autre intervenante que ce qu'elle regrette c'est surtout la vie d'avant, les soirées, la liberté, l'insouciance ect....c'est quand meme un peu la base si tu decides d'avoir un enfant, tu sais que ces points là ne pourront perdurer de la meme manière. Moi j'ai toujours sur que je n'aurai jamais d'enfant, certainement pas pour ces motifs là, l'insouciance je ne l'ai jamais eu, mais à cause des règles du jeu de cette vie, les injustices, les manipulations, l'ignorance de notre existence ect, je ne les supporte pas moi meme je ne pourrai pas les imposer à quelqu'un. J'aurai l'impression de commettre un crime en faisant cela.
Un autre point qui m'a marqué "avant je pensais que la dépression c'était pour les gens faibles et puis ça m'est arrivé j'ai pris une claque". Tellement révélateur! Le nombre de gens qui ont besoin d'etre eduqués par la vie, d'apprendre à travers la souffrance pour devenir davantage potables et respectables! Tant qu'ils sont sur leurs rails du bonheur, ça peut crever à coté pour eux ça sera synonyme d'indifférence et jugeront cela comme faiblesse ou autre défaut! C'est une quete importante pour moi, l'attribution de la souffrance, des destins tragiques à des gens vertueux et des boulevards d'actions aux raclures. On a une cohabition forcée entre l'excellence et la médiocrité.
Merci pour ce commentaire qui résonne comme une vraie claque pour moi ; "l'insouciance je ne l'ai jamais eu" je m'y reconnais fortement
@@croquefleur9687 Tant mieux si ça te parle, c'est en partie pour cela que je laisse des commentaires, que certains se retrouvent dedans ou se sentent moins seuls.
Votre témoignage m'a bouleversée. Merci de votre franchise. Beaucoup de femmes vont se reconnaître dans votre témoignage . 💕💕
C’est terrible , j’ai 27 ans et je ne ressens pas l’envie d’avoir un enfant. Et j’aurai la phobie de regretter si j’en avait un .
Et moi bientôt 27 ans je ressens tellement ce desir. Mais personne pour l'avoir .Mais meme avec ce desir le coté inquiet de la maternite me fait un peu peur .
En quoi est-ce terrible ?!
@@MaEtVaBienBen regretter son enfant c'est terrible c'est pas une joie de ressentir ça.
@@RBea-un6lhje connais ce sentiment. C'est dure
Je comprends ... je regrette parfois ma vie insouciante. Mon 2eme a été et est tjrs l'épreuve la plus difficile que j'ai rencontré. Un enfant intense, depuis ses premiers jours de vie, des pleurs en permanence, 1h de repis par jour, même sa nounou a fini par lâcher. Depuis sa naissance, je me sens affreuse de juste vouloir qu'il grandisse vite, alors que la petite enfance passe si vite ... aussi petits soient-ils, ils peuvent vampirisé toute votre énergie.
Vous n’avez pas à vous sentir coupable, c’est difficile de s’occuper d’enfants h24 et encore plus quand ils demandent une attention particulière. Je suis sûre que vous faites au mieux. N’hésitez pas à demander de l’aide si vous vous sentez craquer, je vous souhaite bon courage
C'est curieux toutes ces pleurs sûrement un soucis non diagnostiqué... à creuser. Courage
Je rejoins les commentaires plus bas, à creuser car un bébé qui pleure souvent à des besoins peut être plus intense que les autres , peut être une hypersensibilité, un tdi, un hpi, une hyperactivité. On a toujours tendance à dire que l'enfant est " dur " ou pire " mal élevé" alors qu'il exprime juste des besoins par des pleurs répétitifs. Je vous souhaite bon courage 👍🏻
@@katejoce480 colique peux être
@@Lisaep3 tout à fait d'accord avec vous, ce n'est jamais anodin, il ne le fait pas exprès, il faut répondre à sa souffrance...
On peut désirer un enfant, sans désirer un nourrisson. On peut désirer construire une famille, sans avoir à accueillir sous son toit de parfaits inconnus. On peut avoir connaissance des faits, sans en avoir conscience. Rien ne permet de juger ces femmes, leurs témoignages, leurs vécus. Les individus qui n'ont pas fait d'études de psychiatrie ne peuvent en rien se permettre de juger des situations et soucis de santé mentale qu'iels ne connaissent pas. La plus grande force de ces femmes est d'avoir recherché de l'aide, avant de devenir maltraitantes, bravo à elles et bon courage à celles, dans le même cas, qui liront le déferlement de haine sous ces trois vidéos !
Votre commentaire met du baume au cœur ❤️
Leur franchise demande courage et respect. Je n'ai pas vécu ce qu'elles ont traversé. Mon bonheur était immense et je n'ai pas connu le baby blues. Pourtant, je les écoute avec émotion et ce qu'elles disent est fort. Il faut bien écouter ce qu'elles expliquent sans jugement. Elles ne disent pas, ne pas aimer leur enfant mais regretter la vie d'avant, ne pas savoir gérer fatigue, difficulté, perte de son identité de jeune femme, perte de ses libertés. Fatigue, dépression et le cumul de ces choses qui bouleversent la vie autrement que ce qu'elles avaient imaginé ou rêvé, font qu'elles ont perdu pied. Dire que, si il s'arrête de respirer, ce n'est pas si grave, c'est aussi dire je ne lui ai, ou aurait fait aucun mal, et je me sentirai mieux, soulagée après. Ce n'est pas pour autant dire qu'elles souhaitent qu'ils ne respirent plus. Ce n'est pas pour autant dire qu'elles ne seraient pas tristes ou dévastées, c'est juste chercher une bulle d'air momentanée. Je ne l'ai pas vécu et j'ai peine à imaginer vivre ça, pourtant j'écoute et ça me peine, pour elles, leurs couples, leurs enfants. Mais tout ça n'est que passager, elles vont ou s'en sont sorties. Courage et bravo pour votre témoignage honnête.
Je me reconnais énormément dans tout ça...
C'est tellement difficile de trouver quelqu'un à qui parler sans se faire juger...
Vous savez l'humain aime se juger, pour tout et rien... Prenez juste soin de vous !
La naissance d’un enfant est un un bouleversement physique et psychologique . Être parent est un métier à part entière.. son histoire est émouvante et je comprends parfaitement cette jeune femme. Le jugement n’a pas sa place pour ceux qui non jamais été confrontés à cette situation. Longue vie à cette jeune famille !.
Je me reconnais tellement dans ces témoignages. Je regrette énormément ma vie d'avant où j'étais libre de toute responsabilité. Ma fille a un an et demi et j'ai toujours ce regret, je pense par manque d'interaction avec elle, peut être que ça passera quand elle sera plus grande et qu'elle commencera à me parler et que j'aurais une réelle interaction avec elle.
Je l'aime c'est indéniable, mais y a un mais. J'ai dû mal à l'exprimer même encore maintenant.
Je les comprends même si tout n’est pas pareil dans les vécus. Mon 1er fils j’ai été remplie d’émotion joyeuse. Le séjour à l’hôpital ne s’est pas très bien passé car c’était un rêve pour moi d’allaiter et je n’ai pas été accompagnée, donc pour moi 1er échec 👍🏼. Par la suite j’ai passé les 2 premiers mois enfermée chez moi seule avec mon bébé qui était un bébé « difficile », ne voulait que les bras, pleurait quasi tout le temps, ne dormait jamais la journée mais dormait bien la nuit et au lieu de me reposer je veillais sur lui car il s’étouffait souvent avec ses glaires dû à l’accouchement. Mes journées étaient rythmées par l’angoisse, l’énervement, la culpabilité, la solitude, le désespoir, l’extrême fatigue et j’en passe. Mon mari travaillait beaucoup et quelque part je n’ai pas su lui laisser sa place de père car j’avais peur qu’il fasse mal les choses. Un exemple le bain, IMPOSSIBLE qu’il le lui donne, dans ma tête il allait lui faire boire la tasse jusqu’à le faire mourir. Quand je pense qu’aujourd’hui il donne le bain à notre deuxième et que pendant ce temps je joue avec notre ainé🙄😂. Par la suite j’ai passé mon temps à « refiler » bébé à ma mère jour ET nuit, pendant 2-3-4-5 jours. Bien sûr j’étais habitée par la honte et la culpabilité de ne pas m’occuper de mon bébé. Et je sais que je n’ai plus pu me passer de mon fils quand il a eu 7 mois. Nous sommes devenus fusionnel, et j’ai même décidé de ne pas reprendre le boulot pour pouvoir me « rattraper » et profiter de chaque instant avec lui. Pour mon 2eme qui a 8 mois, je l’allaite (challenge réussi youpiii!!), et il ne me quitte jamais. Mais comme mon premier, je faisais les choses machinalement car il fallait le faire point. Et je suis aussi tombée amoureuse de lui il y a peu, environ à ses 5-6 mois. Je dois être ce « genre » de mamans là… je ne parlais pas à mes bébés, je faisais les choses silencieusement, n’étant pas bavarde de base, (dit elle pendant qu’elle écrit un roman😂🙄) et les bisous et câlins c’était très peu. Je pense que j’ai besoin d’apprendre à connaître mes bébés avant de les « accepter », le coup de foudre ce n’est pas pour moi. Parfois je me dis que j’ai loupé des moments avec eux alors qu’ils étaient nourrisson mais quand je vois la relation que nous avons, notre complicité, nos fous rires, nos moments difficiles aussi, nos bouderies, nos câlins nos bisous et nos « je t’aime » je me dis que c’est peut être pas plus mal que ça se soit passé comme ça finalement. Et peut être que pour le 3eme ce sera différent qui sait. En tout cas ces témoignages sont très touchant et nous ramène à une réalité que beaucoup ignore ou cache. Cette idée qu’être maman est inée, et que dès la naissance nous sommes toutes larmoyantes et heureuses devant ces petites choses inconsciemment cruelles et mignonnes… il est temps de lever le voile et de montrer que la maternité et la paternité ne sont pas choses évidentes pour tous. Et aussi de libérer la parole sur la réalité de l’accouchement, du post partum, du retour à la maison etc… tant de choses qui ne sont pas entendues à ces sujets. Y’a du boulot ! Mes pensées aux mamans/papas qui traversent ces tourbillons d’émotions et de changements. On en ressort plus fort et plus amoureux que jamais☺️.
Merci d’avoir autant d’honnêteté et de bienveillance ❤️
J'ai connu ça aussi avec mon fils. Maman seul de 22 ans et sans famille ça a été dur mais aujourd'hui je l'aime plus que tout au monde. Et si c'était à refaire je le ferai. Je l'aime tellement 🥰
Très beau témoignage ! Merci pour toutes les femmes !
Qu'est-ce ce que je me retrouve dans ce témoignage, on se force à cacher nos sentiments ey on s'interdit de dévoiler notre mal-être nous nous sentons "mauvaise mère" quand on se retrouve en déprime après avoir donner la vie . arrêtons de juger ces femmes qui peuvent passer par ces moments très compliqués de la vie d'une maman surtout si elles ne sont pas soutenues par leur entourage. courage à toutes les mamans qui sont dans la même situation.
beaucoup de force et de courage à vous ! votre enfant ressentira tout cela et votre envie de l'aimer, n'hésitez pas à consulter, j'espère que cela vous fera le plus grand bien !
@@camille-aceillm6801 merci énormément, j'étais suivie pour ça mais encore faut trouver la bonne oreille avec qui ça peut matcher et sortir tout ce qu'on a sur le cœur et ce qu'on n'ose pas dire à quiconque
@@fatimazohrab8788 fatima c'est quoi ton histoire avec ta mère ? Et c'est avec ton premier bébé ? Fille garçon ?
@@fatimazohrab8788 je comprends parfaitement ! Les pratiques autour de la psychothérapie s’ouvrent beaucoup ces derniers temps, comme l’emdr ou la réflexologie, peut-être que certaines vous conviendraient mieux ?
@@camille-aceillm6801peut-être ca vaut le coup d'essayer. Justement dernièrement j'entends parler de la kinésiologie surtout que depuis juillet 2019 (quand j'ai perdu mon premier bébé étoile à 34 SA quelque chose à cassé en moi et cette 2ème grossesse a été très compliqué couronné d'un accouchement cauchemardesque et cette dépression post partum et bcp dautres choses donc arrive un moment après tout ce cumul on devient très fragile et à tout moment une goutte de trop peut faire déborder le verre. Merci bcp pour votre sympathie et ce moment d'échange grand respect à vous 🙏🤝
Vous dormiez pas parce que vous aviez peur pour elle... Donc vous aimez votre fille...vous êtes pleine d'amour !
Ma maman m'a raconté que la première fois qu'elle m'a vue à la maternité, elle a eu un coup de foudre, comme celui qu'elle a eu pour mon père. Avant d'habiter dans le ventre de ma maman, je suis sure que j'habitais dans son coeur. Merci pour tout ton amour ma mamounette. Je t'aime fort.Luce
Ça doit vraiment pas être facile pour moi c’était un pure bonheur mais je met à la place de cette femme qui ressent pas ça . Faut pas abandonner faut crée une connexion et petit a petit ça arrive ♥️❤️ courage
Oui tu as raison. Je n ai pas eu de coup de cœur à la naissance ni ressenti cette fameuse vague d amour mais c est venu petit à petit à force de se connaitre, de s aprehender, de passer du temps ensemble.. et aujourd'hui je les aime plus que tout au monde. Mais cette connexion, ce coup de foudre, n est pas automatique chez tout le monde.
J'ai 31 ans et mon conjoint et moi ne savons toujours pas si nous voulons un enfant ou non. J'ai peur de regretter et de ne pas m'épanouir et surtout de ne pas y arriver.
Je n'arrive pas à ressentir une réelle envie profonde, comme d'autres de mes amis. Et j'ai aussi peur de passer à côté de quelque chose si je n'es pas d'enfants.
C'est terrible de ne pas savoir.
Je connais des gens d'un certains âge qui non pas d'enfants par choix et pas de regrets.
Donc oui, la nature nous permet d'avoir des enfants, mais je doute que nous puissions pas nous en passer. Le choix appartient à chacun d'entre nous et c'est ce que je souhaite que chacun et le choix.
A notre époque la surpopulation que l'on est nous permet de choisir.
Enfin voilà, sans vouloir entacher votre opinion celle-ci et la mienne 😊
Bien à vous☺️
Merci à cette dame pour ton honnêteté 🥰
Je ne juge pas du tout, ce sont des choses qui arrivent, malheureusement les premiers mois d'un bébé sont les plus importants (un bébé qui ne reçoit pas d'amour les premiers mois peut être fortement déstabilisé sur le plan affectif entre autre). J'espère que ça n'a pas entaché le développement de son enfant et que le temps "rattrapé" au bout d'un an suffira à créer un lien assez fort.
Et pour tous ceux qui jugent. Cela vaut bien mieux de devenir mère après un an que de s'occuper de ses enfants pendant quelques années puis de les laisser tomber (et je ne parle même pas des drames familiaux qui peuvent arriver). Ça arrive de faire des erreurs ou avoir besoin de temps.
Horrible🥺vu que toutes les femmes ont sencé avoir 'l'intinct maternel" j'imagine le sentiment de culpabilité ....courage mesdames 🙏🏼❤
Je n'ai jamais voulu d'enfant mais quand ma fille est née quelqu'un m'a dit :
"Ça ne te bouleverse pas d'aimer autant quelqu'un que tu ne connaissais pas hier ?"
Et je n'ai pas compris cette remarque car ça faisait 9 mois que je la connaissais et que je l'aimais plus que tout et que nous avions déjà des souvenirs, une complicité.
Bref. Un enfant ce n'est pas une surprise.
Et non la vie ne change pas avec l'arrivée d'un enfant.
Que faisaient ces gens de plus intéressant qu'ils ont du "sacrifier" ?
👍👍👍
La même chose.. J'aime tellement ma fille, que je le dis que avant de l'avoir ma vie devait être bien vide.. je me demande ce que je faisais mdr. On attend d'être enceinte, pour certaines ça peut prendre du temps, on patiente ensuite 9 mois de plus en apprennent à découvrir notre nouveau corps, en priant pour que tout se passe bien.. et puis le jour J, la rencontre. Wahou j'ai découvert ce jour là un sentiment le plus primitif qu'il soit, l'instant maternel.
En revanche les suites de couches avec les points de suture et le manque de sommeil ça c'est vraiment dur, mais ça passe. Ça restera toujours ma plus belle aventure.
@Anna Jm Sur le moment je ne le ressentais pas, je sortais beaucoup avec mes amies, un mariage agréable, à fond dans le travail.. et je ne savais pas comment je pourrais caser un enfant dans tout ça. Et finalement j'ai trouvé que ça se faisait naturellement, tout en continuant mes activités. Et sachant le temps qu'occupe un enfant je me dis FINALEMENT ma vie qui me semblait si remplie avant ne devais pas l'être autant. Ce n'est que mon vécu personnel, qui d'ailleurs pourrait changer avec l'arrivée d'un nouvel enfant, on ne peut pas savoir à l'avance. C'était une contribution personnelle qui ne jette la pierre à personne.
J'ai passé les premiers mois avec notre bébé c'était un pur bonheur
Mais je me suis enfoncé dans une dépression grave post-partum pendant les 7 mois d'après
Pendant 7 mois j'ai passé presque tout mon temps dans mon lit
Mon mari a tout pris en charge a dû arrêter de travailler pour s'occuper de notre fils car je n'étais pas capable
Presque tout le temps dans mon lit sans rien faire aucune force
Vers la fin je commençais à avoir des idées suicidaires je faisais même des cauchemars où je me suicider
J'ai au bout d'un moment jai décidé d'aller voir un médecin et me laisser prescrire un traitement antidépresseur et au bout d'un mois j'étais sauvée.
Aujourd'hui depuis le mois de septembre je suis complètement guéri et je suis redevenu la maman que j'étais pendant ses 6 premiers mois. Donc quand je vois une femme en DPP, je lui dirai toujours qu'il y a un espoir.
Mon bébé maman t'aime tellement!
Bravo, mille bravos de vous êtes relevée.
Belle vie à vous et votre famille 🥰
J'ai vécu ça, pour mon premier , j'ai eu se coup de foudre à c'est 6 mois quand il a du être hospitalisé pour une gastro à se moment la j'ai eu très peur et j'ai eu se déclic, j'ai eu ma deuxième et la oui magique accouchement magique coup de foudre immédiat etc.. et en vivant mes premiers jours avec la deuxième je me suis rendu compte que pour mon premier sa était vraiment le baby blues la dépression post partum etc... , j'avais hésiter un moment à avoir le deuxième et je regrette en rien grâce à elle j'ai pu vivre vraiment le bonheur et la joie de cette aventure des premiers instant ! 🙏❤
Merci tellement. Je ne savait pas ce que je vivait et je me jugeait chaque jour pour ça. C’est tellement important de parler de ce sujet. 🙏🏻
Bravo pour les témoignages sur ce sujet. La honte ne m'a pas permis à moi de dire que je n'étais pas heureuse de suite.
Je regrettais tellement ma vie d'avant, je pensais avoir fait une énorme bêtise.
Aujourd'hui je n'écoute plus l'entourage. Aujourd'hui encore aussi à certains moments je regrette de ne pas vivre ma vie égoïstement, souvent je vis pour que mes enfants vivent bien et que tout le monde se sent bien mais et moi alors ....c pas tout le temps mais j'y pense quand même ...
Je pries sincèrement pour que les commentaires bienveillants pèsent plus lourd dans vos balances, Mesdames, que les jugements que l'on peut lire.. Preuve en est qu'il y a encore énormément de travail pour ouvrir les esprits et c'est grâce à des personnes comme vous, des personnes assez fortes pour avouer être ou avoir été vulnérables un jour, que le chemin se fraye petit à petit.
Il y a des gens qui vous ont écouté, qui accueillent et qui comprennent, sachez-le 🙂
Merci pour vos témoignages 🙏💛
J'ai l'impression également que comme on fait des enfants un peu plus tard qu'à une époque (autour de 30 voir plus encore) et que l'on a goûté à la liberté, le fait d'en profiter plus que a 18/20 ans etc c'est plus compliqué ce changement de vie. Avec ma femme nous avons deux enfants qu'on aime plus que tout et qu'on a aimé immédiatement... Sauf que bon sang c'était dur cette transition quand on passe de voyager, sortir et profiter de cette liberté... Bien sûr je ne généralise pas mais je pense que c'est une théorie solide pour pas mal d'entre nous notamment ceux qui ont eu des enfants "sur le tard" 😅 et je ne parle même pas de l'énergie qui n'est pas la même à 20 ans et à 40 😁. Et de l'énergie il en faut un sacré paquet pour des enfants ! Oui c'est magnifique ! Oui c'est sûrement la plus belle chose qui existe mais oui aussi c'est très dur d'en avoir et que ça soit physiquement et psychologiquement ! Mais le jeu en vaut la chandelle c'est sûr !
Du coup, c'est pas grave si on en veut pas ?
@@mariaejacobus213 bien au contraire c'est quelque chose que je défends pleinement ! J'ai des amis qui n'en veulent pas et je suis le premier a les défendre de cette pression sociale comme quoi il faut absolument faire des enfants ! Chacun est libre 😉
D'où le plaisir d'avoir une vie sans enfant et d'assumer de penser à soi et d'aimer sa vie sans CETTE responsabilité (parce qu'on en a d'autres évidemment).
Quelle autre responsabilités ?
Parce que quand on a un enfant on pense pas du tout à soi, on peut pas s'aimer soi même ?!
@@Soleil-vk9ts responsabilités au travail , si on s’occupe de ses parents , de son chien … avoir des gosses n’est pas le but de tout le monde
On peut penser à soi en ayant un enfant.
Témoignage très courageux chapeau d'être venu témoigner!
Le mal-être qu'on peut ressentir à la naissance peut aussi nous renvoyer à ce qu'on a vécu soi-même bb avec nos propres parents. S'ils ont été violents ou maltraitants, c'est très difficile de devenir mère. Car oui, hélàs, il y a des parents violents avec leur nourisson.
Je me reconnais beaucoup dans ton témoignage. Pour ma première fille je n’ai pas eu tout de suite de coup de foudre, quand j’ai accouchée je voulais quand l’emmène pour que je me repose … par la suite j’avais beaucoup de mal être en moi je ne m’étais pas habituée à mon nouveau rôle de maman, souvent le passé ma vie d’avant me manquait énormément ça a pris beaucoup de temps pour que je m’y fasse je dirais presque 3 ans . Maintenant j’ai une deuxième fille je l’ai reçu tout de suite le coup de foudre avec elle c’est différent. Je regrette d’avoir vécu ce bouleversement avec ma première mais je fais tout pour me rattraper maintenant. Donc ne te sens pas seule c’est quelque chose qui arrive sa prend du temps de changer de vie d’accepter son nouveau rôle sa nouvelle mission. La célèbre sage femme Anne Roy disait que de l’expulsion du placenta au 3 ans de l’enfant nous vivons un post partum tu regarderas sur TH-cam quand je l’ai vu chai tu de suite eu un déclic
th-cam.com/video/OA92wZq6csA/w-d-xo.html
Je me demandais toujours comment est-ce que les mamans arrivent à aimer leurs bébés dès le premier regard ? Je me suis toujours posée la question est-ce possible de ne pas avoir ce coup de cœur dès les premiers moments ensemble ? Merci pour cette émission et pour ces courageux témoignages ❤️❤️.
Moi j'ai eu le coup de foudre quand elle a dormi sa première nuit sur moi❤
pour être passer par là (grossesse à 20 ans alors qu’elle n’était pas attendu) , j’ai mis quasiment 8 mois à accepter mon rôle de maman , j’avais peur de l’aimer , peur de trop m’attacher et paradoxalement j’étais en hypervigilence … c’est tellement complexe comme situation , vraiment je ne souhaite ça à personne ! heureusement quand on est bien entourée tout cela s’arrange
@Learning IsFun Bonjour, vous savez que même avec une contraception on peut quand même tomber enceinte ? Et ce n’est pas parce qu’on décide de garder la grossesse malgré le fait qu’elle n’était pas attendu qu’on est obligé de bien la vivre après l’accouchement.
Merciiii 🙏🏻🙏🏻🙏🏻
Il faut arrêter de parler d’élan maternel ,(et encore moins de coup de foudre ,on est pas amoureuse de son enfant) on sait maintenant que ce n’est pas automatique .c’est juste le sentiment que la société fait peser sur les mamans..
Quand on décide d'avoir un enfants, c'est une responsabilité. On décide d'être responsable de quelqu'un mem si on a ou pas de déclic au départ. Le fait de réagir comme sa envers son enfants à la naissance montre qu'on avait pas pris conscience de la responsabilité et du choix qu'on faisait. Les enfants ressente nos émotions. Ils savent s'il sont aimé ou pas. C'est vraiment navrée de dire sa pour un être qui n'a pas demander de naître.
Tu oubli une chose on ne peu jamais savoir se qu'on vas vraiment resentir face à une situation qu'on a jamais vécu au paravant et c'est cela qui allucinant c'est se serais jamais imaginé réagir ainssi. De plus c'est un grand boulversement. Les papa on très rarement autant de responsabilité qu'une mère car de 1 il n'ont pas a partager leur corps pendant 9 mois et aprés subir les douleurs atroce de l'acouchement pour ensuit devoir servir le repas directe à même leur corp souvent ils parte travailler garde un moment le bébé essayent decparticiper pour les plus bravent mais très souvent il préfère rester à distence tant que ça pleur ou dans les cas les plus triste laisse tomber la jeune mère par peur des redponsabilité. La femme qui devien une jeune mère à plus de poid sur elle vis a vis du regard de la société au niveau de son bébé que les pères. Et c'est cela qui est triste
@@celiamariejeanne-chen9943
C’est bien résumé 👍
Je la comprends tellement même si notre séjour à l'hôpital etais le plus beau moment de notre vie... on a ni manger ni dormi à la maternité et les quelques jours revenu à la maison aussi tellement on était heureux !!!!!!!
Heureusement que j'ai pas vécu cette situation après l'accouchement mais il est vrai qu'on change complètement de vie et qu'on peut avoir des attitudes complètement différentes les unes des autres. Bravo à cette dame, elle a du courage de témoigner ce que la nature nous offre mais qui est difficile peut-être à accepter.
Moi quand j'étais enceinte la première fois, on me demandait si j'allais être maternelle je répondais que je savais pas.
Merci pour ce témoignage !
J’aimerais bien être dans la tête d’un nouveau né.. personne ne semble se soucier de ce que ressentent les bébés..comme si pour eux ce n’était pas violent .. je ne parle pas de la maman aucunement..
@@camille6760 au contraire, c’est pour ca qu’elles sont égoïstes en en parlant visage decouvert a la télé ! Le plus violent dans l’histoire, c’est quand les gosses verront ce temoignage, et realiseront le fardeau qu’ils ont été des la naissance, le desamour et le degout qu’ils ont provoqué. C’est d’un égoïsme stratosphérique de le dire a la télé sachant pertinemment que sa fille le verra un jour. Ca va tout simplement la detruire psychologiquement. Un temoignage anonyme, que les meres sachent que ca peut arriver, sans que sa fille ne reconnaisse sa mere, pourquoi pas oui ! Mais la, pauvre fille… elle lui met une deuxième claque en le disant publiquement.
@@machintruc9457 vous n'êtes vous simplement pas équipé pour comprendre les subtilités psychologiques des gens... Il est bon d'arrêter de juger et d'essayer de comprendre même si vous n'êtes pas d'accord ! Le monde n'est pas aussi binaire que vous le souhaiteriez... Car le plus important c'est que ces personnes soient devenues des bonnes mères comparé à des parents qui n'ont pas ressenti cela et faisant des gosses sans aucune reflexion et qui sont des parents épouvantables au final. Peu importe le ressenti ce qui compte c'est votre capacité à être un bon guide pour vos enfants... Mais ça c'est sûr que c'est pas donné à tous le monde de comprendre et de voir qu'on est tous différents selon nos ressenti... Et si les choses sont expliqués correctement aux enfants il n'y aura absolument aucun problème !
@@RAPACEPROD c’est vous qui n’etes pas équipés pour comprendre les subtilités de la psychologie, si vous croyez qu’un gosse peut réellement bien vivre d’apprendre qu’il n’a pas été aimé et a envoyé sa mere en depression par sa simple presence. Bien évidemment, je comprends que la mere ne faisait pas expres de ne pas aimer sa fille, je suis pas idiot, mais c’est vous qui manquez de finesse d’esprit si vous ne voyez pas en quoi il aurait été mieux de temoigner anonymement. Meme sans parler de la compréhension du gosse, a l’école tout le monde saura que tel camarade de classe est la fille mal-aimée par sa mère. C’est la catastrophe a tous les niveaux pour la fille. Mais bon, c’est sur que quand on ne pense qu’a son nombril, et qu’a etre compris sois meme, on pense pas a son gosse avant d’aller temoigner.
@@camille6760 vous ne m'avez pas lu ou quoi
"Bien évidemment, je comprends que la mere ne faisait pas expres de ne pas aimer sa fille"
je sais bien qu'elles n'en sont pas heureuses, mais ça n'excuse pas de le balancer à la gueule de sa fille !
@@machintruc9457 je suis d’accord, moi ça me ferait beaucoup trop de mal d’entendre ce genre de témoignage si c’était moi l’enfant dont elle parlait. De plus oui comme dit au dessus les enfants ressentent tout comme nous et une mère dépressive par exemple ou qui s’en fou de son gosse ça a vraiment des conséquences sur l’enfant
je crois q toutes les mères ont le blues après l'acouchement, plus ou moins. C'est un grand changement hormonal. Je me rappelle q je chialais dans les coins, sans raison ni tristesse, 20 min. et après c'était normal. Ça me soulageait
Effectivement au début il y a le baby-blues, mais c’est censé durer quelques semaines tout au plus. Si ça ne passe pas après quelques mois, c’est que c’est déjà la dépression qui s’installe. On est bien au-delà des pleurs intempestifs, pour ma part j’avais rédigé mon testament, organisé mon suicide et j’avais des pensées qui tournaient en boucle genre, je suis une mère horrible, ils seraient mieux sans moi etc. Il faut vraiment se faire prendre en charge rapidement quand on sent que ça ne passe pas aussi vite que cela « devrait ».
Non pas toutes, heureusement 😅
Quand j’ai eu ma fille je me sentais étouffés ma liberté était rare et j’en souffrais mais je l’aimais au fond de mon cœur ♥️
Personne ne peut juger ces Femmes, c'est pour toutes ces raisons dont je suis plus que consciente et pour lesquelles je ne veut pas d'enfants.. 27ans, une vie déjà mouvementé depuis toujours, 10 ans de couple Amoureux et Solides, mais pas prêts à renoncer "à notre vie" pour le moment et peut être même jamais... et ce monde ne me donne plus d'espoirs pour tout ça
C est pas moche du tout! C est magnifique et ca sent trop bon!
Comme je comprend cette maman...
Elle est magnifique cette histoire
Merci pour ses temoiniage qui est tellement tabou. Il rent la materniter tout beau cute parfait et rose alors que c est pas toujours le ca et personne ne parle du coter plus sombre. Et aussi il en parle pas non plus que c est pas toute les femnes qui aime etre enciente. Merci au temoiniage sur ce sujet tabou bravo pour votre courage et temoiniage.
Elle est brillante cette femme
J'ai l'impression qu'il y a comme une espèce d'immaturité maternelle chez certaines mamans de cette génération. Un refus des responsabilités ou de toutes éventuelles contraintes..
Ce n'est pas que les mères de cette génération
Quand la sage femme a mis ma fille sur ma poitrine la 1fois , j'étais choquée de ce que je vois en plus je m'attendais pas qu'elle soit aussi moche .Je me forçais de la tenir dans mes bras et de lui parler. C'était très difficile pour moi les premiers jours , j'étais en dépression et je passais mes journées avec des larmes .
Je ne savais pas que ça existe ce refus de maternité . malheureusement je n'ai parler à personne parceque j'avais honte mais j'aurais aimé d'entendre ce témoignage avant mon accouchement .
Merci bcp .
Le plaisir d'être childfree 🤣
Tu as bien raison
C’est pas évident t d’en parler elle t très courageuse
"Oh mon bébé... oorrfff finalement j'le veux plus "...ppffff la contraception, l'avortement, l'anticipation.
Simone veille se retourne dans sa tombe 🥱
J'ai vécu à peu près la même chose mais coup de foudre avec ma fille très oeu de soutien et la fatigue vraiment m'a anéanti pas d'aide très très peu mon cheri et moi nous etions perdu la maternité on nous disait comme ça la sage femme comme ça le pédiatre comme ci houhaouuu grand vertige
J'imagine pas la tête de l'enfant quand il va voir la vedio dans quelques années
Elle aime son enfant maintenant c'est le principal
Accouchement en pleine période de COVID, aucun suivi psychologique disponible. Sans mon mari, je pense que je me serais tuée. Au bout d'un an, l'amour a commencé a grandir. Aujourd'hui, au bout de deux ans, il est toute ma vie. Oui, je regrette un peu mon insouciance mais elle reviendra avec le temps.
Bonjour, je n’ai pas d’enfants donc je ne me permettrai jamais de juger ces femmes qui , quoi qu’on en pense , sont courageuses de venir en parler publiquement. J’avoue être plutôt perplexe, je pensais que c’était inné l’amour d’une mère. Je comprends totalement les arguments des mères qui témoignent mais j’avoue avoir peur pour les enfants si ils tombent sur cette émission dans quelques années . Pour moi , les mères ne sont pas à condamner mais plutôt la société qui met une énorme pression sur les femmes pour enfanter et qui ne veut pas parler de dépression post-partum ect... Je suis désolée si j’ai été maladroite, n’hésitez pas à me corriger si nécessaire.
En effet, les gosses verront un jour ce temoignage, et ca sera d’une violence inouïe pour eux ! Ces témoignages visage découvert sont honteux d’égoïsme. Qu’elles aient au moins la décence de temoigner anonymement pour eviter que leurs gosses ne les reconnaissent et n’entendent le fardeau qu’ils ont été pour elles. Certes, c’est pas leur faute, mais elles sont pas obligées de le jeter a la gueule de leurs gosses
@@machintruc9457 C’est votre jugement qui est honteux d’égoïsme et d’une violence inouïe. Cette femme témoigne du mal-être qu’elle a ressenti après son accouchement, de sa dépression même. Et c’est une maladie. Elle raconte même à quel point elle a culpabilisé pendant cette période, et vous osez en rajouter une couche ? C’est très déplacé, d’autant plus que toutes les femmes sur ce plateau sont d’accord pour dire que malgré l’épreuve qu’elles ont traversée, aujourd’hui elles portent un amour inconditionnel à leur enfant. Elles ont culpabilisé de ressentir ce mal-être vis à vis de leur maternité, non pas de l’enfant en lui même. Il faut savoir faire la différence. Et si elles se sont battues pour s’en sortir, c’est aussi pour que leur enfant ne ressente pas de manque et grandisse avec l’amour dont ils ont besoin. Un enfant ayant grandi avec de l’amour et avec une mère si investie ne pourra que compatir en voyant son témoignage. Visiblement, ce n’est pas votre cas et j’en suis navrée.
@@Amnrmd la réponse toute faite qui ne se contente que de repeter ce qui est dit dans l’emission sans reflechir plus loin que le bout de son nez… Je ne juge pas le fait qu’elle ne l’ait pas aimée, mais le fait qu’elle témoigne a visage decouvert. Ensuite, oui, la psy a dit qu’elles aimaient toutes leurs enfants, sauf que c’est faux, elles le disent d’elles memes, non, ce n’est pas qu’un desamour de la maternité. Elles ont pas eu le coup de foudre, elles avaient l’impression d’avoir un etranger chez elle, et elle dit elle meme qu’elle en est venue a penser que ce serait pas si mal si sa fille mourrait. Vous imaginez un peu la violence, lorsque vous etes gosses et entendez ca ?! Il y a beau avoir toutes les explications du monde, ca reste extremement violent et dur a vivre. Donc selon vous, le fait qu’elles en aient souffert les autorise a torturer moralement leur gosse a la télé ? A en rajouter une couche, comme si le desamour et l’absence d’une semaine avait pas été assez dur a vivre ? Mais oui, ca c’est l’egoisme et l’individualisme a la mode aujourd’hui. Ma souffrance me donne tous les droits, c’est mes droits, mon nombril, moi moi moi. Ces images ont été vues dans toute la france, donc meme quand elle arrivera en maternelle, ses camarades de classes sauront tous que telle fille de la classe est la mal aimée. Pour exterioriser son propre mal-être, elle deverse tout sur sa fille. On est vraiment dans la generation nombrilisme. Toujours « mes droits », jamais « mes devoirs », et jamais aucune reflexion sur l’impact qu’on a sur les autres.
machin truc Tu es une horrible personne
@@mariaejacobus213 aucun argument !
non, les horribles personnes sont celles qui balancent leur désamour à la gueule de leurs gosses pour se soulager d'un poids, arretez de faire semblant de ne pas comprendre
Quand j'étais enceinte je disais à mon entourage dès que le bébé née je le mets direct dans sa chambre en fait quand j'étais enceinte j'étais pas consciente je n'avais pas créé de lien avec ce bébé pour ne pas m'y attacher j'avais peur de la fausse couche car 1 er enfant à 35 ans donc j'avais mis des barrières. Une fois que ma fille est née le coup de foudre direct je ne l'ai plus lâchée et elle à fait le cododo avec nous dans la chambre jusqu'à.... 😀 mon oxygène.
et ça va votre couple n'est pas 'mort'? car certaines femmes deviennent exclusivement mères et délaissent leur conjoint =/
Qu’on puisse regretter sa vie d’avant je comprend… que tout gérer soit difficile je comprend aussi. Mais alors là les propos me choque : « Si il lui arrive quelque chose et bah tant pis » mais ça va pas la tête ? Elle ne mérite tellement pas d’être mère… pas une seconde de ma vie je pourrais me dire « tant pis » vis à vis de la mort de mon enfant… pas une seconde ma mère s’est dit cela…
Ouin ouin elle était fatigué parce-que son bébé pleurait ? Pitié mais faite que ce genre de femme ne puisse pas enfanter !
1:11 je ne rêve pas ? laspus? 🤣
Moi c'est tout l'inverse... Je déteste le fait de ne pas avoir encore d'enfants pour le moment. Je deteste les 24 premières années de ma vie, pour moi la vie commence vraiment quand on devient maman 💕 Enfin, je le vois comme ça
Ah? Pour moi ce n'est pas le cas , mais bon. Chacun à sa propre vision de sa vie à lui
@@mariaejacobus213 Je suppose que je dois être une des rares à penser ça ! 😅 Mais pour moi oui, c'est une évidence de vouloir des enfants, et je n'aurai absolument rien à regretter de ma vie actuelle ^^
C'est celle-là qui disait qu'elle comprend les femmes qui mettent leur enfant à l'adoption parce que c'est dur car les enfants passent avant nous-même.
"La dépression c'est vraiment pour les gens faibles" non mais quel honte de dire ça.. karma ma vieille
Ma fille a aujourd'hui 5ans elle a fait ses nuit à 4 ans depuis sa naissance c'etait des pleure tout les jours le soir c'était pire que la journée moi aussi j'ai fais une Baby-blues c'était le chaos dans ma tête tout le monde me disais elle va grandir sa va aller mais personne ne me comprenais
courage vous les maman😔😔
Par contre la phrase : "Si il lui arrive quelque chose tant pis" faut pas pousser non plus.
C'est comme ça
"les gens faibles "la remercient, petite prétentieuse, bien fait.
Mais ça va pas?
Sois pas frustré comme ça
Donc elle s est séparé ou pas
On peut lavoir en entier
Je me suis reconnue en vous
Je ne comprends pas ils se mettent en couple et ils ont une fille et ils se séparent ! Donc l'amour du couple n'était pas du tout là déjà !
J’ai du mal a comprendre sincèrement
Je n ai pas voulu être mère j en ai pas eu c simple
Je sais que ce n'est pas de leur faute,mais est-ce que elles pensent à ce que pourra ressentir leur enfant si un jour ils tombe sur la vidéo.
Si vous voulez débattre de ce que j'ai écrit il n'y a aucun problème,temps que c'est fait dans le respect de l'autre.
Après tu vois le regret qu’elle éprouve. Je pense que si sa fille regarde l’émission un jour elle pourra sûrement comprendre.
Même si elle comprend je pense
que cela risque de la blesser (ce n'est que mon avie)
Ca dépend de comment leur relation aura évoluée. La dépression post partum c est bien reconnu maintenant, peut-être qu avec le temps ca ira dans le bon sens. Certaines femmes ont aussi du mal avec les nourrissons et tout s arrange une fois que les enfants grandissent et qu ils partagent davantage de choses.
Si cette maman. (ou les autres) regrette(nt) un jour d'avoir témoigné, il existe le "Droit à l'oubli sur Internet "
(Il y a une procédure à suivre pour faire retirer une vidéo, un contenu sur un site, etc.)
Bien à vous,
Isabelle
Vous arrivez à aimer des chevaux, des chiens et des chats mais votre enfants... Non!
Ça arrive c'est comme ça
est-ce que ce sont des enfants uniques ou pas ?
C'est dingue on dirait mon histoire les 2 premiers mois de la vie de ma fille à certain moment
1:10 le coup de foutre mdr
Et dire que la planète est surpeuplée ...
Et oui t'en fais partie de cette surpeuplement.
@@fleurdesiles2319 je m'en serai passée de cette planète de monde de de-mon
Je trouve ça dingue quand même de ne rien ressentir à ce point pour son bébé … cette femme n’était pas prête …
je vais sur mes 34 ans et je n'ai aucun désir d'enfant. Si j'en faisais je pense que ce serait compliqué et à mon âge je ne peux pas dire que je ne suis pas prête..
@@Stefy44 Le fait d'être prête ou non à avoir un enfant, n'est aucunement une question d'âge...
C'est une question d'état d'esprit et du désir ou non d'être parent...
Sans compter la stabilité émotionnellement, psychologique, pécuniaire et matrimoniale rentrant en compte.
il faut assumez mesdame je vous dit à dieu
Bah elle était peut être trop jeune pour être maman aussi. Elle était pas prête.
Mais sérieusement ça veut dire quoi "avoir le coup de foudre" pour son enfant...
Je comprends la dépression post partum et ce sentiment contre lequel on ne peut rien faire mais ne plus accepter son enfant parce qu'on a "perdu sa vie" c'est tellement égoïste que le moment n'était peut être pas venue d'être maman...