Bravo les gars, la fin, les 5 dernières minutes , excellentes. Ça manque encore de savoir faire, mais les propos et l’intention sont justes. Comprendre les troubles , ce que nous sommes et vivre avec, tout ça est essentiel. Il faut communiquer, échanger. Cela fait 26 ans que je suis diagnostiqué , mais je souffrais déjà depuis longtemps, probablement depuis une quinzaine d’années. Dès que j’ai su, j’ai cherché à connaître et à comprendre, dans les livres, sur le net, je fameux forum des bipolaires de l’époque etc .
Salut, et merci pour cette vidéo qui apporte plus de nuances que la plupart des présentations des troubles bipolaires qu'on trouve sur le net, qui rassemblent souvent les exemples les plus forts, visibles. Je suis en cours de diagnostic après une 15-20aine d'années de souffrances trop légères pour être prise au sérieux mais trop fortes pour vivre agréablement. Et tout ce temps sans prise en charge parce que je me reconnaissais difficilement (ainsi que les psys) dans les tests qui sont je trouve peu nuancés, par exemple donnent un nombre de jour minimum à vivre ceci ou cela pour correspondre à une catégorie. Le plus probable serait le type 2, dystymie ou cyclothymie. Quand on a dû mettre en place des stratégies pour cacher ou atténuer les différentes phases (famille qui nie vos émotions, amis qui vous rejettent, médecins qui vous disent qu'il suffit de se mettre un coup de pied aux fesses ou de boire un coup, etc...), pas facile de poser un diagnostic clair et rapide! Si je finis par avoir un diagnostic posé, même s'il est amené à changer, et que je trouve un traitement ou des stratégies fonctionnelles pour adoucir ce que je vis comme un handicap, ce sera une libération. Etre reconnu pour avoir un trouble neurologique plutôt que comme quelqu'un qui ne fait pas d'effort pour se conformer, ouf, quel soulagement ce serait! Ne lâchons pas l'affaire même si le parcours de compréhension de ce qui se passe en nous est parsemé d'embûches, une petite dose d'espoir fait souvent du bien (pas toujours! parfois il faut être réaliste, mais temps qu'on ne sait pas, gardons la curiosité ouverte). Par contre le lien pour le test renvoi à une page en anglais qui n'a pas l'air de correspondre à ce que vous vouliez nous partager. Et la présentation en diapo est peu aisée à lire, zoom pas facile à manier, écriture grise sur fond gris... J'ai lâché l'affaire, désolé! 😅
Il y a des changements sur le sujet dans la communauté scientifique. Nous ne sommes donc pas en mesure de créer une vidéo sur le sujet pour le moment. En espérant que cet article puisse vous aider : www.hopestage.com/blog/les-differents-types-de-bipolarite
Merci beaucoup pour vos vidéos 😉. Je suis moi même diagnostiquée bipolaire de type 1. Suite à mon premier épisode maniaque très fort. Rempli de délires et m'ayant valu un petit séjour en hôpital psychiatrique. Je n'ai rien compris à ce qu'il m'arrivait....😱
1/ Au final comment différencier la bipolarité de type II de la dépression unipolaire? C'est pas évident. Même un patient atteint de dépression unipolaire peut avoir des légères variations de l'humeur, des moments un peu plus joyeux que d'autres... 2/ Est-ce que le type II est moins grave que le type I? 3/ Est-ce qu'un bipolaire de type I peut devenir bipolaire de type II ou inversement, ou bien c'est fixé à la naissance?
Mais c’est n’importe quoi réveillez vous les bipolaires, arrêtez d’avaler leur cachet vous êtes normal comme tout le monde tout le monde a des troubles de l’humeur même ceux qui vous les diagnostiquent. Vous vous collez une étiquette de fou tout seul parce qu un mec à blouse blanche vous l’a dis.
Je pense être de type 2. Je viens d'avoir une romance extraordinaire puis de m'être fait largué comme une grosse merde pour un soit disant copain qui la courtisait dans mon dos (le danger avec les belles femmes ça attire la convoitise)... Mes recherches en ont conclu que je suis tombé sur une type 1 en plein épisode maniac... Elles m'ont également menées à découvrir que je suis type 2 en phase dépressive avec fatigue chronique & TDAH. Je vous laisse imaginer le feu d'artifices quand nos symptômes ont fini par se rencontrer.
Je suis vraiment désolé de ce que tu traverses. Les relations peuvent être incroyablement compliquées, surtout quand des troubles de l'humeur s'en mêlent. Il est important de rappeler que ces diagnostics, même s'ils peuvent expliquer certains comportements, ne définissent pas entièrement qui nous sommes. Prends soin de toi et essaie de trouver des moyens de gérer ta fatigue chronique et ton TDAH. Parler à un professionnel de santé pourrait t'aider à naviguer dans cette période difficile. Courage à toi.
Bon jour j’ai une question que je ne peux pas poser à mon psy qui n’exercent plus, j’ai récupérer un dossier médical et il est mentionné pas d’épisode maniaque et cyclothimie n’a pas été atteint dans sa totalité, est ce que tout ça englobe que lhypomanie est exclue aussi ? Selon vous ? Merci
Bonjour, j’ai une question, j’ai fais une dépression y’a 14 ans, après avoir repensé à ce passé un peu trop fort j’ai replongé dans une dépression, retour chez le psy qui me dis vous avez un trouble de l’humeur. Ah bon lequel? Vous me dites que je suis bipolaire c ça ? Il me répond oui, mais s’est à prendre ou à laisser je cherche pas à vous convaincre que vous l’êtes. Suite à ça je récupère mon dossier médicale, mentionnant trouble dysthimique et n’a jamais développé d’épisode maniaque, ni psychose. De ce fait Ques que je dois penser moi ? Je suis littéralement perdu et effondré a force de me poser des questions, pourquoi m’a til parler de bipolaire, et peut on savoir mieux que quiconque et comment si cela est vrai ou faux. J’aimerais avoir l’avis de personne qui pourront comprendre ce que je vis. Je précise que je lui ai demander mais alors si j’ai pas fais de phase maniaque j’ai fais quoi? Il me dis je vous ai vu un peu trop bien sans raison environnementale expliquant cela, un peu exalté mais ça n’a jamais dépassé le stade pathologique. Lui étant maintenant à la retraite je ne peux plus rentrer en contact avec lui, quelqu un peut il m’aider à déchiffrer tout cela, et donc est ce que je peux savoir mieux que lui qui je suis car il m’a fais douter de moi même
@@ClémentBaissat j’ai pris un deuxième avis, qui me dis que non, je pense à faire la prise de sang qui viens de sortir, car mon problème est que ce doute me rend malade
Bonsoir, J’apprécie beaucoup vos efforts de vulgarisation, mais pardon quel blabla, quel présentation embrouillée du sujet. Plus je regarde cette vidéo, plus je m’y perds. Perso, cela fait 26 ans que je suis diagnostiqué Bipolaire et dans la mesure où je n’ai plus de phases maniaques depuis 15/20 ans. Par contre, hypomanies et dépressions sévères je connais et ce n’est jamais très lion. Les dernières minutes de votre vidéo sont les meilleures. Sans intention de faire de la pub commerciale, je ne peux que conseiller l’excellent bouquin “Le manuel du bipolaire” Patmos d’autres bien. L’important est de savoir que l’les TB
Ils sont tous bien. Le choix doit se faire en fonction de la distance et, encore plus, des disponibilités. Voici la liste : www.fondation-fondamental.org/les-soins-innovants/centres-experts-les-4-reseaux
Il y a parfois un intérêt démontré à avoir un régime alimentaire "ultra-carniste", le régime cétogène, pour la maladie bipolaire. Un psychiatre courageux de Toulouse, le Dr Albert Danan a eu l'idée d'accueillir quelques-uns de ses malades, réfractaires aux traitements psychiatriques communément employés. Dans un centre de soins spécialisé qui leur a servi des menus dédiés. La médication de départ a toujours été poursuivie, durant l'expérience. En leur proposant un régime cétogène, avec moins de 20 grammes de glucides par jour; en donnant exclusivement des menus très gras, bourrés de viandes riches, poissons gras (thons, saumons, truites, sardines) fromages, huile d'olive, légumes et fruits très pauvres en sucres, Il a vu une très nette amélioration des pathologies psychiatriques. Une amélioration notable de l'état général. Parfois en 3 semaines de temps, les symptômes sont résolus, un maintien de ce régime alimentaire donne de la rémission et une réduction des comorbidités. Plus l'état du patient est sévère plus les résultats apparaissent dans le temps. La maladie bipolaire touche 2% de la population mondiale. Ces malades ont le plus fort taux de suicide constaté et visiblement la plupart des maladies psychiatriques graves (boulimie, anorexie, schizophrénie, maladie bipolaire, paraphilies, manies, psychoses) seraient dues à des désordres métaboliques liés autour de la biochimie des sucres (rôle important du myo-inositol), mais aussi du diabète, du pré-diabète, de la résistance à l'insuline... Cette étude unique au monde a été relayée jusqu'aux États-Unis; et donne une nouvelle dimension dans une meilleure compréhension des mécanismes cérébraux et des maladies psychiatriques. On commence à voir depuis sa publication en 2022 des spécialistes américains reprendre à leur tour cette approche. Et c'est très encourageant. Le lien de l'étude est ici. Mes remerciements à ce psychiatre talentueux, courageux et méritant, ainsi qu'à ses patients qui ont accepté cette expérience, globalement bien toléré : www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpsyt.2022.951376/full
12:07 « C’est pas comme si on était dans une case et qu’on va y rester ad vitam eternam » N’est-ce pourtant pas précisément le cas, puisque vous vous définissez vous-même « bipolaire » ? 🤔 Je dis ça sans jugement aucun. 16:45 « (…) ça doit être assez génial (...) notamment au niveau médicament » Là par contre je suis totalement en désaccord. Soigner les troubles mentaux (hors psychoses) par des médicaments, je trouve ça d’une tristesse infinie. C’est reconnaître la défaite de la pensée, la capitulation des mots. C’est accepter que le bonheur ne soit ni réel, ni intérieur. Mais le résultat de la chimie. Je ne vois pas vraiment l’intérêt de vivre si l’on considère que le bonheur véritable est, par soi-même, hors d’atteinte.
On a fait une présentation complète sur les troubles bipolaires ici : docs.google.com/presentation/d/1tkxZFEIi6jqKCJd_Cb1ZQV0-isnCfVkVwqBOSTlIaxk/edit?usp=sharing
Bravo les gars, la fin, les 5 dernières minutes , excellentes.
Ça manque encore de savoir faire, mais les propos et l’intention sont justes. Comprendre les troubles , ce que nous sommes et vivre avec, tout ça est essentiel. Il faut communiquer, échanger. Cela fait 26 ans que je suis diagnostiqué , mais je souffrais déjà depuis longtemps, probablement depuis une quinzaine d’années. Dès que j’ai su, j’ai cherché à connaître et à comprendre, dans les livres, sur le net, je fameux forum des bipolaires de l’époque etc .
Salut, et merci pour cette vidéo qui apporte plus de nuances que la plupart des présentations des troubles bipolaires qu'on trouve sur le net, qui rassemblent souvent les exemples les plus forts, visibles.
Je suis en cours de diagnostic après une 15-20aine d'années de souffrances trop légères pour être prise au sérieux mais trop fortes pour vivre agréablement. Et tout ce temps sans prise en charge parce que je me reconnaissais difficilement (ainsi que les psys) dans les tests qui sont je trouve peu nuancés, par exemple donnent un nombre de jour minimum à vivre ceci ou cela pour correspondre à une catégorie.
Le plus probable serait le type 2, dystymie ou cyclothymie.
Quand on a dû mettre en place des stratégies pour cacher ou atténuer les différentes phases (famille qui nie vos émotions, amis qui vous rejettent, médecins qui vous disent qu'il suffit de se mettre un coup de pied aux fesses ou de boire un coup, etc...), pas facile de poser un diagnostic clair et rapide!
Si je finis par avoir un diagnostic posé, même s'il est amené à changer, et que je trouve un traitement ou des stratégies fonctionnelles pour adoucir ce que je vis comme un handicap, ce sera une libération. Etre reconnu pour avoir un trouble neurologique plutôt que comme quelqu'un qui ne fait pas d'effort pour se conformer, ouf, quel soulagement ce serait!
Ne lâchons pas l'affaire même si le parcours de compréhension de ce qui se passe en nous est parsemé d'embûches, une petite dose d'espoir fait souvent du bien (pas toujours! parfois il faut être réaliste, mais temps qu'on ne sait pas, gardons la curiosité ouverte).
Par contre le lien pour le test renvoi à une page en anglais qui n'a pas l'air de correspondre à ce que vous vouliez nous partager. Et la présentation en diapo est peu aisée à lire, zoom pas facile à manier, écriture grise sur fond gris... J'ai lâché l'affaire, désolé! 😅
On a fait un nouvel article qui je l'espère te permettra d'y voir plus claire : www.hopestage.com/blog/les-differents-types-de-bipolarite
On comprend la difficulté à diagnostic ce trouble.
Hello! Il existe peu d'informations, voire aucune, sur le type 3, pourriez-vous en faire une vidéo svp ?
Il y a des changements sur le sujet dans la communauté scientifique. Nous ne sommes donc pas en mesure de créer une vidéo sur le sujet pour le moment. En espérant que cet article puisse vous aider : www.hopestage.com/blog/les-differents-types-de-bipolarite
Merci beaucoup pour vos vidéos 😉. Je suis moi même diagnostiquée bipolaire de type 1. Suite à mon premier épisode maniaque très fort. Rempli de délires et m'ayant valu un petit séjour en hôpital psychiatrique. Je n'ai rien compris à ce qu'il m'arrivait....😱
1/ Au final comment différencier la bipolarité de type II de la dépression unipolaire? C'est pas évident. Même un patient atteint de dépression unipolaire peut avoir des légères variations de l'humeur, des moments un peu plus joyeux que d'autres...
2/ Est-ce que le type II est moins grave que le type I?
3/ Est-ce qu'un bipolaire de type I peut devenir bipolaire de type II ou inversement, ou bien c'est fixé à la naissance?
Très bonne question. On a mis en ligne des tests pour en savoir plus c'est ici : swiy.co/ressources
Ensuite c'est toujours bien de demander l'avis d'un psychiatre hopestage.formaloo.net/psy
Mais c’est n’importe quoi réveillez vous les bipolaires, arrêtez d’avaler leur cachet vous êtes normal comme tout le monde tout le monde a des troubles de l’humeur même ceux qui vous les diagnostiquent. Vous vous collez une étiquette de fou tout seul parce qu un mec à blouse blanche vous l’a dis.
4:35 gros flashback des conneries que j'ai pu faire
📌Je suis en processus présentement!
J’ai peur mais je vais foncé pour me guérir ❤️🩹
Merci pour la vidéo ❤
Je suis type 1 mais je suis stabilisée pour le moment
Bravo 😊
@@ClémentBaissat le combat n'est pas fini mais je m'accroche
Je pense être de type 2.
Je viens d'avoir une romance extraordinaire puis de m'être fait largué comme une grosse merde pour un soit disant copain qui la courtisait dans mon dos (le danger avec les belles femmes ça attire la convoitise)... Mes recherches en ont conclu que je suis tombé sur une type 1 en plein épisode maniac... Elles m'ont également menées à découvrir que je suis type 2 en phase dépressive avec fatigue chronique & TDAH.
Je vous laisse imaginer le feu d'artifices quand nos symptômes ont fini par se rencontrer.
Je suis vraiment désolé de ce que tu traverses. Les relations peuvent être incroyablement compliquées, surtout quand des troubles de l'humeur s'en mêlent. Il est important de rappeler que ces diagnostics, même s'ils peuvent expliquer certains comportements, ne définissent pas entièrement qui nous sommes.
Prends soin de toi et essaie de trouver des moyens de gérer ta fatigue chronique et ton TDAH. Parler à un professionnel de santé pourrait t'aider à naviguer dans cette période difficile. Courage à toi.
Bon jour j’ai une question que je ne peux pas poser à mon psy qui n’exercent plus, j’ai récupérer un dossier médical et il est mentionné pas d’épisode maniaque et cyclothimie n’a pas été atteint dans sa totalité, est ce que tout ça englobe que lhypomanie est exclue aussi ? Selon vous ? Merci
bonjour difficile de répondre à votre question, il vaudrait mieux se tourner vers ceux qui ont constitué le dossier !
Il y a les phases mixtes aussi peu connues
Oui tout à fait
Bonjour, j’ai une question, j’ai fais une dépression y’a 14 ans, après avoir repensé à ce passé un peu trop fort j’ai replongé dans une dépression, retour chez le psy qui me dis vous avez un trouble de l’humeur. Ah bon lequel? Vous me dites que je suis bipolaire c ça ? Il me répond oui, mais s’est à prendre ou à laisser je cherche pas à vous convaincre que vous l’êtes. Suite à ça je récupère mon dossier médicale, mentionnant trouble dysthimique et n’a jamais développé d’épisode maniaque, ni psychose. De ce fait Ques que je dois penser moi ? Je suis littéralement perdu et effondré a force de me poser des questions, pourquoi m’a til parler de bipolaire, et peut on savoir mieux que quiconque et comment si cela est vrai ou faux. J’aimerais avoir l’avis de personne qui pourront comprendre ce que je vis. Je précise que je lui ai demander mais alors si j’ai pas fais de phase maniaque j’ai fais quoi? Il me dis je vous ai vu un peu trop bien sans raison environnementale expliquant cela, un peu exalté mais ça n’a jamais dépassé le stade pathologique. Lui étant maintenant à la retraite je ne peux plus rentrer en contact avec lui, quelqu un peut il m’aider à déchiffrer tout cela, et donc est ce que je peux savoir mieux que lui qui je suis car il m’a fais douter de moi même
Pas de réponse mince
Hello, je vous conseille de prendre un deuxième avis psychiatre qui pourra faire un diagnostique. Courage !
@@ClémentBaissat j’ai pris un deuxième avis, qui me dis que non, je pense à faire la prise de sang qui viens de sortir, car mon problème est que ce doute me rend malade
Bonsoir,
J’apprécie beaucoup vos efforts de vulgarisation, mais pardon quel blabla, quel présentation embrouillée du sujet. Plus je regarde cette vidéo, plus je m’y perds.
Perso, cela fait 26 ans que je suis diagnostiqué Bipolaire et dans la mesure où je n’ai plus de phases maniaques depuis 15/20 ans. Par contre, hypomanies et dépressions sévères je connais et ce n’est jamais très lion. Les dernières minutes de votre vidéo sont les meilleures. Sans intention de faire de la pub commerciale, je ne peux que conseiller l’excellent bouquin
“Le manuel du bipolaire” Patmos d’autres bien.
L’important est de savoir que l’les TB
Bonsoir, quel centre expert en bipolarité conseilleriez vous svp ?
Ils sont tous bien. Le choix doit se faire en fonction de la distance et, encore plus, des disponibilités. Voici la liste : www.fondation-fondamental.org/les-soins-innovants/centres-experts-les-4-reseaux
@@ClémentBaissat merci beaucoup !
Il y a parfois un intérêt démontré à avoir un régime alimentaire "ultra-carniste", le régime cétogène, pour la maladie bipolaire.
Un psychiatre courageux de Toulouse, le Dr Albert Danan a eu l'idée d'accueillir quelques-uns de ses malades, réfractaires aux traitements psychiatriques communément employés.
Dans un centre de soins spécialisé qui leur a servi des menus dédiés. La médication de départ a toujours été poursuivie, durant l'expérience.
En leur proposant un régime cétogène, avec moins de 20 grammes de glucides par jour; en donnant exclusivement des menus très gras, bourrés de viandes riches, poissons gras (thons, saumons, truites, sardines) fromages, huile d'olive, légumes et fruits très pauvres en sucres,
Il a vu une très nette amélioration des pathologies psychiatriques. Une amélioration notable de l'état général.
Parfois en 3 semaines de temps, les symptômes sont résolus, un maintien de ce régime alimentaire donne de la rémission et une réduction des comorbidités. Plus l'état du patient est sévère plus les résultats apparaissent dans le temps.
La maladie bipolaire touche 2% de la population mondiale. Ces malades ont le plus fort taux de suicide constaté et visiblement la plupart des maladies psychiatriques graves (boulimie, anorexie, schizophrénie, maladie bipolaire, paraphilies, manies, psychoses) seraient dues à des désordres métaboliques liés autour de la biochimie des sucres (rôle important du myo-inositol), mais aussi du diabète, du pré-diabète, de la résistance à l'insuline...
Cette étude unique au monde a été relayée jusqu'aux États-Unis; et donne une nouvelle dimension dans une meilleure compréhension des mécanismes cérébraux et des maladies psychiatriques. On commence à voir depuis sa publication en 2022 des spécialistes américains reprendre à leur tour cette approche. Et c'est très encourageant.
Le lien de l'étude est ici. Mes remerciements à ce psychiatre talentueux, courageux et méritant, ainsi qu'à ses patients qui ont accepté cette expérience, globalement bien toléré : www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpsyt.2022.951376/full
12:07 « C’est pas comme si on était dans une case et qu’on va y rester ad vitam eternam »
N’est-ce pourtant pas précisément le cas, puisque vous vous définissez vous-même « bipolaire » ? 🤔
Je dis ça sans jugement aucun.
16:45 « (…) ça doit être assez génial (...) notamment au niveau médicament »
Là par contre je suis totalement en désaccord.
Soigner les troubles mentaux (hors psychoses) par des médicaments, je trouve ça d’une tristesse infinie.
C’est reconnaître la défaite de la pensée, la capitulation des mots.
C’est accepter que le bonheur ne soit ni réel, ni intérieur.
Mais le résultat de la chimie.
Je ne vois pas vraiment l’intérêt de vivre si l’on considère que le bonheur véritable est, par soi-même, hors d’atteinte.
Chacun ces choix, personnellement prendre des médicaments m'aide beaucoup.
Quoi qu'il arrive direction l'hôpital ils sont raison .
On a fait une présentation complète sur les troubles bipolaires ici : docs.google.com/presentation/d/1tkxZFEIi6jqKCJd_Cb1ZQV0-isnCfVkVwqBOSTlIaxk/edit?usp=sharing