Maintenant que l'on sait cela, étrange que la ville ait repris le nom des Chiroux pour sa bibliothèque... mais bien vu pour les cinémas Les Grignoux! Sinon oui, rien n'a changé au niveau de la consommation d'alcool abusive, de la gouaille et des bagarres (et ça n'est prêt de changer, hélas!)
C'est pas comme si les Chiroux avaient été destitués de leur pouvoir. Le plus proche que les Grignoux sont arrivés du pouvoir c'est probablement la commune de Liège en 1886, donc c'est plutôt étonnant de voir ce nom préservé plutôt que le contraire.
Chiroux contre Grignoux, reportage historique engagé qui tout à la fois bétonne une passerelle avec la mauvaise humeur du temps présent tout en évitant un dénouement escompté ficelé dans un emballage de conclusion hâtive. A revisionner sans modération ! Il est utile de mettre en lumière cette permanence dans le comportement des hommes qui, une fois parvenu à un état de confort financier relatif, s'empressent d'abandonner toute empathie pour les moins favorisés. (Le moyen-âge avait ces bons côtés car l'acte de charité était la clé du paradis.) Hier comme aujourd'hui toute un tranche de la population doit se serrer la ceinture et peine à se loger, se chauffer et se nourrir. La grogne grandi car l'espoir d'une vie meilleure basée sur le travail et le mérite s'est définitivement estompé. La machine à rêve est brisée, et l'espoir à présent hors d'atteinte. Le moteur de cette grogne c'est la perte de notre identité de consommateur de tous produits et gadgets, Cette époque est révolue au profit de la spéculation effrénée et de la recherche frénétique de rapides prises de bénéfices de la part de grands groupes multinationaux, profitant d'une situation tendue. On cherche des responsables boucs émissaires: l'immigration fut de tout temps fustigée alors que l'on sait de nos jours qu'elle est source de richesses tant matérielles que culturelles. Une conclusion en demi-teinte: Nos revendications s'expriment dans un cadre plus paisible car plus respectueux au sein d'une société où chacun a le droit et le devoir de s'exprimer. Une chose est sûre: Les grincheux n'ont pas fini de geindre et les hirondelles de s'assembler en migration au fil des saisons.
A l'écoute de cette période de notre cité on se pense en 2023
Maintenant que l'on sait cela, étrange que la ville ait repris le nom des Chiroux pour sa bibliothèque...
mais bien vu pour les cinémas Les Grignoux!
Sinon oui, rien n'a changé au niveau de la consommation d'alcool abusive, de la gouaille et des bagarres (et ça n'est prêt de changer, hélas!)
Non c'est logique : Les chiroux étaient les gens qui savaient lire et écrire.
C'est pas comme si les Chiroux avaient été destitués de leur pouvoir. Le plus proche que les Grignoux sont arrivés du pouvoir c'est probablement la commune de Liège en 1886, donc c'est plutôt étonnant de voir ce nom préservé plutôt que le contraire.
L'histoire se répète, où rien de nouveau en somme.
Ce n'est qu'une apparence, car il existe des différences notables comme l'irruption quotidienne de l'ultraviolence au XVIIe siècle.
Chiroux contre Grignoux, reportage historique engagé qui tout à la fois bétonne une passerelle avec la mauvaise humeur du temps présent tout en évitant un dénouement escompté ficelé dans un emballage de conclusion hâtive. A revisionner sans modération ! Il est utile de mettre en lumière cette permanence dans le comportement des hommes qui, une fois parvenu à un état de confort financier relatif, s'empressent d'abandonner toute empathie pour les moins favorisés. (Le moyen-âge avait ces bons côtés car l'acte de charité était la clé du paradis.) Hier comme aujourd'hui toute un tranche de la population doit se serrer la ceinture et peine à se loger, se chauffer et se nourrir. La grogne grandi car l'espoir d'une vie meilleure basée sur le travail et le mérite s'est définitivement estompé. La machine à rêve est brisée, et l'espoir à présent hors d'atteinte. Le moteur de cette grogne c'est la perte de notre identité de consommateur de tous produits et gadgets, Cette époque est révolue au profit de la spéculation effrénée et de la recherche frénétique de rapides prises de bénéfices de la part de grands groupes multinationaux, profitant d'une situation tendue. On cherche des responsables boucs émissaires: l'immigration fut de tout temps fustigée alors que l'on sait de nos jours qu'elle est source de richesses tant matérielles que culturelles. Une conclusion en demi-teinte: Nos revendications s'expriment dans un cadre plus paisible car plus respectueux au sein d'une société où chacun a le droit et le devoir de s'exprimer. Une chose est sûre: Les grincheux n'ont pas fini de geindre et les hirondelles de s'assembler en migration au fil des saisons.