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Papa Manaco
เข้าร่วมเมื่อ 12 พ.ค. 2006
Jordi Évole Noche Sabinera
Jordi Évole cantando "Ganas de" con Pancho Varona y Antonio Gª de Diego en la Noche Sabinera de Luz de Gas (28/09/2013)
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วีดีโอ
Allen Ginsberg y Bob Dylan en la tumba de Kerouac Subtitulado
มุมมอง 56K13 ปีที่แล้ว
Allen Ginsberg and Bob Dylan in Kerouac's grave. Allen Ginsberg y Bob Dylan en la tumba de Kerouac Subtitulado en Español
Woody Guthrie -This Land is Your Land
มุมมอง 12K14 ปีที่แล้ว
Woody Guthrie -This Land is Your Land Subtitulado en Español
Arthur Rimbaud - Le Bateau Ivre
มุมมอง 19K14 ปีที่แล้ว
Arthur Rimbaud - Le Bateau Ivre Subtitulado En Español
Charles Bukowski - The Man with the Beautiful Eyes
มุมมอง 9K14 ปีที่แล้ว
Charles Bukowski - The Man with the Beautiful Eyes Subtitulos En Español
Jack Kerouac - Mexico City Blues Ch 113
มุมมอง 15K14 ปีที่แล้ว
Jack Kerouac - Mexico City Blues Ch 113 Subitulado En Español
Anuncio Nike Infierno
มุมมอง 148K18 ปีที่แล้ว
El ya mítico anuncio de Nike en el que un equipo de jugadores se enfrentan a uno de demonios.
La Batalla Final
มุมมอง 1.3K18 ปีที่แล้ว
La Batalla Final- El esperado film de OS FRIKIS. Pero que peliculón!!
Irwin Allen Ginsberg fue un poeta y una de las figuras más destacadas de la generación Beat en la década de 1950. Se opuso enérgicamente al militarismo, materialismo económico y la represión sexual.
Os recomiendo el poema sin más 🤪
Elegancia la de Francia
Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. J’étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m’ont laissé descendre où je voulais. Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants. La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots ! Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sûres, L’eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d’astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l’amour ! Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes, Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir ! J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l’assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs ! J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D’hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux ! J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d’ineffables vents m’ont ailé par instants. Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux… Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons ! Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ; Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d’azur ; Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ; Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l’Europe aux anciens parapets ! J’ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : - Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t’exiles, Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ? Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer ! Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai. Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons. Arthur Rimbaud
Much better quality version here: @t
hoy
Esto pertenece a algún documental? Me gustaría saber la fuente, por favor.
épale !
Grave head Virtues of twilight Reeling mind (Jamin Jonathan Jones )
Bob Dylan and Allen Ginsberg talking about what graves they've visited. Awesome.
Bravo!!! 😍Mercurio beucoup.
Amo esta cancion mas que ninguna otra! ❤
Hay más poesía en lo que pregunta Ginsberg y todos se quedan con la pretenciosa respuesta de Dylan. Cierto que en TH-cam son todos chicos rudos... Snobs
Bob dylan lo mas
Su puta madre , está chingoneria :O !!!
horrible voz
Hater
Jjajaja
Qué te pasa? Si está contrasta perfectamente
i have seen this ten times;
Esta tierra es tu tierra Letra y música de Woody Guthrie Esta tierra es tu tierra, esta tierra es mi tierra Desde California hasta la isla de Nueva York; Desde el bosque de madera roja hasta las aguas de la Corriente del Golfo. Esta tierra fue hecha para ti y para mí. Mientras caminaba por la cinta de la carretera, vi sobre mí ese interminable cielo: vi debajo de mí ese valle dorado: esta tierra fue hecha para ti y para mí. He vagado y divagado y seguí mis pasos hasta las brillantes arenas de sus desiertos de diamantes; Y a mi alrededor una voz sonaba: Esta tierra fue hecha para ti y para mí. Cuando salió el sol y yo estaba paseando, y los campos de trigo ondeando y las nubes de polvo rodando, mientras la niebla se levantaba, una voz cantaba: Esta tierra fue hecha para ti y para mí. Mientras caminaba, vi un letrero allí y en el letrero decía "No traspasar". Pero en el otro lado no decía nada, ese lado estaba hecho para ti y para mí. A la sombra del campanario vi a mi gente, en la oficina de socorro vi a mi gente; Mientras estaban allí con hambre, me quedé allí preguntándome: ¿esta tierra está hecha para ti y para mí? Nadie viviente puede detenerme, mientras camino por la autopista de la libertad; Nadie viviente puede hacerme retroceder. Esta tierra fue hecha para ti y para mí.
IM GONNA BE IN AN UNMARAKED GRAVE dylanesque
es para todos los hispanos porfavor señor que alludes a donl'd trump para que no los deporten cambiale esa mente a donld trump
Es lento en la rspuesta de Dylan, lo creia más vivo.
"no , quiero estar en una tumba sin nombre" .
O.O
El primer amor y quien inspiró a Allen a ser poeta. Los tres grandes!
¿Qué pasó con la parte sustanciosa de la canción? woodyguthrie.org/Lyrics/This_Land.htm
Nooo...Quiero estar en una tumba sin nombre! Fantástico hombre que se fusiona en el todo y en la nada.
thats my hometown ....LOWELL MA .... R.I.P JACK ......
Demasiado genial.
Épico !
Cuanta belleza, gracias por la traducción.
cuál traducción se te hace más chida
¿De que documental es esto?
gracias por subirlo excelente video
:c faltan los ultimos versos u.u
Una de las mejores letras que escuché en mi vida.
@EliCosper85 What do you mean?
DAMNIT...wheres Neal Cassidy when u need him.
TRUE!
Meravellosa cançó!! Gran Leonard Cohen
POESY...
@monarcaflow traducir a Kerouac debe ser una de las cosas mas dificiles de esta vida.
Histórico!!, reunidos 3 grandes del sXX, 1 en huesos!!!.
Muy bueno
Maravilloso. Es bueno ver este video y releer a Jack cada tanto!
Une Exquisité!
guapísimo el video, me encanta el sonido de la calle y la voz de la locución. Fijate que está mal escrito bukowski en el titulo, cambialo que sino no aparecerá en las búsquedas.
gracias por hacer cosas como estas
no coño demasiado es lo que escribio Kerouac, demasiado bueno, demasiado verdadero, pero traducir es facil.
eso es demasiado trabajo jeje
por favor, lo suplico, traduce las entrevistas de kerouac a castellano que no encuentro ninguna.
Buah, que buena la idea de usar esa peli...alguien que hace algo original, por dios...y que buena la peli...
I'm Not There