วีดีโอ

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on ne pourra pas sauver les campagnes sans mettre les villes aux normes !!! en France les recyclages de l'eau et de la matière organique sont inexistants !! La France ne manque pas d'eau, la consommation (potable, industrie et agricole) ne représente que 2.5% des précipitations annuelles, mais juste de réserve. Actuellement les rivières françaises rejettent entre 50 et 70% des précipitations (alors qu'il ne faudrait jamais dépasser les 30% ...) ce qui provoque des inondations, un assèchement mathématique des bassins hydrologiques. Tous les ans les indemnités sécheresses et inondations coutent des milliards aux contribuables (sans parler des vies humaines ... ) alors qu'avec quelques millions on résoudrait en même temps les deux problèmes. Sans oublier l'énergie propre que peut fournir une turbine associée à une retenue, en France nous avons largement de quoi doubler notre production hydroélectrique !

Marc andré, rectifiez svp

Grand merci pour vous

Cette vidéo contient de nombreuses affirmations étranges par comparaison à la bibliographie historique. Voici quelques exemples plus ou moins particuliers ou généraux par rapport à l'intitulé de la vidéo. 1) à 1:27:50 "sous nos climats, les semences sont souvent dormantes à l'automne" avec l'exemple de Arabidopsis thaliana si j'ai bien compris. Pourtant, cette espèce est connue pour fleurir surtout au début du printemps depuis par ex. pour la France, dans Flora Gallica (Loiseleur Deslongchamps 1806 : 416) qui précise des mois : "aprili, maio". Chancellor (1964 parmi ses publications) pour les Iles Britanniques trouve la grande majorité des levées en septembre-octobre dans ses comptages mensuels en 1962 et 1963. Montégut (1975 in Chaussat et LeDeunff ed. "La germination des semences" : 206) place cette espèce dans la catégorie "germination automnale assez stricte". C'est également ce que j'ai l'habitude d'observer, avec les rosettes qui grandissent pendant l'hiver, c'est-à-dire avec une comportement d'annuelle d'hiver. De même, pour reprendre un courrier des lecteurs à la revue "la Recherche" (1998 n°311 : 6) : en climat tempéré la majorité des plantes annuelles fleurissent au printemps, et passent l'été (et non l'hiver) sous la forme de graines, elles font partie des annuelles hivernantes de Raunkiaer (1904). 2)à 1:42:25 "tournesol... semer des fruits" mais dans cette famille on est dans la catégorie "fruits de calice" de Pitton de Tournefort (1694 - Elemens de botanique), autrement dit la fleur est à ovaire infère au sens de Lamarck et De Candolle (1805) soudé au réceptacle : pour le tournesol, on sème un fruit enfermé dans un réceptacle au sens de l'embryologie végétale admise depuis quelques siècles. 3)Pour les concepts spatio-temporels concernant la physiologie et l'écologie des germinations, depuis les années 1960, sont distingués les inhibitions de germination dues aux enveloppes de la diapore (au sens de Sernander 1927), et les exigences de germination des embryons. Ces dernières sont connues pour être cycliques pour les plantes à levée saisonnière et leur germination se produit quand il y a coïncidence entre les exigences et les conditions extérieures, au moins pour une partie du lot de semences chaque année si les levées sont échelonnées sur plusieurs années. Ainsi Courtney (1968) a travaillé sur une annuelle de printemps (montrant que si ses Polygonum aviculare germent bien à 15° au début du printemps, ses graines ne lèvent pas ou peu à cette température à partir de la fin du printemps in situ parce qu'il est nécessaire alors d'avoir des températures plus basses (qu'on peut obtenir au labo) : ses températures pour lever changent selon les saisons), et d'autres auteurs sur des annuelles d'hiver. Dans cette vidéo, on entend souvent "dormance primaire" et "dormance secondaire" qui paraissent des notions archaïques et inadaptées aux connaissances. De même, la variabilité de la réaction à la lumière en fonction d'effets maternels fluctuant entre graines ou akènes d'un même pied mère est étudié depuis le début des années 1960 au moins (Williams, Henson) 4)Les graines nécessitant une post-maturation au froid humide après la dissémination ou la récolte est connue depuis de nombreuses décennies. D'autres nécessitent la présence de mycorhizes (Bernard, ex. 1899). Et les graines non tolérantes à la dessication peuvent englober des graines éphémères sans repos qui germent et lèvent dans les jours suivant la maturité et la dissémination sur un sol humide (Salicaceae en particulier, vaguement abordé dans la synthèse bibliographique de Ewart 1908). Bref, se situer par rapport aux connaissances de terrain semble une étape préliminaire logique ; on peut en chercher des explications par différents protocoles, mais mettre la charrue avant les boeufs aboutit à des modèles aberrants de la réalité.

De multiples affirmations me semblent bizarres dans cette vidéo, au niveau descriptif et interprétatif, sans aborder des notions de base avec les pieds sur terre ; en voici certaines listées ci après. Concernant la compaction des sols en Europe, il faudrait disposer des protocoles de mesure permanents et des échelles de temps et de compaction. Raisonner le labour s'envisage souvent en particulier par rapport à la lutte contre certaines formes biologiques de mauvaises herbes (parfois précieux pour gérer certaines résistances à des herbicides). Des méthodes de lutte mécanique répétées (étrilles, bineuses, ...) sont parfois réputées provoquer des semelles de surface, perturbant des levées de cultures, asphyxiantes pour les anéciques (par ailleurs privés d'une alimentation variée), provoquant des problèmes de portance en période de pluie, et d'érosion. La porosité artificielle (par les outils de travail du sol) est également connue pour les risques de prise du sol en masse après des pluies conséquentes. Le delta pH entre pH eau et pH KCl serait une évaluation de la saturation. Quant aux effets du chaulage, un vieil adage (qui chaule sans fumer se ruine sans y penser) suppose les risques sur l'augmentation de la minéralisation des matières humiques = disponibilité brutale d'azote nitrique pour les plantes, parfois alors que le sol est nu (risque de pollution des eaux), et conséquences sur la baisse de la teneur en MO du sol. Il y a également l'effet du pH sur certains fixateurs d'azote. En sol très acide, il est connu depuis longtemps que le stock de phosphore éventuel (analyse nécessaire) est bloqué ; et une élévation au dessus du seuil de blocage provoque alors une disponibilité du P pour de nombreuses plantes. En sol très acide, il peut également exister une sous structure microgrumeleuse réputée très stable et cette stabilité serait mise à mal si on fait le pH augmente.

Kkkn

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Votre objectif c'est la pénurie alimentaire mondiale

Conférence absolument inaudible. 😕 C'est dommage, le sujet était intéressant.

Magnifique Marc -Andre Selosse.Belle démonstration pour une agriculture évolutive.

Marc-André, merci pour lui...

avec ma classe on a gagner le clap d'or cette année la

Un grand merci à tous les intervenants pour vos explications complètes sur ce sujet ! J'ai grâce à vous pu avoir beaucoup d'informations sur la robotique agricole ce qui m'a permis de construire mon savoir

th-cam.com/video/nyKXcMKadEI/w-d-xo.html

vog.fyi delicious

Merci beaucoup pour partager cette conférence.