วีดีโอ

Oui ça prend quand-même une tête moindrement réveiller

Merci pour votre commentaire. Je vous invite à revoir la vidéo, si nécessaire. Car il y est montré qu'un des principes fondamentaux qui est mis en oeuvre au sein de l'État d'Israël l'est aussi dans tous les États de la planète. Si on continue d'appliquer un tel principe, même dans le cas (non seulement hypothétique mais aussi irréaliste et problématique) qui consisterait à "sortir les envahisseurs", de nouveaux malheurs surviendront forcément à nouveau. Pour comprendre de quoi il s'agit, voir la tentative d'explication qui est mentionnée dans cette vidéo. Comprendre cette cause profonde, peut ensuite aussi mener à comprendre quelle orientation se donner pour ne pas reproduire à nouveau ce type de conflit à l'avenir.

Je ne comprends pas le sens de cette phrase : "Le conflit israélo-palestinien est révélateur d'une guerre de possession d'un territoire motivé par une histoire fondée archéologiquement face à un récit haineux contre une ethnie de l'autre côté qui prend sa source dans un livre dit "saint" !" Plus précisément : Lorsque vous écrivez «récit haineux contre une ethnie de l'autre côté qui prend sa source dans un livre dit "saint"», de quel récit haineux s'agit-il, de quelle ethnie et de quel livre "saint" ? Je crois deviner de qui et de quoi vous parlez, mais je n'en suis pas totalement certain. Pourriez-vous dès lors reformuler votre idée ? Cette phrase me semble aussi particulièrement difficile à comprendre: "Que les religieux essaient de créer un troisième Temple au nom d'une prophétie tronquée par le pharisianisme n'exclut pas la liberté de croyance du reste du peuple juif contrairement où l'Islam s'impose." En quoi le fait que des religieux veulent créer un troisième Temple, pourrait-il exclure la liberté de croyance du reste du peuple juif ? D'où vient cette idée ? (Pas de la vidéo en tous les cas). Si j'ai bien compris le dernier paragraphe, vous semblez (peut-être !) penser, a priori, que je ne tiendrais pas compte de ce facteur (en effet très important), à savoir qu'il s'agit que l'être humain travaille sur son ego, sur soi, sur sa moralité, sur son hybris. J'en tiens compte et je suis aussi un témoin, tout comme vous, de très nombreuses situations où se manifestent des comportements particulièrement peu recommandables des êtres humains. Mais cela ne m'empêche quand même pas de tenter de faire connaître les concepts et idées de la triarticulation sociale, et ce, pour toutes sortes de raisons que je ne développerai pas ici. Je demeure patient et persévérant :-)

« Comment est-il possible de corriger ses erreurs si à chaque nouvelle incarnation, nous ne conservons nulle mémoire de ces vies antérieures ? » Bonne question ! Il faut beaucoup de temps et d’étude pour se familiariser avec la notion de karma telle que la conçoit Rudolf Steiner (et ce, de manière très différente encore de courants orientaux, par exemple). En effet dans l’écrasante majorité des cas nous ne conservons aucune mémoire consciente de vies antérieures (ce qui ne sera plus le cas à l’avenir), et cela s’avère même très précieux, car sinon nous serions continuellement «encombrés» au cours de notre existence actuelle par la mémoire de vies antérieures ce qui nous détournerait bien souvent de ce que nous avons à faire au cours de notre existence actuelle. La « correction des erreurs passées » s’effectue pour l’essentiel de manière inconsciente, par exemple, dans le fait de rencontrer telle ou telle personne ou situation, au cours de laquelle nous nous efforçons de développer telle ou telle faculté ou force (et ce, de manière tout à fait inconsciente par rapport à ce qui, dans une ou plusieurs vies antérieures, à conduit à cette situation). Il peut aussi s’agir de la confrontation à une maladie qui nous mène à lutter contre elle (ceci ne signifie nullement qu’il ne faille pas aussi prendre toutes les dispositions pour soigner la personne malade jusqu’à la guérison). Avez-vous pris connaissance de quelques notions de base, par exemple par podcast ici www.soi-esprit.info/podcast-intro/tous-les-podcasts-sur-soi-esprit/sermon/87-podcast-ga120-conference-01-manifestations-du-karma ? Quant au rapport entre karma et liberté de l’être humain, voir par exemple ici : www.soi-esprit.info/articles/pensees-anthroposophiques/512-la-technique-du-karma « Comment peut-on être tenu responsable de nos actes passées lorsque l'on sait l'influence de bon nombre d'entités sur l'humain et que, ce dernier en a aucune conscience ? » Autre très bonne question ! Le karma n’est pas à voir nécessairement comme une question de responsabilité (consciente) de l’être humain quant à ses actes. Sous certaines influences souvent inconscientes (d’autant plus inconscientes au début de l’évolution de l’humanité), l’être humain est poussé à agir dans certaines directions plus ou moins unilatérales, qui l’amènent à échoir dans un état d’évolution plus « bas » que s’il n’avait pas succombé (même inconsciemment) à ces influences. Le karma, loi universelle qui ne s’applique pas seulement aux êtres humains, permet de rétablir l’équilibre face aux orientations par trop unilatérales ; par exemple une tendance unilatérale à s’enfermer et s’endurcir dans son égoïté, ou au contraire une tendance à se perdre dans le monde, à perdre son ego dans le monde. Ceci étant exprimé, il existe aussi toutes sortes de situation où nous n'avons certes pas conscience de l’influence de toutes sortes d’entités, mais où nous sommes tout de même conscients de poser des actes problématiques ; par exemple lorsque nous mentons consciemment ! Peu importe dès lors le fait d’avoir ou non conscience de ces entités. Dans de tels situations, nous portons tout de même une responsabilité qui trouve sa source dans notre être conscient. « Ma Seule Certitude Est Que Tout Est Incertain. » Tout serait donc incertain, excepté cette seule certitude. Il serait dès lors intéressant de creuser cette question : d’où provient cette absolue certitude que tout est incertain ? Sur quoi se fonde-t-elle, puisque toute autre conception qu’elle, est incertaine ? Serait-elle alors posée là comme une conception absolue à laquelle il faut nécessairement croire ? Ne serait-ce pas alors un dogme (qui ferait barrage à toute investigation connaissante du monde, de l’être humain, de l’univers) ?

@soi-esprit bonsoir, vos réponses émanent de votre mental et de vos croyances. Croire n'est pas savoir. Croire empèche de savoir. Savoir exclue toute croyance car parfaitement stérile et inutile. Seriner ne se fonde que sur les fruits de ses canalisations Toute canalisation vient de l'Astral. Or, l'Astral ne guide en rien l'Humain. Il le leurre afin de m'égarer, d'éloigner de lui-même. En bref, à excentrér l'Humeur. Bien à vous. Merci pour réponses même si celles-ci ne sont que récitation. Prenez soin de vous. Tu Sens donc...Tu Sais. Nul besoin du Mental. Nul besoin de croire.

Grand MERCI pour votre commentaire si encourageant. Les premiers enregistrements étaient de qualité insatisfaisante à mon avis (les réglages de microphone ainsi que la façon de lire n'étaient pas déjà au point). Ils se sont améliorés depuis... il est toutefois possible de faire un peu mieux encore et vos encouragements vont y contribuer (c'est en forgeant que l'on devient forgeron).

Merci cher Monsieur pour vos remerciements ! Chaque merci est un encouragement !