วีดีโอ

ON EST DANS UN ÉTAT ET DES POLITICIENS MENTEURS TRICHEURS ET MÊME VOLEUR SI DEPUIS 40 ANS TOUS LES NOUVEAUX BÂTIMENTS TOUTE NOUVELLE MAISON TOUTE NOUVELLE CONSTRUCTION À VOTER CONSTRUITE EN MAISON PASSIVE ON N'EN SERAIT PAS LÀ AUJOURD'HUI MAIS CE QUI COMPTE POUR L'ÉTAT C'EST LE BUSINESS LA MEILLEURE DES PREUVES ASSEZ POURRITURE DE POLITICIENS C'EST QU'IL S'OBSTINE À RACKETTER SUR LA ROUTE QUI REPRÉSENTE 3000 MORTS CONTRE 21000 MORTS EN ACCIDENT MÉNAGÉ MAIS LA RIEN N'EST FAIT ON PEUT PAS VOUS METTRE UN PV TOUT CONFONDU PAR AN 630000 MORTS OÙ EST L'ÉTAT OÙ EST CETTE P***** DE POURRITURE DE POLITICIEN QUI NE PENSE QU'À SON METTRE PLEIN LES FOUILLES ET PLEIN DANS LA CAISSE DE L'ÉTAT NOUS N'AVONS PAS BESOIN DE CARRIÉRISTE ET J'ESPÈRE QU'ILS N'ONT PAS D'ENFANT PARCE QUE CES GENS-LÀ IL FAUT PAS QU'ILS SE REPRODUISENT

Plus de décentralisation pour plus de corruption... Quelle arnaque ! Heureusement tout le monde s'en branle!

Et l huile de palme

suprématie de Besançon

Très bien cette vidéo ! je n'en avais pas connaissance ...

les écologistes doive etre dissous a jamais ils sons nul

Sauf pour certains....comme d'habitude

Depuis le temps, il est trop tard, inutile d'essayer de justifier.

Ils veulent " dialoguer " à condition que l'on accepte le dictat des destructeurs

Bonjour, je laisse ce commentaire pour témoigner d'une perplexité. Madame Lopez fait un travail d'historienne et de sociologue du temps présent. Elle oppose à juste titre des choix technologiques. Pour l'électrification du territoire, le choix d'un réseau national (avec des centrales hydroélectriques ou nucléaires inscrivant dans le paysage leur puissance) ou le choix du local. Privilégiant des nombreuses ressources alternatives, renouvelables, des micro-centrales, des micro-réseaux... Visiblement ce second choix a sa faveur. Même si ce n'est pas le choix des pouvoirs publics lors des décennies passées de forte croissance. A chacun ses goûts. Mais l'approche qui se veut scientifique doit au moins être justifiée par quelques arguments qui ne relèvent pas d'une sympathie pour telle ou telle technique. Moi j'ai un faible pour les micro-centrales nucléaires de 4e génération, mais je n'imposerais pas mon goût sans fournir d'arguments ! Quand il est affirmé que les projets valorisés dans ce discours permettent de "repenser" et "reconstruire du service public", je tique. En quoi acheter des panneaux solaires en Chine, acheter des éoliennes aux entreprises allemandes, créer des appels d'offre pour partager l'enveloppe des subventions entre acteurs privés, entretenir une fausse concurrence contre EDF, obligée de vendre sa production électrique à ses concurrents, simplifier les études d'impacts pour investir les territoires, c'est œuvrer pour la solidarité électrique et soutenir notre service public ? Je vois pas. Entretenir notre réseau centralisé (efficace et peu coûteux tant qu'on ne multiplie pas les micro voire ultra-mini centrales), entretenir nos centrales nucléaires en conservant une main d'oeuvre qualifiée et un réservoir d'ingénieurs, ne pas fermer Fessenheim pour faire plaisir à un lobby puissant qui agite à l'envi des peurs infantiles, cela aurait été défendre efficacement le service public en France qui existait. Y aurait-il de la part de Madame Lopez, par mépris des grands corps de l'Etat, par adhésion à une doctrine politique décentralisatrice, par oubli des acteurs privés (et parfois mafieux) de ce marché mondialisé de l'énergie verte (je ris jaune quand j'écris "énergie verte"), une sorte de confusion savamment entretenue ? Je livre cette interrogation, conscient que ce propos pourra être mal pris. Mais il ne s'agit dans mon esprit que de souligner qu'il n'y a pas de divorce a priori entre EDF, entreprise nationale, les centrales nucléaires ou hydrauliques fournissant une énergie décarbonée, un réseau de lignes à hautes tensions bien interconnecté et ce qu'on peut appeler la défense du service public de l'énergie. En revanche quand (par exemple) une multinationale ibérique d'éoliennes en mer pratiquant au Mexique pantouflage et corruption s'installe devant les côtes françaises, que le contribuable français subventionne les bidules, paie entièrement de sa poche le raccordement très coûteux au réseau de ces grands engins faits pour durer 15 à 20 ans au maximum, que le législateur oblige le concurrent national (EDF) à adapter sa production et RTE à accepter prioritairement sur son réseau l'énergie produite par intermittence, là je dis qu'il n'y a rien qui s'apparente de près ou de loin à une défense d'un service public de l'énergie. Stéphane G.

Bonjour, une question pour vous : L'axe de financement "études techniques" correspond à la réalisation d'audits énergétiques par exemple?

Génial, cette recherche semble passionnante et absolument alignée avec les enjeux les plus importants dans le domaine du bâtiment aujourd'hui. Je me réjouis de la lire !