วีดีโอ

La vérité est belle, mais trop souvent mal vécue

Respect from Poland 🙌

merci

je pourrais commenter à l'infini ses textes et ses sons...jusqu'à l'infini où il est parti.

dommage... un ange est mort.

Putain j’écoute ça qu’elle mélancolie..

On continuera d'écouter

2K23 🙏🏽

😢

❤️

Oui c'était bien réel ! Un excellent lyriciste comme il y en a peu. RIP

Salut ma belle, j'tiens à t'dire quelques mots Pour que tu saches ce que ta tristesse me cause Ouais, quelques mots qui effacent un doute Même si j'aurais jamais pensé que j'te dirais ça un jour Mais j'me souviens quand j't'ai rencontré Je n'étais qu'un élève, tu t'es posée sur mes lèvres Et fait voler dans l'ciel céleste Plus rien d'terrestre Loin dans mes rêves j'ai décidé qu'tu serais celle pour qui je paierai sans compter Quand j'me sentais seul, on voyageait dans les cieux Tu m'faisais d'l'effet, ça s'voyait dans mes yeux T'étais bien roulée, même trop bonne j'dois l'avouer Même si j't'ai fait quelques carottes et que j't'ai pas mal douillée J'comptais pas t'délaisser malgré mes absences Et le fait qu'mes parents ne t'ont jamais aimée Mais en même temps j'les comprends, j'passais ma vie avec toi Ton lavage de cerveau m'a rafraîchi la mémoire Mary Jane, j'voudrais être le mari qu't'aimes Car dans ton regard je ne vois plus mes défauts Je te charge quand je suis sur batterie faible Tu chasses le voile d'hier, le poids qui pèse sur mes épaules Mary Jane, j't'aimerai même dans la misère J'ai parfois du mal à assumer mes fautes Quand j'te vois je n'ressens plus ce froid d'hiver Ce froid qui m'gèle, ce froid qui règne sur les époques [Couplet 2] On a tissé des liens, pris dans ta toile au fil de l'âge Et plus tu m'étouffes, plus j'me sens serré dans mon cœur Quand on a tissé ces liens, j'me sentais comme Spiderman Vu que cet homme a régné dans ton cœur T'es plus qu'une amie d'enfance Ma douce, j'supporte pas d'voir notre rapport partir en cendres On a passé nos nuits à réfléchir, est-ce que ma vie va rétrécir ? Et surtout, est-ce qu'on avait un avenir ensemble ? Car sans ta présence chaque jour est obscène Y'a qu'avec toi qu'j'peux vivre d'amour et d'eau fraîche Donc j'compte pas laisser les miettes J'sais qu'tu resterais mienne Même quand j'te faisais tourner à tous mes autres frères Enfin tu l'vois pas trop mais tu m'as rendu grave accro Même parano quand tu parles à d'autres mais c'est pas ta faute Évitons la volaille qui m'a vite rendu violent Oui, pour toi j'ai volé car tu vaux l'or de 1000 violons Mary Jane, j'voudrais être le mari qu't'aimes Car dans ton regard je ne vois plus mes défauts Je te charge quand je suis sur batterie faible Tu chasses le voile d'hier, le poids qui pèse sur mes épaules Mary Jane, j't'aimerai même dans la misère J'ai parfois du mal à assumer mes fautes Quand j'te vois je n'ressens plus ce froid d'hiver Ce froid qui m'gèle, ce froid qui règne sur les époques [Couplet 3] Au fond t'étais qu'une pute qu'on paye pour passer du bon temps Et quand j'avais plus d'thune c'est vrai qu'j'me souciais du montant J'voulais qu'mes mains t'touchent J'te dis qu'j'tiendrai l'coup mais qu'j'deviendrai fou si tu pars plus longtemps J'essaye d'lutter quand ta voix me hante, sans cesse à tes pieds Tu séchais pour faire des UV dans l'appartement T'étais cultivée : quand tu t'plantais, t'étais verte Tu faisais la tête mais j'restais quand même à tes pieds J'veux qu'on fasse l'amour, cachés sous les toits J'veux qu'on aille partout, j'te ferai passer toutes les douanes Ouais, j'garde des sous, des mois, pour parler d'tous ces drames Et t'amener tous les soirs à passer sous mes draps Mais au fond je sais qu't'es qu'une pute sans pudeur Une pédophile qui accoste des gosses de plus en plus jeunes Tu nous fais rêver d'un bonheur et d'un monde irréels Pour s'libérer, il faudrait p't-être qu'on brise tes chaînes Mais malgré tout tu es comme ma psychologue J'ai besoin d'toi quand le réveil sonne à 6 o'clock Mais Mary Jane, j'serai pas le mari qu't'aimes Car dans ton regard je vois tous tes défauts Faut qu'j'te lâche, que je sois sur batterie pleine Tu pèses le poids d'l'ivresse, ce poids qui pèse sur tes épaules Mary Jane, je casserai ta bannière Même si pour cela j'dois assumer mes fautes Je vais p't-être pas y arriver mais je dois m'y faire Qu'je sois livré, p't-être même rassurer les autres.

On m'a dit : "Tu trouveras ta vérité tant qu't'as en tête l'essentiel Tant qu't'as un pied sur terre et l'autre sur celle de tes ancêtres" Donc peu à peu, pas à pas, je ferai danser ma plume Au bord du chemin, je gagnerai du terrain sur les sentiers battus Enfin tout n'est pas si clair, j'tourne en rond dans leur cycle J'brasse l'air et j'ai du mal à fermer l’œil du cyclone Si c'n'est qu'la corde est tendue près du viseur Mais ma flèche a du mal à fermer l’œil du cyclope La recherche de la vérité t'empare dans ses ristournes Car elle t'fait du tort dans chacun de ses discours Héritier du monde, on la cherche dans des rites Mais la vérité ne s'accorde qu'aux méritants C'est triste, nan ? Une existence à faire le mort Médisant, dès 10 ans, j'ai pris mes distances avec le monde Au fond, la vérité on a chacun la nôtre On construit nos idées en disant qu'ça tient la route Mais la roue tourne et la routine et la route t'éloignent de la terre Un bout d'terre dans l'artère et un tour de la boutique Pour un souvenir et un oubli, un sourire, un soupir Un jour ivre, un sous shit, un jour pris, un jour libre En vérité, aujourd'hui n'est qu'un autre jour gris Où nos soucis s'évaporent dans un gros bout d'shit Couplet 2] Au fond la vérité n'est que le reflet d'mes idées Tout c'que j'ai dit, tout c'que j'ai fui, tout c'que j'ai pu décider Toutes mes avances, tous mes aveux, tous mes avis, bref Toutes les pensées aveugles que j'ai dû dessiner On s'écarte, on s'égare quand les points d'vue s'éloignent du nôtre Merde, en vérité chaque vérité en cache une autre Dupé par la face du monde : on s'efface, on s'voit plus naître Une lumière en face d'une ombre, une bombe dans l'âme humaine Mais laisse-moi faire escale, que j'm'évade Que mes chaînes cassent, j'serai pas leur esclave Mais laisse-moi, j'ai besoin d'espace et croire En cette étoile qui fait croître mes espoirs En vérité j'suis qu'un jeune d'aujourd'hui qui n'sait que faire de sa vie Né au milieu des ruines, on s'contente juste de la vivre On s'dit qu'c'était mieux avant On traîne, on kill sur l'avenue Car comment connaître l'avenir sans même en connaître la venue ? Ouais moi j'rappe pour ceux-là qui savent qu'ici c'est la merde Ou quand tu t'barres autre part et qu'on t'dit qu'ici c'est la même Alors on s'enferme, on s'enfume avec du shit népalais Un dernier moment d'lucidité avant d'quitter cette planète Voilà, la mélancolie m'inspire Mon inspiration est une bouffée d'fumée dans l'mélange toxique d'un spliff Car Marianne s'amochit, avachie et amochée Chaque taffe, Marie-Jeanne m'aide à débrancher la machine Parce qu'on dit aussi qu'elle sort de la bouche des enfants Plutôt d'une consciente innocence qui ne sait pas c'qu'elle en pense Parce qu'on dit aussi qu'elles sont toutes bonnes à prendre Comme à l'époque où les gorges des hommes étaient toutes bonnes à pendre Dur de cerner le vrai du faux quand des gens s'manipulent Merde, la vérité est vrai mais trop souvent mal vécue, ouais [Couplet 3] Paraît qu'y'a un temps pour la vérité, un temps pour les erreurs Un temps pour les vérifier, un temps pour être meilleur Entre le vrai sens du pardon et l'revers du médaillon Dis-moi, comment agir si le remède est dans le poison ? Mais passons et partons vite parce qu'on vit Comme des poissons au bout de l'hameçon que le harpon vise En vérité on a p't-être une mission à accomplir Si c'est l'cas dis-le-nous parce que j'crois qu'on n'a pas compris Toute vérité peut s'nourrir, on la trouve même dans l'ignorance Dès qu'on s'content de vivre nos rêves quand l'envie nous ronge Mais ce ness-bi nous fait toucher l'fond Comme l'a dit Nessbeal : "C'est pas l'amour mais la mort qui fait tourner l'monde" Frère tu t'rends compte qu'y'a des gosses qu'ont pas d'quoi ger-man, hein ? Qu'on piétine des cadavres et qu'on les trouve même gênants Chacun dans sa p'tite vie est perché dans sa p'tite bulle Une solitude qui ronge à l'os comme les crocs d'un pitbull Entre disputes, biture, bitume on s'habitue Mais on file plus, on titube et au final on capitule En vérité on s'sent si nul et on enterre nos peines à la pelle Au creux d'un sourire qu'on tente de simuler J'vois la liberté mais les barreaux s'ferment devant Le soleil du Maroc détend cette atmosphère pesante Casablanca c'est là qu'j'vis, hélas oui C'est là qu'j'vois la famine et l'infamie des familles Tu es où tu vis, une vérité certaine Ici des gosses de 7 ans prêts à tuer pour survivre Des gosses qui pleurent des larmes de sang devant une arme serbe Sans âme sœur, l'âme seul quand il ira voir le ciel Merde, devant ça j'me sens si égoïste à m'plaindre Et j'le suis sûrement puisque j'voulais en venir à c'point Merde, dis-moi, comment j'transforme des plumes en ailes ? Car en vérité j'en n'ai pas et j'me sens perdu sans elle On veut laisser nos traces comme les os d'un dinosaure Mais le réveil fait mal quand il sonne à 6 O'Clock.

[Couplet 1] Avec ce monde j'ai pris mes distances J'vais dans l'mur en m'disant qu'ma véritable existence n'a pas encore commencé Que le véritable moi est encore endormi et que j'vis dans un rêve En attendant son réveil pour être vivant, mais J'finis par questionner c'savoir si c'était bien des rêves Et j'mourrai sûrement en m'demandant si c'était bien réel Faudrait qu'on m'réveille pour agir, que j'mène la marche Où l'habit ne fait pas l'moine, où l'arbitre ne fait pas l'match J'ai appris dans mon sommeil que la vie t'réveillera pas J'dois bâtir ce rêve à cheval, loin d'ce j'pourrais devenir Faut qu'je brise les chaînes de cette chienne de vie Qu'j'arrête les rêves de vie et que j'vive mes rêves Car la vie ne fait l'choix C'est c'que j'me dis chaque matin dans ce gros froid d'hiver Mais ma conscience est ensevelie par la crainte J'souris qu'à cette connasse d'ivresse, j'aurais dû prendre le train Pour oublier le cauchemar d'hier, rêve du lendemain Et tu sais frère, c'est toujours la même routine Les années passent, on souffle toujours la même bougie Réveillez-moi d'la mort que j'vous parle d'mes découvertes 18 balais et des poussières, faut qu'je balaye sur le pas d'ma porte Réveillez-moi car j'y arriverai pas tout seul Réveillez-moi que j'puisse crier ma douleur Réveillez-moi de ce rêve épuisant De toutes ces nuits blanches Dans l'noir, essayant d'griser la couleur [Couplet 2] Mais soss et t'es pris pour cible de la consommation C'est c'que deviennent les générations aux yeux des sociétés J'te parle d'ma génération et du quai au deal de rue Au films de cul, aux fils de pute et aux mensonges qu'la télé raconte Allez, tout est virtuel, frère on vit sur l'net Et devant nos écrans on n'distingue plus la vie du rêve Au lieu d'reformater l'système on s'y jette tous sans voir Que l'ironie du sort fait qu'le système nous formate T'façon, ça sert à quoi qu'j'te dis ça, hein ? Au fond tu t'en fous et j'en ai besoin pour qu'j'puisse t'atteindre Mais, sérieux, tu ressens cette merde qui t'manipule, nan ? T'y repenseras peut-être un temps mais tu reprendras tes p'tites habitudes Tous comme ça, sans l'vouloir, on projette rien d'superbe, merde Si j'te parle de tout ça c'est qu'je connais bien l'sujet Mais pour la chute, j'sais pas, on va p't-être tous finir par s'aimer Nan, au fond j'sais pas, on va p't-être tous finir par peiner Et tu sais frère, c'est toujours la même routine Les années passent, on souffle toujours la même bougie Réveillez-moi d'la mort que j'vous parle d'mes découvertes 18 balais et des poussières, faut qu'je balaye sur le pas d'ma porte Réveillez-moi car j'y arriverai pas tout seul Réveillez-moi que j'puisse crier ma douleur Réveillez-moi de ce rêve épuisant De toutes ces nuits blanches Dans l'noir, essayant d'griser la couleur [Couplet 3] On rêve d'un putain d'paradis sans même croire à l'enfer Sache que quand tu gagnes ta vie un autre est en train d'la perde Mais bon, au fond, on peut pas en vouloir à qui qu'ce soit La faucheuse prend nos âmes dans c'couloir quand la vie se lasse Plus rien pour nous égayer, peut-être qu'en fait c'est l'contraire Qu'la vie n'est qu'un long rêve dont seule la mort peut nous réveiller C'est sordide en fait, mais faut qu'l'insomnie parte en guerre Qu'le sommeil batte en retraite pour m'laisser dormir en paix Tu sais, un vieil homme m'a dit qu'on attend plus sa routine Qu'on croit apprendre à vivre mais qu'on apprend juste à mourir Et c'est vrai, j'ai d'abord pensé à la perdre Mais va dire aux ricains que la mort n'en vaut pas la peine J'ai déjà rêvé d'être mort et ces tas d'rêves suivent ma vie Chaque matin l'réveil sonne et me rappelle qu'j'suis pas libre Mais je dois rester fort car cette nuit sera pire Je dois m'lever mais j'dors et j'vois ce rêve fuir ma ville [Refrain] Et tu sais frère, c'est toujours la même routine Les années passent, on souffle toujours la même bougie Réveillez-moi d'la mort que j'vous parle d'mes découvertes 18 balais et des poussières, faut qu'je balaye sur le pas d'ma porte Réveillez-moi car j'y arriverai pas tout seul Réveillez-moi que j'puisse crier ma douleur Réveillez-moi de ce rêve épuisant De toutes ces nuits blanches Dans l'noir, essayant d'griser la couleur [Couplet 2] Mais soss et t'es pris pour cible de la consommation C'est c'que deviennent les générations aux yeux des sociétés J'te parle d'ma génération et du quai au deal de rue Au films de cul, aux fils de pute et aux mensonges qu'la télé raconte Allez, tout est virtuel, frère on vit sur l'net Et devant nos écrans on n'distingue plus la vie du rêve Au lieu d'reformater l'système on s'y jette tous sans voir Que l'ironie du sort fait qu'le système nous formate T'façon, ça sert à quoi qu'j'te dis ça, hein ? Au fond tu t'en fous et j'en ai besoin pour qu'j'puisse t'atteindre Mais, sérieux, tu ressens cette merde qui t'manipule, nan ? T'y repenseras peut-être un temps mais tu reprendras tes p'tites habitudes Tous comme ça, sans l'vouloir, on projette rien d'superbe, merde Si j'te parle de tout ça c'est qu'je connais bien l'sujet Mais pour la chute, j'sais pas, on va p't-être tous finir par s'aimer Nan, au fond j'sais pas, on va p't-être tous finir par peiner [Refrain] Et tu sais frère, c'est toujours la même routine Les années passent, on souffle toujours la même bougie Réveillez-moi d'la mort que j'vous parle d'mes découvertes 18 balais et des poussières, faut qu'je balaye sur le pas d'ma porte Réveillez-moi car j'y arriverai pas tout seul Réveillez-moi que j'puisse crier ma douleur Réveillez-moi de ce rêve épuisant De toutes ces nuits blanches Dans l'noir, essayant d'griser la couleur [Couplet 3] On rêve d'un putain d'paradis sans même croire à l'enfer Sache que quand tu gagnes ta vie un autre est en train d'la perde Mais bon, au fond, on peut pas en vouloir à qui qu'ce soit La faucheuse prend nos âmes dans c'couloir quand la vie se lasse Plus rien pour nous égayer, peut-être qu'en fait c'est l'contraire Qu'la vie n'est qu'un long rêve dont seule la mort peut nous réveiller C'est sordide en fait, mais faut qu'l'insomnie parte en guerre Qu'le sommeil batte en retraite pour m'laisser dormir en paix Tu sais, un vieil homme m'a dit qu'on attend plus sa routine Qu'on croit apprendre à vivre mais qu'on apprend juste à mourir Et c'est vrai, j'ai d'abord pensé à la perdre Mais va dire aux ricains que la mort n'en vaut pas la peine J'ai déjà rêvé d'être mort et ces tas d'rêves suivent ma vie Chaque matin l'réveil sonne et me rappelle qu'j'suis pas libre Mais je dois rester fort car cette nuit sera pire Je dois m'lever mais j'dors et j'vois ce rêve fuir ma ville Et tu sais frère, c'est toujours la même routine Les années passent, on souffle toujours la même bougie Réveillez-moi d'la mort que j'vous parle d'mes découvertes 18 balais et des poussières, faut qu'je balaye sur le pas d'ma porte Réveillez-moi car j'y arriverai pas tout seul Réveillez-moi que j'puisse crier ma douleur Réveillez-moi de ce rêve épuisant De toutes ces nuits blanches Dans l'noir, essayant d'griser la couleur.

J'gratte ces vers à 6 du mat', l'heure où Sidoh m'balance cette prod' Et m'en veux pas si j'représente mon Parti avant les autres Donc vas-y, lance les platines et mise sur 5 artistes Qui écrivent d'une main d'un chirurgien plastique J'me souviens des opus que j'écoutais des heures Des MC's qui rappent et qui vivent à base du son Hein, tous ces faux culs, moi j'veux toucher des cœurs Même si j'suis pas celui qui refera la face du monde On est voué à l'enfer, ce monde tourne à l'envers J'me demande si j'suis misanthrope ou juste qu'on court à notre perte Le temps file à mille allure, on oublie vite le nom des gens A trop voir le bout d'sa rue, on en oublie qu'le mon est grand Faut qu'j'avance, j'ai plus l'temps pour vos comparaisons A croire qu'dans la vie y'a qu'les savants et ceux qu'ont pas raison Merde, c'que j'déduis des faits c'est qu'j'te parle d'entraide Toi tu m'parles de pouvoir et de détruire les faibles Nan c'est pas juste une idée, pas juste une île Pas juste une ivresse, pas juste une brise C'est la joie d'une musique, la page sur une vie La balle du fusil, voir les bras du public s'lever Mais moi je n'suis pas futuriste Mais je ne n'veux pas plus subir dans ma future vie Mets la face sur une braise, le doigt sur une prise Le pas sur une mine, on se rassure du pire [Couplet 2] Combattant l'aube, on passe dans l'trom d'une rame dans l'autre Les passants voguent pour un contrant d'embauche ou un grand rôle Faudrait qu'on s'casse, marre d'être trop responsable Ouais faudrait qu'on aille voir le côté d'son âme Nan sérieux viens on s'casse, sérieux viens on plaque tout Sérieux viens on s'arme, sérieux viens on s'bat tous Sérieux viens on casse tout, viens on change la donne Sérieux viens on s'bat pour nos vies, sérieux viens on pend la mort Une flamme doit s'allumer, dans l'noir le temps compte ses cibles On passe d'ombre à la lumière et quand y'a plus d'soleil on s'éclipse Le mal est joué, nous qu'on proteste contre l'Etat Et ne pas s'faire bouffer, c'est une promesse que l'on s'est dite Mais sans la thune, on reste là à parler d'rêves Dans la rue on traîne le soir, dans les bars à boire des verres Dans la brume on perd le cap de ses traces à brasser l'air Et dans la lune on pèse le poids de ses actes à la légère Nan c'est pas juste une idée, pas juste une île Pas juste une ivresse, pas juste une brise C'est la joie d'une musique, la page sur une vie La balle du fusil, voir les bras du public s'lever Mais moi je n'suis pas futuriste Mais je ne n'veux pas plus subir dans ma future vie Mets la face sur une braise, le doigt sur une prise Le pas sur une mine, on se rassure du pire [Couplet 3] Pourquoi pas s'unir ? Pourquoi pas chercher à l'aide ? Frère, justement être unique c'est ne pas chercher à l'être La face sur une braise, le doigt sur une prise Le pas sur une mine, on se rassure du pire On revient toujours aux mêmes points Aux mêmes pleurs, aux mêmes peines, aux mêmes peurs Et toujours aux mêmes plaintes J'vis toujours les mêmes jours, j'fume toujours les mêmes joints J'vois toujours les mêmes gens et j'vois toujours les mêmes geindre J'suis pas censé comprendre qu'on n'est pas dans le bon train Qu'on sera jamais content parce qu'on s'noie sous la contrainte Issu d'une génération qui rembourse les dettes du passé A croire qu'cette destiné d'merde était déjà toute tracée J'endosse mon rôle, j'ai une langue pour les dénoncer Et si les portes sont closes, j'aurais l'élan pour les défoncer Pour enfoncer les portes, il faut qu'on cogne dedans Et pour changer la donne il faudrait p't-être qu'on donne le temps - J'suis très content de vous avoir fait peur ! - Parce que vous êtes le genre qui fait peur aux femmes... Nan c'est pas juste une idée, pas juste une île Pas juste une ivresse, pas juste une brise C'est la joie d'une musique, la page sur une vie La balle du fusil, voir les bras du public s'lever Mais ne m'parle plus d'justice Entre les factures du fisc et les bavures du flic Toutes ces captures subites et autres abus multiples Ne sont pas plus utiles que ce gars qui s'suicide, ouais Mais moi je n'suis pas futuriste J'veux qu'on soit plus uni, dans ma future vie Mets la face sur une braise, le doigt sur une prise Le pas sur une mine, on se rassure du pire

6 du mat', l'aube se lève et me sort d'ce rêve Mais c'est bête, mais ma première pensée est d'm'allumer un cône de zeb Ce moment d'flottement où la lumière engloutit la nuit J'me demande encore comment on a pu naître dans tout l'bruit d'la ville J'entends l'boulevard, la nuit d'ma veille est floue Et ma tête vide matérialise ma matière grise dans l'trou noir C'est pendant la nuit que tous nos doutes se créent J'suis comme la terre : j'attends mon tour pour qu'un nouveau jour se lève Mais c'est bête, y'a comme un doute dans lequel j'm'enfonce J'recherche une vérité cachée dans une foule de mensonges Nourrissant l'illusion d'avoir prié sans restriction Ouais, cette illusion d'avoir pris les bonnes décisions Tu sais, frère, si j'aime Marie Jeanne C'est qu'elle m'fait oublier l'sale visage et l'maquillage de Marianne Cette fille-là ouais qui m'raisonne dans mon art Même si elle ne compte pas le tic tac qui résonne dans mon crâne Enterré par c'te défonce J'me suis dit que j'gagnerais p't-être le match si j'me laisse entraîner par le démon Tous ces matins à m'dire qu'aujourd'hui j'me défoncerai, sans blague Pendant qu'un ange passe, le démon reste Et mes anges mentent sur ma dépendance à l'ivresse Les temps changent mais ça m'enchante pas d'y être Aujourd'hui est un nouveau jour, ouais Mais bizarrement, il ressemble étrangement à hier 6 o'clock, voilà c'qu'indique la pendule Une journée d'cours, une soirée d'défonce, rien d'bien inattendu Cette heure où cette fameuse idée me trotte dans l'crâne Cette idée d'être unique quand j'vois ce pote dans l'mal 6 o'clock, c'est l'heure où j'rentre de soirée L'heure où j'prends ce papier, l'heure où j'tente de gratter Mais au fond tu sais, dans nos routines on vit nos vies Réveillés chaque matin par la même sonnerie inaudible 6 o'clock

Cher hip hop aujourd'hui tu es dictée par de sacré fdp

Musique complexe, avant-gardiste qui restera dans les abysses ...

So clock tu manque, dis toi que ta musique a eu un énorme impacte sur beaucoup de personnes , un vrai homme voilà ce que t était. Quand j ai appris ta mort j était à étang salé ( la reunion ) et j ai fondu en larme alors que c est pas mon genre... frero repose bien la haut et sois en sur ton rap à toucher des gens impeu partout dans le monde. Comme quoi la technique et la recherche des textes ne rapporte pas l argent mais une profonde admiration face à ta volonté de niquer et changer cette société. Big up so clock , le parti, ltf...

8 ans perdu dans ma tête je le redécouvre c’est une dinguerie top tier force rendue les gars ♥️

Merci merci merci

RIP bcp trop fort

:(

Propre

So clock t'es trop puissant Rip ♥️

Le meilleur 🔥

2022 tj une dinguerie

2022 tj la

A tout jamais

R.e.p so

8 ans plus tard impossible de décrocher, t'auras dicté une belle partie de notre jeunesse avec tes phases

Rip So Clock, une très grand perte, je redécouvre ce son après des années, toujours aussi puissant !!

Des pensées sensationnelles retranscrit sur une prod d'exception, L’EP est d’une jouissance immense. Tu continueras de vivre avec nous, repose-toi bien là-haut 🕊Même si je n'avais jamais pensé que j'te dirais ça un jour car sans ta présence chaque jour est obscène

j’ai dû faire 10k solo je l’écoute en boucle putain

🖤😔

ce morceau n’a pas le succès qu’il mérite ça me casse les couilles

Malgré tout ce temps passé, ça reste l’une des meilleures !!! sah je bande

2:24

Mon frère...

Paix à ton âme frérot 🖤

t'es parti trop tôt... et ça fait CHIER!

je vous (LTF) connais depuis loooonnnngtemps et je me décide à laisser un post: trop bien...vous êtes forts, surtout toi So.

11000 vues c'est trop peu pour votre Talent!

un "old sckool" vous dit trop bien!

pffff je suis deg

🕊️🕊️rep

💞🕊

Repose en paix 🙏 Je me rappelle avoir parlé avec toi à la fin d'un concert de LTF à Marseille pour te dire que ce son c'était une merveille..

Je termine cette année spécial avec ce son... une grosse pensée à toi et tes proches. 💫❤

t'auras jamais abandonner, tu peux être fier de toi là-haut