En 1946, Hilo, à Hawaï, a été frappée par un tsunami dévastateur causé par un tremblement de terre en Alaska. Les vagues, atteignant jusqu'à 14 mètres, ont causé 159 victimes et détruit de nombreuses infrastructures. Cet événement tragique a conduit à des réformes cruciales, notamment l'établissement d'un système d'alerte aux tsunamis. Il a également marqué un tournant dans la gestion des risques environnementaux, soulignant la nécessité d'une préparation face aux catastrophes naturelles. Le 26 décembre 2004, un tremblement de terre d'une magnitude de 9,1-9,3 a provoqué un tsunami dévastateur dans l'océan Indien, touchant particulièrement l'Indonésie, le Sri Lanka et l'Inde. En l'absence de systèmes d'alerte, près de 230 000 personnes ont perdu la vie. Les destructions massives ont affecté les infrastructures, l'économie et l'écosystème. Cette catastrophe a conduit à des réformes dans la gestion des risques et à une coopération internationale accrue. Le 11 mars 2011, le Japon a été frappé par un tsunami dévastateur suite à un tremblement de terre de magnitude 9,0. La catastrophe a causé près de 18 500 morts et disparus, détruit plus de 100 000 bâtiments et provoqué une crise nucléaire à Fukushima. Les pertes économiques ont dépassé 300 milliards de dollars. En réponse, le Japon a renforcé ses systèmes de prévention et de gestion des risques, tout en partageant son expérience avec d'autres nations. Le 26 août 1883, le volcan Krakatoa explose, provoquant un cataclysme apocalyptique. Des vagues de 40 mètres déferlent sur Java et Sumatra, causant la mort de plus de 36 000 personnes et laissant des villages en ruines. Cet événement déclenche un hiver volcanique et suscite un intérêt scientifique mondial. Krakatoa devient un symbole de la puissance de la nature et de notre fragilité face à elle, tout en redéfinissant notre compréhension des forces terrestres.