วีดีโอ

Chaque situation est unique et il est recommandé de ne pas se mettre au même niveau que l'attaquant. Cependant, il est tout aussi important de se protéger.

"Fracture"...? Ce n'est pas le terme que j'emploierais.

Qui est présent....? Est-il possible de ne pas être présent....? Telle est la conscience dont je parle, le Soi.

Avec plaisir :)

Avec plaisir :)

Je ne me souviens plus du tout de ce que je raconte dans cet extrait mais si tu parles de nous lorsque nous sommes uniquement des esprits (donc des "humains morts sans corps") nous ne sommes pas encore sortis de l'auberge côté libération... Au contraire, nous retournerons nous incarner encore et encore tant que nous ne nous serons pas "illuminés" ; l'illumination n'étant rien d'autre que la connaissance et l'identification à la conscience (le Soi) que nous sommes plutôt que le petit personnage que nous pensons être.

Bravo Pascal, c'est tout à fait ça ! Le Vedanta appelle cela la discrimination et c'est toujours par là qu'il démarre, peu importe l'angle, c'est la base essentielle de tout l'enseignement...

Avec plaisir <3

Le poulet = le personnage que nous croyons être/le petit "je", l'humain... Je l'appelle le poulet en référence à un poulet sans tête (car les poules sont capables d'encore courir une fois décapitée, et je trouve qu'il n'y a rien de plus stupide arf!). C'est avec beaucoup de tendresse et d'empathie que je nous appelle des poulets bien entendu :)

Ahahahah merci !

- Où est l'empreinte exactement ? Ici et maintenant. - Si un morceau de film se trouve dans ma mémoire, il s'y trouve maintenant car ma mémoire fonctionne maintenant. Si je décide de plonger dans ma mémoire pour me refaire ce morceau de film, je le fais maintenant. - Pareil, le souvenir de ce passé est un souvenir qui surgit maintenant. L'émotion attachée au souvenir est une émotion du présent et non pas du passé. La preuve, elle peut changer face au même souvenir vécu de multiples fois. Chaque expérience (souvenir, film, empreinte) est une nouvelle expérience car elle n 'existe qu'au moment où on la vit. - Et non, ce n'est pas cette mémoire active qui nous influence mais bien les informations qui sont logées dans notre corps causal (subconscient) et qui existe lui aussi au présent. C'est notre subconscient qui dirige à 90% notre quotidien et il ne fonctionne qu'au présent. Rien n'existe dans le passé ni dans le futur. C'est facile à admettre pour le futur mais plus compliqué pour le passé car nous pensons être capable de figer des événements. En réalité, les émotions et les scènes qu'on se refait ne sont jamais parfaitement identiques. Ce ne sont donc pas les mêmes que l'on vit mais bien une expérience nouvelle à chaque fois.

@@delphine.debauve Je comprends ton point de vue : ce que l'on revit d'un souvenir se manifeste forcément dans le présent. Mais même si l’expérience de revivre un souvenir se fait dans l’instant, cela n'efface pas pour autant l'existence de l’événement qui l’a initié. L’empreinte, que ce soit émotionnelle ou mémorielle, agit comme une trace qui continue de nous influencer. Le fait que notre perception ou nos émotions changent face à un même souvenir montre justement que le passé reste un point de référence, une sorte de repère dont la signification évolue. C’est une illusion de le rejouer à l’identique, certes, mais son existence initiale a bel et bien eu lieu, même si c’est notre esprit qui le réactive différemment au présent.

Oui, l'expérience initiale a eu lieu mais elle a disparu tout aussi vite. Seule l'idée de l'expérience subsiste et elle subsiste toujours au présent, nulle part ailleurs car il n'y a pas d'ailleurs. Il est important de préciser que ceci n'est pas du tout mon point de vue mais bien un des enseignements du Vedanta, outil millénaire qui a fait ses preuves... Moi, je n'y suis pour rien (rires), je constate juste que c'est vrai après avoir accepté, testé et vécu très concrètement cet enseignement...

Hi hi j'adore ton enthousiasme !! Merci :)

Bonjour, je n'ai aucune référence en français. Sri Ramana Maharshi transmettait le Vedanta mais n'était pas un enseignant donc les livres dans lesquels on trouve ses conversations et discours (traduits en FR) n'ont pas la forme ni la structure de la méthode d'enseignement du Vedanta. Par contre, on n'a rien à perdre à le lire, je le recommande les yeux fermés +++ Mon propre maître védantais (qui enseigne une version pure et non modifiée) est James Swartz (Ramji). Je conseille de commencer par son livre "The Essence of Enlightenment" si l'anglais est une langue que tu maîtrises. Autrement, dans les prochaines semaines, je vais mettre en place une formation qui reprend justement les enseignements principaux du Vedanta. Je t'invite à t'inscrire à ma newsletter afin d'être tenue informée dès qu'elle sera disponible entrepreneuresspirituelles.activehosted.com/f/71 La semaine prochaine, j'offrirai également un livret qui reprend les 12 prérequis pour l'illumination selon le Vedanta. J'ai fini l'écriture, il est maintenant à la relecture :)

Bonjour, contente que ça résonne :)

Attention à qui est ce "je" quand tu dis j'existe/je fais exister... est-ce le Soi ou ton personnage ? Je = le Soi/la conscience sans début ni fin, jamais née, permanente et ordinaire. Je (le Soi) existe indépendamment du personnage "incarné". Je (le Soi) suis et j'ai toujours été, avec ou sans corps, avec ou sans personnalité (mon petit "je" égotique). Donc ce Je (le Soi) auquel je ramène est ce qui est présent avant toute forme du je (personnage), avant le corps, avant la pensée, avant les formes, avant l'idée même d'incarnation, etc.

Autrement dit, la qualité de ton amour dépend de la façon dont tu vois l'autre, de s'il dépend de toi ou non et en quoi tu juges les personnes différentes par rapport à toi... (et ça fait beaucoup de facteurs...). Et suivant ce raisonnement où tu considères que le conjoint n'est pas dépendant de toi, alors il n'a pas droit à un amour inconditionnel. C'était mon cas et non, ce n'est pas "normal". Ce sont les caprices de l'humain, tandis que la conscience que nous sommes, le Soi, aime inconditionnellement chacun, qu'il dépende de nous ou pas dans l'illusion du monde. Aimer depuis le Soi (inconditionnellement) est possible lorsqu'on considère et intègre que chaque être est relié à soi de la même manière et de la même importance. Il n'existe en réalité qu'une seule Conscience impersonnelle qui prend diverses formes (les humains) donc ne pas aimer ou aimer moins quelqu'un est une distorsion de l'esprit humain qui aime donc avec un petit "a", sous condition (lire aussi la description sous la vidéo où j'y partage l'idée fondamentale).

@@delphine.debauve je ne le vois pas en sens de jugement mais sous un rapport de responsabilité aussi envers l enfant....qui a plus besoin de nous...bien sûr qu on peu pousser des raisonnements...pour autant effectivement l amour devrait être égalitaire dans l absolu...mais nous évoluons sur terre😊

@@alinelambert1208 J'entends par jugement tout concept, idée, étiquetage que l'esprit fait. "Cet être est mon conjoint" est un jugement. "Conjoint" est une étiquette culturelle que l'on met sur une personne et qui est chargée de critères. L'esprit juge constamment, il a des opinions/étiquettes pour tout. Il est impossible de ne pas juger (dans le sens "évaluer"), c'est ce qui nous permet de fonctionner. De la même manière qu'on ne contrôle pas les pensées qui nous traversent. Dans le même ordre d'idée, la "responsabilité" (envers l'enfant ou autre) est un autre jugement/étiquette que l'on met à une situation. Tout jugement (ou étiquette) n'a aucune valeur en soi car c'est une idée qui fluctue en fonction des cultures, des croyances, etc. Il ne s'agit pas ici de pousser des raisonnements mais bien d'observer le (dys)fonctionnement de l'humain vs notre vraie nature. L'Amour EST égalitaire, non pas dans l'absolu mais de manière très concrète dès qu'il s'agit de notre nature réelle, le Soi. Nous n'évoluons pas sur Terre pour la simple raison que nous ne sommes pas humains. Quand mon personnage meurt (corps grossier/physique), sa soi-disant évolution n'a aucune incidence sur le piège dans lequel mon Jiva (âme/corps subtil et corps causal) se trouve. Il continuera à s'incarner à l'infini tant qu'il croira être un humain qui a un karma à corriger/équilibrer/transcender. Seule la révélation/reconnaissance de sa propre conscience (le Soi) le libèrera. La pratique du Bhakti Yoga est une voie très concrète vers cette délivrance. Bhakti = Amour/dévotion et Yoga = union. Définition : "Le bhakti yoga consiste à cultiver une dévotion sincère envers une divinité, souvent à travers la prière, le chant et la méditation. Il met l'accent sur l'amour inconditionnel et la soumission à Dieu, permettant d'atteindre l'union spirituelle et la paix intérieure." De manière concrète, j'invite donc à considérer chaque individu de manière égale, à le voir pour ce qu'il est (une forme qu'a pris le Soi) et à lui être dévoué (ne pas nuire, avoir le verbe impeccable et se mettre à son service si possible/besoin). C'est une façon de pratiquer le Bhakti Yoga au quotidien. Aller à l'église, prier Dieu puis rentrer à la maison et critiquer son voisin est tout le contraire (rires). Je comprends que sur un extrait de moins d'1min ces enseignements ne soient pas compris. Enseignements tirés du Vedanta pour la précision :)

@@delphine.debauve effectivement c est une autre façon de voir les choses...en tout cas j y vois beaucoup de respect

@@alinelambert1208 🙏🏻❤

Comme je le disais dans la réponse précédente : observer son personnage (que j'appelle souvent le poulet en référence à un poulet sans tête qui continue de courir). Comme dit dans l'autre réponse : nous ne pouvons pas être l'observateur et l'observé en même temps. Lorsque nous observons notre petite personne se plaindre, avoir peur, en avoir marre, stresser, être bombardée de pensées, etc, nous ne pouvons pas être cette personne simultanément. Qui est en train d'observer alors ???? C'est là que se trouve la clé de liberté. Quand on remonte à la source de l'observateur et qu'on se rend compte que ce n'est même pas un qui mais un quoi : une conscience en paix, sereine, imperturbable par les événements de la vie, sans début ni fin, jamais née et donc qui ne peut pas mourir.

Pour se détacher de la dualité, du petit personnage que nous pensons être avec tous ses problèmes, la base c'est de : observer encore et encore le personnage (on ne peut pas être l'observateur et l'observé en même temps) ce qui à force crée un espace de plus en plus grand entre ce que nous sommes réellement (la conscience) et le petit moi. L'observation de ce que nous faisons et pensons tout en comprenant que nous ne sommes pas ça. L'observation doit aussi être neutre : ne pas critiquer, juger, contrôler, tenter de changer le personnage, le laisser entièrement libre d'être, de faire et de ressentir ce qui lui vient.

Effectivement, il ne faut jamais faire confiance à personne mais bien tester, encore et toujours. Rien de tel que la pratique pour reconnaître la vérité ;) Les remarques, concepts et idées ne servent à rien si ce n'est pas mis en pratique. Chacun observera ensuite les changements en lui. Pour info : ce que j'enseigne principalement est la Vedanta, je n'ai rien inventé. Il date de milliers d'années et a fait ses preuves. Ce n'est absolument pas du développement personnel mais du développement spirituel (nous sommes une conscience impersonnelle). Je teste et vis l'enseignement au quotidien, puis partage mes expériences et conclusions. Je me fous bien qu'on me croie ou pas, il s'agit juste d'une invitation à implémenter les enseignements dans son quotidien. Et je suis complètement d'accord avec le nombre de faux gourous qui traînent sur le web. La seule façon de voir si on peut faire confiance à un enseignant ou pas c'est de voir comment il vit. Ce qui est compliqué j'en conviens (rires). Donc, oui, maintenons le doute, mais ne rejetons pas les idées sous prétexte que ça ne plaît pas. Testons avant... ;)

Hi hi, si loin et si près en même temps... Car nous sommes cette Conscience, quoi que nous fassions. Nous sommes ce que nous cherchons, c'est le côté absurde de la quête spirituelle. L'ego est juste un programme qui tourne, quand on le sait et qu'on le comprend, il perd graduellement son impact. Ecouterais-tu une voisine super chiante qui ne fait que te critiquer et qui ne te connaît même pas ? Non. L'ego c'est pareil, ce n'est pas toi, c'est extérieur à toi, et c'est un menteur...! Le corps, c'est pareil, ce ne sont que des idées... Tu es vieille et moche par rapport à qui ou quoi exactement ? Le corps est changeant, tu n'as pas le même corps que celui d'il y a 10 ans, donc à quoi bon l'évaluer esthétiquement ? Quand on creuse, on se rend compte qu'il n'y a aucune réalité dans ces concepts. En vrai, la beauté est surtout relative à la lumière intérieure que nous cultivons. Plus tu t'aimeras, plus tu seras d'une grande beauté. Une beauté qui passera au-dessus de tous les concepts et tendances sociétaux du moment. Lorsque tu révèleras au monde ce que tu es vraiment, tu verras que ta beauté est éternelle...

Bon résumé ! Ce qui est intéressant, c'est quand on commence à chercher qui est celui qui crée ces prisons émotionnelles ? Alors, on découvre que les émotions viennent de pensées-croyances. Ensuite, que nous ne créons pas nos pensées, que nous n'en sommes pas responsables et qu'elles ne nous appartiennent pas ! Que notre esprit est constamment bombardé de ces pensées, ce qui influe nos comportements parce que nous les écoutons et, à force, nous finissons par croire qu'elles viennent de nous et qu'elles nous définissent. En réalité, ces pensées appartiennent au corps causal (conscience collective) qui nous les "envoie", un peu comme un programme qui tourne en automatique. Celles-ci n'ont donc rien à voir avec notre nature réelle (le Soi). En conclusion : ces prisons émotionnelles sont des histoires que le collectif nous a racontées et nous y avons cru.

Merci pour ton commentaire Sylvie ! Je rebondis sur ton "unie au Grand Tout" : si tu es unie à quelque chose cela veut dire que tu considères la réalité comme duelle (toi d'un côté et ce grand tout qui serait autre chose). En réalité, il n'existe que la Conscience et celle-ci prend diverses formes (dont toi et moi) dans la matrice (3D/4D, Maya en sanskrit). Nous sommes comme les vagues de l'océan : non séparées, identiques et dépendantes de l'océan. Notre existence n'est que relative, nous disparaissons comme nous sommes apparus, et cette brève existence relative n'a jamais changé l'état ni l'essence-même de l'océan. Elle n'a aucune importance en soi. Nous ne pouvons pas nous unir à l'océan, nous apparaissons depuis lui mais sans jamais en être séparé ; aussi, nous n'avons aucune réalité propre. En clair, et pour reprendre tes termes, tu n'as besoin de rien faire, tu es le Grand Tout. Tu ne peux pas t'unir à lui, tu n'existes que grâce à lui, et tu ne peux pas être autre chose que lui... hormis en apparence quand tu te mets à penser et que tu te prends pour un humain :)

Magnifique ! Même si, concrètement, la Conscience que tu es ne peut pas être observée, tout comme un oeil ne peut pas se voir. Etant donné que ta vraie nature est non-duelle, tu peux pas t'observer car tu ne peux pas t'objectifier... Mais je vois ce que tu veux dire :* Le véritable objectif (et challenge) est de rendre la "vision" permanente, ce qui est tout à fait possible ! Surtout pour toi qui est préparée... ;)

Oui, le dualisme et le non-dualisme sont de toute évidence opposés. Ceci dit, peu importe la vision de départ. Revenons à l'essentiel, en dehors des concepts intellectuels, et posons-nous la vraie question : comment se porte ton existence ? Si tu es heureux, en paix, serein et dans l'amour de Dieu. Si tu vois chacun comme ton frère et si tu n'as aucune difficulté à pardonner le plus haut crime, alors tu as rencontré Dieu et tu ne peux plus renier son existence qui est maintenant en toi... Il existe plusieurs religions (+ de 4000 dans le monde) parce qu'il existe plusieurs interprétations, par contre toutes sont d'accord qu'il n'existe un seul Créateur, une puissance divine que l'on pourrait appeler Amour Pur. Là est l'unique vérité qui devrait nous importer peu importe le chemin emprunté pour y arriver... :)

@@delphine.debauve Je vous comprends. Vous avez dit l'essentiel. Merci.

@@delphine.debauve De toute façon, vous êtes toujours comme ça. Vous savez répondre. Vous avez appris à répondre.

Magnifique ! Je me réjouis avec toi !

Je ne sais plus du tout ce que je raconte dans cette vidéo qui date d'il y a au moins 2 ans... mais tant mieux, le hasard n'existe pas ! Aujourd'hui je dirais aux personnes qui vivent la loi des séries 2 choses : 1/ Que se passe-t-il si tu arrêtes d'écouter cette voix dans ta tête ? Est-ce que tout va vraiment mal ou est-ce qu'il s'agit de perceptions ? 2/ Es-tu "sur ton X" ? Expression canadienne qui veut être là où on doit être, suivre sa voie... Donc es-tu à l'écoute de ta propre nature ? Es-tu aligné avec qui tu es ? Si tu as des dons, utilises-tu tes dons ? Les offres-tu au collectif ? .... Les problèmes sont souvent dus à de la résistance...

Il n'y a plus à se rassurer quand nous arrêtons d'écouter cette petite voix de malheur dans notre tête... Cette voix n'est pas notre amie, pourquoi l'écoutons-nous !? :)

@@delphine.debauve on l'écoute car on a pas trop le choix .

Tout ce qui est nouveau peut parfois sembler compliqué. Ce que j'enseigne porte un nom : le Vedanta. Ce n'est ni une religion, ni un dogme, ni une philosophie. C'est la science de la Connaissance (connaissance ultime de ce que nous sommes, au-delà de toutes les sciences et connaissances terrestres). Cette connaissance fonctionne différemment de ce que nous avons l'habitude. L'humain a l'habitude d'étudier, d'emmagasiner dans sa mémoire diverses informations. Le Vedanta expose notre intellect à la Vérité, ce qui enclenche des questionnements (le Vedanta est aussi considéré comme l'art du questionnement) et ce qui crée des ouvertures pour la Connaissance. La Connaissance est telle une énergie divine, ce sont ces fulgurances et intuitions puissantes que nous avons spontanément. Ces informations qui sont téléchargées en nous, que nous savons vraies et qui nous font passer du "je crois" au "je sais". Le Vedanta est un enseignement littéralement vivant qui interagit avec nous afin de nous révéler notre propre nature. Une fois la révélation faite, la libération de l'esprit est complète et l'enseignement s'auto-annule (il n'est plus nécessaire). Le Vedanta est un instrument très concret qui fonctionne et libère les humains depuis toujours. Je peux même dire que la transformation qui va avec est très rapide (mes clients voient leur vie transformée en quelques mois). Cependant, il y a des prérequis incontournables : l'esprit doit être préparé (purifié) et l'enseignant doit être bon. Certains, donc, ouvriront peut-être un jour un livre contenant cet enseignement mais n'en tireront aucun bénéfice.

Pas vraiment non :)

@@delphine.debauve en fait, il y a beaucoup d'éléments de la gnose dans votre enseignement.

Oui, pour moi l'essence-même de l'existence est non-duelle. Rien n'existe en dehors de Dieu. Par contre, l'expérience que je vis en tant que personnage "Delphine" est duelle. Les religions sont de magnifiques portes vers la (re)connaissance de Dieu et, donc, de notre propre nature. Ma motivation première, ma quête existentielle, est de savoir qui je suis, quel est ce monde, et de rencontrer Dieu, peu importe la voie. Je ne suis donc pas attachée à des idées, j'explore, je teste et je vois ce qui m'est révélé. Si la religion chrétienne évangélique t'offre une vie en paix, simple, sereine et proche de Dieu, alors c'est merveilleux et je me réjouis avec toi !