วีดีโอ

Une écoute réelle et un charme... J'ai eu la chance de la voir pendant des années. Bon courage et merci 😊

J’ai été consulter cette psychiatre, à un moment de ma vie qui était très difficile où j’ai une dépression. J’ai des troubles alimentaires depuis l’âge de 12 ans. j’ai voulu voir cette psychiatre pour pouvoir m’aider à sortir de ce cercle vicieux qui gâche ma vie depuis l’âge de 12 ans, mais en sortant de chez elle. Tout ce qu’elle a réussi à faire c’est de me rabaisser et de me sentir comme une moins que rien suite à mon rendez-vous avec elle, j’ai fait une rechute Elle m’a mis au plus mal, personnellement je ne l’a recommande pas

Vive la Mda

Bonjour, votre fille avait qu elle âge, parce que moi mon bébé a moins de 2 a ns et ils me parlent d anorexie 😢

Merci beaucoup pour votre témoignage, j'ai le même cas, et j'espère que vous allez bien maintenant

Donner à cet établissement le nom d'une personne qui ne s'en est pas sorti n'était pas la meilleure chose à faire, c'était pas un signe d'espoir.

Concernant les TCA, le problème est au niveau psychologique, il est en amont. Certaines carences ( vitamines minéraux ) favorisent les obsessions alimentaires.

Bonsoir, j'ai 17 ans, j'ai été sévèrement bouffé par cette maladie. Moments extrêmement difficiles qui ont failli me coûter la vie, je vous souhaite beaucoup de courage même si je n'ai pas ressenti la douleur de mes parents. C'est une maladie dégueulasse qui nous rend invincibles une fois guéris. Bien à vous.

la plus belle doctor d'Alsace

J’en garde un si bon souvenir..

MERCI MERCI MERCI

Bonjour Quel traitement as-tu pris

C'est quoi les médicament que ta pris

Journée des TCA mon oeil ! Journée de l'anorexie ça me gave !

Quels centres !

Je suis demandeuse je n'ai trouvé personne pour m'aider !

Aucune prise en charge !

Comme d'habitude on ne parle que de l'anorexie ça intéresse on a putié d'un anorexique , l'hyperphagie boulimique provoque le dégoût , le jugement . J'habite les hauts de France sur Dunkerque . J'ai 67 ans le médecin généraliste juge et ne propose rien . J'ai été boulimique jusqu'à 20 ans et ai basculé après dans la boulimie . Je suis hyperphage boulimique .

C'est un podcast intéressant, mais je ne crois pas qu'il reflète la réalité de toutes les situations. Pour mieux m'expliquer, je reprends certaines phrases des patientes : "Mes parents sont beaucoup plus informés et quand je leur explique, ils me comprennent mieux qu'avant."; "Mes parents ont compris que j'étais sous l'emprise d'une maladie très vicieuse et ils m'ont dit qu'ils allaient tout faire pour me soutenir dans cette bataille acharnée contre moi-même et à partir de ce moment, ma relation avec eux a beaucoup changé vers le positif"; "Si je devais parler de la place de mes parents dans la maladie, je dirais que c'est mes héros parce que c'est grâce à eux aussi que j'ai pu guérir. Mon père prenait le train 3 fois par semaine pour pouvoir me voir et pour pouvoir m'aider. Les visites c'était les meilleurs moments de ma semaine, parce que j'arrivais à me détacher de cette maladie.... je voudrais remercier mes parents parce que c'est grâce à vous que j'ai réussi à m'en sortir et c'est grâce à votre aide que maintenant je continue à battre la maladie"; "Les moments passés avec mes parents, c'est tout pour moi, c'est vraiment les moments où je peux essayer de penser à autre chose et les permissions c'est les meilleurs moments de ma semaine, j'attends que ça. Les moments passés avec ma famille, ça me sauve. Les permissions, les visites, le contact avec mes parents c'est hyper important."; "Les permissions nous reboostent tellement, c'est tellement bénéfique"... [...] Ces jeunes filles ont une chance immense d'avoir toutes une famille aimante et bienveillante, d'être aimées et soutenues. Mais malheureusement, ce n'est pas toujours le cas et ce podcast occulte les cas où il existe des violences intra-familiales. A titre personnel, j'ai été hospitalisée à la Maison de Solenn à deux reprises en 2012. Non pas pour anorexie mentale, mais parce que je souffrais d'une grave dépression et de dépendance affective. J'avais 17 ans. Et je ne me reconnais hélas pas du tout dans le témoignage de ces jeunes filles. Mon père était très violent psychologiquement avec moi et je faisais tout pour ne pas le voir. Les entretiens familiaux ne m'aidaient pas, mais étaient au contraire un véritable cauchemar, car mon père me détruisait. Une psychiatre du centre lui avait d'ailleurs dit : "Monsieur, vous rendez-vous compte de votre propre agressivité ? J'ai du mal à communiquer avec vous, alors je comprends que ça soit encore plus difficile pour votre fille". Les visites et les permissions ne me reboostaient pas, car cela signifiait que j'allais à nouveau devoir me confronter aux violences, aux cris et à la dévalorisation permanente de mon père. J'ai aujourd'hui compris que la dépendance affective dont je souffrais (et souffre toujours à l'heure actuelle) est fortement liée au harcèlement moral de mon père qui a passé plus de huit années consécutives à me hurler dessus, à me dévaloriser et me terroriser - et également au harcèlement scolaire dont j'ai malheureusement aussi été victime au collège. J'ai aujourd'hui compris que le soutien et l'amour sont les choses les plus primordiales pour s'en sortir, et que nous ne sommes rien sans amour et sans soutien, comme en témoignent toutes ces jeunes filles dans le podcast. Qu'y a-t-il de plus normal que de rechercher une personne qui nous estime et qui nous soutient, qui nous aime, quand on n'a pas le droit à cet amour et à ce soutien ? Dans mon cas, il était presque hélas normal de souffrir d'être en situation de dépendance affective...

Bonjour, j'aimerais tant "aider et soutenir", ce thème est très parlant pour moi, d'autant plus que je suis coach bien être et santé. Cela pourrait peut être vous intéresser ? Si je peux contribuer autrement, ce serait avec plaisir Merci,

Je suis désolée pour ce témoignage qui évoque plus la maltraitance dans les hôpitaux psychiatriques que l'anorexie elle-même. Je n'ai pas souffert d'anorexie mentale, mais je connais malheureusement l'enfer des hôpitaux psychiatriques. Suite à des années de harcèlement scolaire et moral, j'ai fait une grave dépression et j'ai été internée plusieurs fois au cours de mon adolescence. A seulement 14 ans, j'avais été internée dans un hôpital psychiatrique pour ados de ma ville et on me droguait déjà de Zoloft (un antidépresseur) tous les matins et de Tercian (un neuroleptique) trois fois par jour... ! Cet internement avait été difficile à supporter, mais le pire a été celui que j'ai subi à l'âge de 18 ans, en décembre 2012. J'étais majeure, alors j'avais cette fois-ci été internée dans le service pour adultes. Je ne voulais pas y aller et la psychiatre hurlait : "ON VOUS LAISSE PAS LE CHOIX MADEMOISELLE, SINON J'APPELLE LA PREFECTURE DE POLICE ET LE MAIRE !!" comme si j'avais commis un crime. J'avais ensuite été attachée par des sangles sur un lit et droguée de neuroleptiques (50 gouttes de Tercian !) jusqu'à faire les pires malaises de ma vie entière : vertiges, vision extrêmement floue, douleurs d'estomac, nausées et écroulement dans les couloirs à plusieurs reprises... L'horreur absolue. Mes parents ne supportaient même pas de venir me rendre visite là-dedans. Mon cousin, hélas décédé en 2014, m'avait dit qu'il n'aurait même pas supporté d'y travailler tant cet HP était sordide. Le lieu en lui-même suffit déjà à faire déprimer même la personne la plus heureuse du monde... Depuis "Le Pavillon des enfants fous" de Valérie Valère, rien n'a hélas changé. Je suis 100 % d'accord avec ce que dit Pauline.

Bon courage.

Merci pour ton témoignage, dans lequel je me suis beaucoup reconnue, et je ne pense pas être la seule. Ça fait du bien d'entendre du positif ☺️

Courage à toi. Bat toi. Merci pour ton temoignage.

Je suis dans le même cas que toi. Je te remercie beaucoup pour ta video

. ....... .

Courage à vous , vous êtes très belle .

Merci pour ce courageux témoignage, pendant des années je pensais juste être quelqu'un de "glouton" puis j'ai réalisé il y a peu et grâce à une professionnelle de santé de mon établissement scolaire que j'avais tous les signes indiquant que j'étais très probablement atteint d'hyperphagie. Je te souhaite vraiment d'être libre par rapport à ça et très heureuse maintenant que tu as identifié le mal en question. Je viens de m'en rendre compte pour ma part et ça fait un bien fou ta vidéo me mène un peu plus vers le professionnel qui m'aidera à soigner ça ❤️force à toi, à nous et à tous ceux qui s'en s'ont pas encore aperçu.

Plein de courage à vous Hervé. Et à votre fille

Bonjour, comment trouver un médecin spécialiste de TCA. Moi je suis dans le Tarn (81) et je ne trouve personne. Beaucoup de psy font des consultations générales mais pas spécifique. Certains disent que l'addiction au sucre n'existe pas...

Je suis fier de toi tu es en parle bellle personnalité très courageux pour ton jeune âge prends soin de toi .❤️❤️

De La Liberté !... c est exact

Bonjour Mélissa Serait il possible d’échanger ensemble svp ? Merci

Témoignage très courageux et très inspirant. Merci Mélissa.

Difficile de ne pas être touchée par ce témoignage si fort, poignant mais malheureusement terriblement juste. Mais c'est assez déstabilisant. Lors de plusieurs conférences organisées dans le cadre de cette journée, on a eu à plusieurs reprises une forme d'apologie du contrat de poids.... De plus, on pourrait regretter que la FFAB (derrière cette journée) ne s'ouvre pas davantage à d'autres pratiques thérapeutiques pour avoir (enfin!!!) une approche holistique. De par ses statuts qui n'autorisent que les professionnels de santé, elle cautionne un "tout médical" manifestement obsolète et le "professionnel sachant" face au "malade qui doit invariablement subir car il est en souffrance". J'aimerais me tromper...

Merci pour l'organisation et la publication de cette "table ronde" qui de mon point de vue de béotien évite le bavardage et regorge d'informations diverses, claires et utiles! Merci aux intervenants.

Une conférence intéressante où les différents intervenants apportent du mieux possible des réponses aux questions des participant(e)s, parlent des avancées, des progrès et des projets pour le traitement des TCA et l'importance du réseau FFAB. L'intervention de deux parents qui ont traversé le chaos de la maladie de leur enfant est importante. D'une part, avec Mme Danielle Castelotti, son mari et l'ensemble des personnes qui œuvrent au cœur d'un engagement profond dans la fondation Sandrine Castellotti, de la FNA TCA qui rallient de nombreux corps de soignants, de chercheurs, d'acteurs d'associations… qui permettent des avancées significatives dans plusieurs domaines concernant les TCA. D'autre part avec Mme Julie Montal qui a réalisé un ouvrage de référence et de recherches "Anorexie, Paroles de parents, parcours de soins". C'est un livre éclairant pour les parents, il m'a ouvert à une autre approche vis à vis de ma fille souffrant d'anorexie. En tant que parents nous sommes envahis d'émotions intenses et devons faire face à une épreuve terrible face à la détresse, la souffrance de notre enfant avec des répercussions sur l'ensemble de la famille. Sans informations pour comprendre, ni de repères pour accompagner notre enfant, nous ne pouvons pas le soutenir au mieux. Ce livre de part les témoignages de parents nous permet de nous sentir moins seuls, nous permettant de nous rendre compte que d'autres vivent aussi des situations difficiles dans le parcours de soins et dans l'appréhension pénible de la maladie de leur enfant. Il ouvre à la compréhension, à la découverte du visage, du langage de la maladie et ses effets délétères sur les personnes qui en souffrent. Il nous permet de découvrir des outils précieux pour mieux entendre et mieux accompagner notre enfant. Il ouvre à l'espoir que le rétablissement, la guérison est possible. Il ouvre à aller plus loin avec des compléments de témoignages et d'informations sur le site de l'éditeur " Editions Empreintes". Il apporte une aide financière à la FNA TCA. Les intervenants de la conférence soulignent bien l'importance dans le parcours de soins de la place des parents et en élargissant des proches qui vivent auprès des personnes souffrant de TCA

Bonjour, je m'appelle Marie Gabrielle et j'ai été hospitalisée 5 fois à Ambroise Paré. Je vois des psychiatres. Je suis actuellement hospitalisée de journée à l'Institut mutualiste Montsouris. Courage ! On va s'en sortir, tout en étant parents que enfants.