วีดีโอ

C'est parce qu'elle est longue qu'elle est très bien expliquée ;) Merci pour votre retour.

Merci beaucoup pour votre message qui me réjouit ! C'est très gentil de votre part d'avoir pris ce temps là.

Merci beaucoup

Peut--être pour te cultiver par exemple ?

dommage en effet :)

>⁠.⁠<

Tenez moi au courant quand ce sera fait ! 😄

Merci beaucoup, ça fait plaisir que ce travail serve à d'autres. Bon DM !

merci, ton message est un plaisir

Merci votre retour fait plaisir !

Je ne comprends pas en quoi un enfant de parents chômeurs auraient moins de capacités pour comprendre qu'un enfant d'autres origines sociales. Sans compter qu'un enfant peut avoir des parents cadres au chômage ?

C'est à dire ? Cela m'intéresse que vous précisiez.

Ce cours n'a pas été fait à partir d'un livre mais à partir de plusieurs ressources

Merci. Votre retour fait plaisir

Ecoutez une deuxième fois au ralenti :)

Merci pour votre remarque. Le format court de cette vidéo ne permet pas de développer les points connexes. Votre intervention me permet de le faire ici : Il y avait des voix critiques qui s'inquiétaient du contenu des bandes dessinées en général, y compris Superman, en raison de scènes d'action et de violence. Certains parents et éducateurs ont exprimé des préoccupations au sujet de la violence et des situations de danger auxquelles étaient confrontés Superman et d'autres super-héros. Cela a conduit à des débats sur l'impact des bandes dessinées sur les jeunes lecteurs. Plus généralement, les bandes dessinées ont été ostracisées dans les années 1930 pour plusieurs raisons, principalement liées aux préoccupations sociales et morales de l'époque. Voici quelques-unes des principales raisons : Contenu jugé inapproprié : Dans les années 1930, certaines bandes dessinées, en particulier les comic strips publiés dans les journaux, étaient considérées comme inappropriées pour les jeunes lecteurs en raison de leur contenu. Certaines histoires mettaient en scène des criminels, des combats, de la violence et des thèmes de crime, ce qui préoccupait les parents et les éducateurs (Superman compris (en slip ou pas) Réputation des pulps : Les pulps étaient des publications populaires de l'époque contenant des histoires de genres tels que la science-fiction, la fantasy et le crime. Les bandes dessinées étaient souvent associées à ces pulps, qui étaient parfois considérés comme de la "poubelle" littéraire en raison de leur contenu sensationnaliste. Influence sur la jeunesse : Certains critiques estimaient que les bandes dessinées avaient une influence négative sur la jeunesse, les exposant à la violence et à des modèles de comportement indésirables. Cette préoccupation a été renforcée par des scandales médiatiques liés à des activités criminelles qui semblaient imiter des scénarios de bandes dessinées. Politique et censure : Dans certaines régions, des mouvements politiques et religieux ont cherché à réglementer ou à censurer le contenu des bandes dessinées, en particulier celles qu'ils jugeaient immorales ou subversives. Cela a conduit à la création de codes de censure pour l'industrie des bandes dessinées. Concurrence avec d'autres médias : Les bandes dessinées étaient en concurrence avec d'autres formes de divertissement, comme la radio et le cinéma. Les médias plus établis se sont souvent montrés critiques envers les bandes dessinées pour protéger leur propre part de marché. Ces préoccupations ont finalement conduit à des appels à la réglementation et à la censure des bandes dessinées, notamment avec la création du Comics Code Authority (CCA) en 1954.

Pour ce qui est de Spiderman, vous avez raison, ce n'était pas le bon exemple :) J'espère que vous aurez apprécié le reste du contenu néanmoins...

Je ne vais pas rajouter ce que @regisgaudemerisfecnormandi6299 explique très bien mais il faut savoir que la culture fantastique et de science-fiction était considérée comme abrutissante puisqu'elle n'apportait rien de "réel" et faisait rêver les jeunes sur un monde hypothétique et impossible. Toute la culture geek de l'époque était donc très mal vue et les jeunes fans marginalisés. Cela s'est beaucoup retrouvé autour de la problématique des jeux de rôle (type Donjon & Dragon) considéré comme du satanisme ou autres. Ma génération a connu cela avec les anime japonais. Les dessins animés américains bien que violents et pas forcements très recherchés étaient bien vus car il y a avait une philosophie de puissance viriliste, de force brute, de masculinité et un côté militaire patriote. Là où des dessins animés japonais étaient considérés comme trop violents, abrutissants, sexualisés ou comme étant de la mauvaise culture. Et pourtant aujourd'hui on étudie certaines de ces oeuvres japonaises à l'école après que les jeunes soient allés les voir au cinéma par exemple. Il y avait certaines chaines qui avaient décidé de diffuser quand même des animes japonais et de nombreux parents et pseudos-thérapeutes sont montés au créneau. Résultat les jeunes ne sont pas devenus des prédateurs sexuels violents et décérébrés. De plus, une immense culture manga riche et engagée est née. Enfin il en va de même pour l'informatique, un jeune qui s'intéressait aux ordinateurs à mon époque était considéré comme ayant des problèmes mentaux. Aujourd'hui ma boite vendrait son âme pour avoir quelqu'un qui sait bidouiller les ordinateurs comme personne. De panique morale en panique morale, on ne regarde jamais les faits, on se base uniquement sur ses peurs, intuitions et quelques faits divers.

Merci.

Peut-être les vôtres... mais pas les miens.

Ce n'est pas l'apprentissage de la lecture qui est facilité mais la lecture de texte accompagnée par un adulte sur écran : parce que les écrans offrent très souvent plus d'interactivités : images, accès aux définitions, mises en scène, vidéos explicatives etc. Quand cette interactivité se surajoute aux interactivités d'un adulte qui guide, alors la mise en mémoire des éléments essentiels de la lecture est démultipliée !

@@regisgaudemerisfecnormandi6299 ok merci ! super vidéo sinon 👌

Différencier lors d'un enseignement est une démarche presque même involontaire. Le mieux est d'en prendre conscience pour optimiser son enseignement. Le mieux est de connaitre les stratégies des enseignants, de les étudier scientifiquement et de les partager au plus grand nombre. C'est tout. Sans ces savoirs acquis par mes différentes lecture et mon expérience, je serais encore au niveau d'un débutant. Je ne propose ni le même parcours, ni les mêmes supports, ni les mêmes seuils de compétence à des élèves qui manifestent quelques différences cognitives ou physiques. Il serait stupéfiant de demander à mon élève en chaise roulante de courir un 100 m ? Il serait stupéfiant de demander à mon élève qui présente des troubles du spectre autistique de rester sur sa chaise sous peine de crise d'angoisse. Il serait stupéfiant de demander la même vitesse d'écriture à mon élève dyspraxique. Il serait étonnant de donner les mêmes parcours à mon élève qui a sauté deux classes. Vous ne croyez pas ? Mais si vous avez d'autres méthodes plus efficaces, je suis preneur.

​@@regisgaudemerisfecnormandi62990:10

Les élèves de primaire apprennent aussi l'abstraction. Mais pour y accéder avec assurance, le passage par la manipulation est incomparable. L'abstraction n'est que le fruit d'une théorisation du réel. Partant de là il est intéressant de refaire ce chemin, et ce, quel que soit l'âge d'un élève et si possible, quel que soit le savoir transmis. J'ai récemment vu concrètement (sous forme géométrique) ce que signifiait la première identité remarquable. Voilà qui dédramatise la notion est permet de faire le chemin vers l'abstraction sans difficulté (ou avec moins de difficultés). Et pour votre information, l'abstraction est accessible dès la petite enfance.