วีดีโอ

Beaucoup de plaisir à la faire - et à revoir le film, 20 ans après! Merci à vous d'être passé par là 🙏

Cette note d'intention en disait malheureusement long, et quand on se souvient de son Blade Runner 2049, on se dit qu'il l'a abordé de la même manière : hautaine. On était les premiers surpris, il y a trois ans, de sortit plutôt contents de la salle, mais "Dune for dummies" le résume bien, tout est aplani, clarifié. Le Lynch, avec ses défauts, faisait davantage rêver, justement parce qu'il rêvait. PS : c'était pas loin de mille page l'édition que Guillaume a lue, mais elle regroupait la "partie 2" adaptée cette année, on y voyait/liait Paul dompter on premier ver.

Yannick n'a rien perdu de sa verve! Et il a raison sur la sélection, beaucoup de film s "douloureux", tristes, résignés pour certains. Ce que n'est pas le film ukrainien qu'ils ont récompensé, justement :) la vidéo du réalisateur est géniale, pourvu qu'il parvienne à sortir du pays pour accompagner son film.

On est en effet passé d'une époque où beaucoup de films étaient introuvables, à une profusion où il faut constamment faire le tri. Mais parfois, ça vaut vraiment le coup!

Bonne idée, ils sont très drôles tous les deux dans ce petit film !

Il y a tant de romcom qui sortent chaque année, c'est d'autant plus remarquable lorsqu'on se souvient de l'une d'entre elles plus de vingt ans après! On a tendance à ne citer que de grands rôles lorsque des comédiens disparaissent, c'est chouette de se souvenir qu'ils ont aussi brillé dans de petits films comme celui-ci ☺

Malgré ses stars en tête d'affiche, ce joli film semble malheureusement tombé dans l'oubli. New York y est vraiment irrésistible, bien que ce soit une vision de carte postale! C'est touchant, en tous cas, de voir les derniers longs tournés avant que le regard sur cette ville ne soit changé à jamais. Bonne (future) découverte :)

Le petit trésor de divertissement perdu dans les algorithmes ☺

La poésie n'est certes pas au rendez-vous dans Copshop 😆 Mais c'est très sobre face à ce qu'on entendait dans les années 1990. Alexis Louder est vraiment géniale, espérons la revoir dans ce genre de rôle. Et Le Territoire des loups est superbe, malheureusement sorti en pleine période Taken - il a ainsi pu décevoir des gens venu voir un film d'action, et non un drame.

Merci camarade, ça fait plaisir! Il y a un nombre incalculable de petits films dont je suis étonné de me souvenir, et que j'ai plaisir à revoir pour préparer. Certains ne passeront sans doute pas le cap du second visionnage, mais jusqu'ici, je suis ravi d'avoir lancé ce format.

@@infinidetail Ça ne m'étonne pas ! C'est une super initiative en tout cas. 😀 Il faudrait que je me trouve un petit format pour pouvoir publier (un peu plus) régulièrement aussi...

@@LeFilmonaute encouragement très appréciés 🙏🙏 J'allais te le suggérer justement, ça demande un certain sens du "sacrifice" (cinq minutes, c'est frustrant), mais j'irai dévorer tes formats courts une fois lancés! C'était excellent ton top transversal pour clôturer 2023, peut-être peux-tu adapter ce format à d'autres sujets?

@@infinidetail J'aimerais bien faire l'édition 2024 des Cinq fragments ! Et sinon, il faudrait que je développe les recuts : j'ai quelques idées et même si ça prend un peu de temps de conceptualisation, ça reste une forme courte à l'arrivée.

@@LeFilmonaute j'espère de tout coeur que tu feras ça en fin d'année! Et cent fois oui pour les recut, d'autant que ça t'évite un travail de commentaire. Tu penses te lancer sur lequel, en priorité ?

Très bien vu pour Thomas Gibson, j'aurais pu le mentionner également ! Il joue un inoffensif surfer-gourou vénéré par les jeunes sportifs ☺ "cocasse" est le mot juste pour Psycho Beach Party, le voilà (un petit peu) sorti de l'oubli.

Donner envie de revoir un film, c'est le Graal quand on aime parler de cinéma! Merci également pour votre passage, n'hésitez pas à venir me raconter ce second visionnage (et vos souvenirs de New-York, pourquoi pas !). Cruising m'a laissé perplexe la première fois, la seconde vision a été une redécouverte, je vous en souhaite autant.

@@infinidetail après la folie des élections et des J.O, période plus calme, je pense acheter en ligne le DVD et visionner le film à la maison. Pour ce qui est de NYC et des USA (est, ouest) où je passsais en gros 2 mois par an depuis 1979, je n'y vais plus depuis 10 ans. Je n'aime pas du tout cette espèce d'arrogance permanente sur tous les sujets. Quid (exemple) des natifs qu'ils ont massacrés puis pour le peu restant mis dans des camp? Marrre des donneurs de leçons aux mains aussi sales que les autres.

@@lesarcs2317 ce que je comprends, les donneurs de leçons les plus insistants sont souvent ceux qui devraient en donner moins. En parlant des natifs américains parqués, j'avais trouvé très intéressant le film Wind River, qui aborde la question en creux. Va pour une seconde vision après tous ces événements bruyants. Le film a été remasterisé, à toutes fins utiles, on le trouve chez en France chez ESC/Colored Films. Bel été à vous malgré les JO, et bonne redécouverte!

Cet homme n'avait effectivement peur de rien ! Cruising est vraiment à part dans sa filmographie, en tous cas Al Pacino y est excellent malgré la mauvaise ambiance sur le plateau. Ravi que l'envie de découverte soit née après l'écoute, merci pour ces mots, et bon film 🙂

Nos podcast ne sont pas filmés. Un jour peut-être!

Merci pour l'écoute! On a pris le temps de lire des extraits du roman pour rappeler son importance, mais c'est évidemment peu de choses, il faudrait plusieurs podcasts pour en parler en long et en large en plus des films. Comme vous dites, c'est en tous cas un vrai défi à adapter. Et on se demandeencore, depuis la vision du documentaire consacré à ce film jamais tourné, ce qu'aurait donnée la version de Jodorowsky!

Retour tardif (une constante chez nous) mais heureux, merci pour cette écoute attentive 🙂 On est battu à plate couture sur la connaissance de Dune (6 visions du Villeneuve ? Quelle santé !), il nous faudrait le revoir pour vérifier, c'est le danger de composer avec une seule vision du film (et même des films en ce qui concerne Guillaume, qui a découvert le Lynch peu avant cette nouvelle version). On espère pouvoir remettre le couvert sur le volume 2, et on ne manquera pas de le découvrir sur écran géant!

De mémoire, Lana Wachowski a clairement dit qu'elle a fait le film par obligation de contrat, sinon le film se serait fait sans elle. On comprend que ça puisse être agaçant ce message martelé tout le long, mais le film est tellement étonnant qu'on avait passé un très bon moment! Ceci dit, on a toujours pas osé le revoir ^^ C'est bien vu le rapprochement avec Prometheus, c'est vrai que c'est un autre film qui, à sa manière, s'amuse à détricoter sa propre mythologie.

Merci pour les encouragements, en effet c'est pas évident à faire! Pourquoi pas pour le featuring si l'occasion se présente mais honnêtement, on a déjà un retard monstre sur nos propres épisodes (Le 13e guerrier a été enregistré en 2021). En tous cas n'hésitez pas si vous voulez un retour le jour vous enregistrez, on prendra le temps d'écouter ça (et désolé pour le temps de réaction, on rentre de congés ^^)

Merci beaucoup pour votre fidélité et votre retour Dominique, on avait beaucoup travaillé pour cet épisode, donc on est ravi que ça se sente à l'écoute! Le film étant très dense, c'est d'autant plus important pour nous de savoir que le podcast, lui, est limpide. Et comme quoi, on peut être allergique à un acteur puis, un jour, y être sensible le temps d'un rôle :)

Merci pour votre oreille fidèle, Dominique! Tant mieux si notre avis réservé vous a quand même donné envie de le découvrir car, soyons honnêtes, notre ressenti est très minoritaire : rares sont les gens qui n'ont pas été séduits par cette suite, le film a réellement emporté l'adhésion du public et rempli les salles pendant des mois. L'air de rien, c'est ce genre de blockbuster fédérateur qui assure en partie l'avenir du grand écran. Quant à Tom Cruise, respect également pour son investissement sur les Mission Impossible! Vous nous direz ce que vous en pensez quand vous l'aurez vu :)

Je le verrai avec grand plaisir ! 💖

Rentrer de coupure et trouver un mot du Filmonaute, la joie :) Ravi que le nouveau format te plaise, on va se ré atteler à de gros morceaux mais on s'est régalés à faire ces pastilles (les 4 derniers épisodes de la chaîne ont été enregistrés le même soir, un record haha). Et on est donc pas seuls à être restés insensible à ce nouveau Top Gun !

@@infinidetail C'était plutôt sympa oui ! (Même si j'ai les mêmes réserves que celles que je pouvais avoir avec l'original...) ;-)

L'occasion s'y prêtait parfaitement 😊

Un grand merci, Dominique, pour ce retour qui nous fait très plaisir à tous deux! The Quarry se prête parfaitement à être vu plutôt que joué- pour peu qu'on aime son ambiance à la Stephen King, il carrément se suivre comme une mini série 🙂 on est en tous cas ravis que l'écoute vous ait plu, et d'avoir pu confesser notre cafouillage!

Tellement humble et direct ce film, on était aussi content de le (re)decouvrir! Le podcast n'était même pas prévu, on s'est lancé après le générique, pour prolonger le plaisir.

Si vous saviez le nombre de films qu'on écarte du programme après les avoir revus...! La nostalgie est vite un poison lorsqu'on veut parler de cinéma, or Le Pacte des Loups a au contraire résisté à notre regard d'adulte. Sans refaire le podcast, on lui trouve une cinégénie et une énergie galvanisants, et on regrette qu'aucun projet n'ait retenté un tel mélange.

Merci pour votre écoute, Joan! Nous sommes ravis que vous partagiez notre enthousiasme sur John Noble, il fait partie de ces acteurs si identifiés vis-à-vis d'une saga (Le Seigneur des Anneaux en l'occurrence) qu'on oublie un peu vite l'étendue de leur talent. L'humanité de Fringe est vraiment étonnante, pour un cop show teinté d'étrange! Pas de podcast sur les autres saisons pour l'instant, car Guillaume n'en est encore qu'à la première saison : on avisera quand il sera à jour 😊

Immense merci pour ce mots ! C'est un coup d'essai, donc les bons retours nous font particulièrement chaud au coeur. On réfléchit encore au thème de la seconde vidéo, mais on tâchera de garder cette approche concise :)

Ils me sont venus tout naturellement et directement du cœur, ils ont réchauffé et encouragé le vôtre à continuer vôtre travail soigné et j’en suis heureuse 💘

Nous sommes ravis que la série vous ait plu également ! C'est juste, Fringe est une série très humaine, on a peut-être pas assez insisté là dessus, et cet aspect doit beaucoup à l'interprétation de John Noble. On espère que ce mini podcast donnera envie à d'autres de s'y plonger :)

@@infinidetail Fringe a plu à beaucoup de monde, j’ai vu ça lors de discussions au travers des podcasts de Michael Rosenbaum et c’est très bien 💜👍

@@dominique9187 des podcast qu'on recommande chaudement aux personnes qui vous liront, tous les entretiens sont passionnants !

Merci, Dominique, pour ces retours toujours aussi enthousiastes! La nostalgie de l'enfance est un sentiment que chacun peut expérimenter et comprendre, c'est certain, et ce "petit" film nous permet de revivre cette période insouciante. Le contraste entre l'environnement social de ces gosses et leur soif d'imaginaire est très puissant. Quant à la musique, elle fait, elle, l'unanimité: on ne s'en lasse pas ! ♥

Ce doit être confus à l'écoute, car on n'a pas prétendu que Spielberg a avancé qu'AUCUN film ne doit être sous-titré : on a bien compris qu'il parlait exclusivement de son West Side Story, mais on a cherché plusieurs contre-exemples ailleurs en plus d'évoquer la scène d'interrogatoire chez Maria, où ce choix nous paraît contre-productif ! De même, on veut bien entendre que l'espagnol n'a pas besoin d'être sous-titré et que l'universalité des situations se suffisent à elles-mêmes, mais cela nous renvoie à la question, plus générale, non pas de la langue mais du langage : quitte à avoir ce parti-pris, pourquoi l'appliquer uniquement à la langue espagnole ? Si les images et leur agencement suffisent, autant faire un film dépourvu de dialogues ! Le fait qu'il exige de sa directrice de casting des acteurs pas seulement sud-américains, mais expressément porto-ricains, différence imperceptible à l'écran, tend à confirmer que dans le cas précis de West Side Story, la notion d'appropriation culturelle est bien rentrée en ligne de compte. Aussi, l'universalité des situations a ses limites : sans sous-titres ou sans un public anglophone parler anglais, comme dit dans le podcast, on est pas sûr qu'il ait eu la même carrière ^^ Choix très judicieux pour La Liste de Schindler, en tous cas ! D'ailleurs, pour ce film-ci, a-t-il exigé des comédiens d'ascendance polonaise ? Pour Munich, l'Australien Eric Bana et l'Anglais Daniel Craig lui ont-ils posé problème au moment d'incarner des agents du Mossad ? Visiblement pas. Par contre on avait complètement oublié (ou jamais su) que Spielberg est dyslexique, ça donne un nouveau regard sur ses réflexions - puis on est tous d'accord sur sa maîtrise du langage cinématographique, il lui suffit souvent d'un raccord bien senti pour nous faire comprendre les enjeux de son récit. Tout ça nous renvoie au cinéma muet. Plus le temps passe, plus on se dit que les cinéastes de cette génération devraient s'y frotter au moins une fois, mettre tous leurs oeufs dans le panier du non-verbal. Spielberg ayant enfin affronté le film intouchable de Robert Wise, imaginons qu'il refasse Le Dernier des hommes ? Ou qu'il se lance dans un court-métrage animé comme Le Canon de Katsuhiro Otomo ? On te l'a déjà dit mais mille excuses pour le temps de réponse, la vraie vie ne nous a laissé aucun répit ! Compliment réciproque, on apprécie beaucoup ton travail, c'est toujours un plaisir de t'entendre. Un grand merci pour ton commentaire, c'est ce genre de discussion argumentée et bienveillante qui donne envie de continuer 🥰

@@infinidetail merci pour votre réponse argumentée. Je pense que nous n'avons juste pas la même compréhension de ce qu'essaye de faire Spielberg, mais c'est pas très grave. Tout d'abord, pour ce qui est du film muet, je pense que Duel se pose là quand même 😅 Et pour ce qui est de l'appropriation, en fait c'est West Side Story et ce qu'il véhicule qui a fait prendre cette décision à Spielberg (au delà du fait qu'un acteur peut charrier avec lui son propre passé, comme le fait que David Hemmings ne soit pas pris au hasard dans Profondo Rosso par exemple, que ça sert la narration), le film de Wise était très problématique parce qu'il y avait une seule actrice portoricaine dans tout le cast, c'était Rita Moreno (qui jouait Anita à l'époque), tous les autres étaient blancs, maquillés en latino-face, et on a des interviews avec Rita Moreno qui explique à quel point elle était mal à l'aise sur ce tournage, qui parlait d'une communauté, alors qu'elle était en fait absente à l'écran. Et le fait d'avoir repris Rita Moreno ici dans un autre rôle, celle qui s'est mariée avec un caucasien, est super importante. Et le fait de ne prendre que des acteurs qui sont issus de ce milieu là, en plus d'apporter un côté naturaliste documentaire au film permet de "racheter", aux yeux de Rita Moreno, le film de Wise. Spielberg ne dit pas du tout qu'il faut faire ça pour tous les films, pas du tout, mais bien celui là en particulier, à cause de son histoire (et pour en servir aussi le message). En espérant avoir été clair. À nouveau, il ne parle que pour ce film là spécifiquement, et mon souci avec ce que vous disiez, c'est que vous essayez d'appliquer son propos à tout Hollywood et tous ses films.

Merci à nouveau pour ce beau retour :) On a été tout aussi surpris d'entendre Spielberg raisonner de la sorte, heureusement ce n'est pas sensible à l'écran. Et on croit savoir que vous détestez Baz Lurhmann, oui ^^ son cinéma est si excessif et si agité qu'il ne peut pas plaire à tout le monde. L'original de Robert Wise reste indétrônable, mais vu les qualités de ce remake, ça valait effectivement le coup de le voir sur grand écran !

Excellent exemple! Au lieu d'émuler le flou qui isolait les personnages à l'écran dans le film de 1961, Spielberg en a trouvé une traduction moderne et a, ainsi, réinventé la rencontre. Dans les deux cas on les savait dans leur petit monde, mais on le ressent avec des procédés de mise en scène très différents. La définition même d'un remake, quelque part?

Excellente remarque, ça mériterait même une analyse vidéo : la victime seule en pleine nature, la créature hors-champ, on sent en effet planer l'ombre de Jaws! Un autre exemple d'influence bien digérée par le metteur en scène.

Merci à nouveau d'être passé ! Ca n'a pas rajeuni Guillaume non plus, qui l'a découvert au même moment. Un petite sortie en blu-ray ne lui ferait pas de mal. Vous l'aviez vu en salle ou en DVD à sa sortie ?

@@infinidetail à l'époque en salle cours de l'été 2000 où il passait durant la fête du cinéma . il est à noter que l'année 2000 a réellement été l'année de révélation de Samuel Le Bihan puisqu'on comptait trois films avec lui cette année 2000 :Jet set de Fabien Otaniente , Total Western de Eric Rochant et le Pacte des Loups de Christophe Gans. il a littéralement explosé cette année-là

@@infinidetail et vous avez raison dans votre podcast : techniquement le film est très impressionnant au niveau du sound design déjà en salle mais également ensuite avec la sortie DVD; une version Blu-Ray voir 4K donnerait probablement un son excellent et des paysages de campagne magnifiques

@@Full-MetaLynx clairement, c'était son année, et deux énormes succès dans le lot. Quelle chance de l'avoir vu en salle! On espère le voir débouler dans un festival, un de ces quatre.

C'est un régal, ça rappelle le même soin apporté au son de chaque arme dans Nid de guêpes (autre excellent film d'action à la française, tiens). Ca participe complètement à l'efficacité du film et son ambiance. Croisons les doigts pour cette restauration, ce serait jouissif après celle du Pacte des Loups!

Merci à vous pour ce retour ! On savait au moment d'enregistrer que le film serait restauré en 4K, mais pas qu'il re sortirait en salle ni que Christophe Gans serait autant sollicité pour en parler. Ca nous fait très plaisir de voir Le Pacte des Loups se rappeler à la mémoire cinéphile et, surtout, d'écouter son réalisateur, qui est toujours aussi passionné qu'à l'époque !

On se demande aussi d'où peut venir un tel dédain, d'où notre envie de faire ce podcast pour le réhabiliter un peu. Le film est encore plus savoureux 20 ans après, mais on ignorait au moment d'enregistrer qu'il devait re-sortir sur grand écran au début de l'été. C'est sa vraie place car, comme vous dites, c'est un film vraiment soigné sur tous les plans. Merci pour votre écoute!

@@infinidetail le fameux dédain parisien pour tout ce qui concerne le provincial, à tous les coups..

Hahaha, c'est radical mais un des deux chroniqueurs n'en pense pas moins ! Sinon Dune, plutôt une bonne surprise pour vous aussi, ou même pas ?

On assume pleinement ! En attendant de revoir le film car, comme dit dans le podcast, aucune idée de l'effet que nous fera ce 4e Matrix une fois dissipé l'effet de surprise. Sans compter que Mathilde a de vraies réserves sur le 2 et le 3 après les avoir revus, comme vous avez pu l'entendre. Quant aux prochains Avatar, on a tous les deux hâte de les découvrir ! Guillaume s'était fendu d'un texte pour défendre la narration du premier, si le coeur vous en dit : infinidetail.com/2017/12/17/du-genie-dans-la-simplicite-structure-et-outils-narratifs-davatar/

Bonsoir, Merci pour votre passage ! On parle trop peu de ce petit film, ça nous fait plaisir de croiser quelqu'un qui l'apprécie. Vous l'avez vu il y a longtemps ?

@@infinidetail je suis un des acteurs du film 😉

Mais oui, vous jouez l’un des jeunes ! Du coup on est encore plus contents d’avoir votre avis sur ce podcast !! Quel souvenir gardez-vous du tournage et de la sortie ? On n’a malheureusement pas trouvé grand-chose sur la fabrication de ce film en préparant nos interventions. Merci encore pour votre écoute et votre retour :)

Bonsoir Merci Vous me faites chaud au coeur. J'avais 19 ans et je jouais dans un film d'action. C'était plutôt cool. On avait tout un hôtel pour toute l'équipe. C'était la grosse colo. J'étais très déçu qu'il ne fonctionne pas plus en salle. À la prochaine fois Peut être le film de Romain Gavras ou de Jean Paul Civeyrac. Bonne continuation

@@ouassiniembarek4812 Bonjour j'avais adoré votre prestation dans ce film qui pour moi était le meilleur film d'action de l'année 2000. Je l'avais vu en salle et c'était une vraie claque pour un film d'action en plus français. Je vous avez découvert auparavant dans le plus beau métier du monde Bonne continuation à vous

Merci pour le retour, ça nous fait très plaisir ! On adore Spielberg aussi, c'était courageux de s'attaquer à ce monument, même pour lui. Cette époque ne nous paraît pas nunuche :) Mais Broadway, c'est tout un style auquel on accroche pas à chaque fois. L'ancien West Side Story reste une merveille, et ce remake donnera peut-être envie aux nouvelles générations de découvrir l'ancien - qui n'est pas oublié ceci dit, on le regarde encore, preuve de son statut de classique. On espère que la 2nde partie du podcast t'intéressera tout autant !

J’attend vôtre 2nde partie avec impatience 🙂 Et, au risque de me répéter, autre temps autre vision pour moi 🥰

Merci beaucoup pour votre écoute et pour ce retour détaillé ! On est contents de savoir que vous partagez notre analyse. On n'avait rien trouvé sur internet à ce sujet, c'est d'ailleurs ce qui nous a motivés à sortir cet épisode. Ça, et notre amour immodéré pour Hérédité, qui est effectivement d'une qualité bien supérieure à Paranormal Activity 3. Ensuite, nous avons volontairement choisi de laisser Mathilde dérouler l'analyse, Guillaume s'étant ici contenté de jouer les animateurs. C'est le seul épisode où on s'est permis de le faire. C'était un de nos premiers podcasts, on a voulu tester ! Mais c'est vrai que l'analyse est toujours plus riche quand on est deux à avoir vu les oeuvres, on s'en est rendu compte au fil des épisodes.

Merci pour votre écoute Dominique :) On est bien d'accord oui, Sam Mendes a emmené 007 au sommet avec Skyfall et Cary Fukunaga l'a fait chuter de cinquante étages avec Mourir peut attendre. Quelle tristesse ! Espérons que James saura renaître de ses cendres - car c'est bien tout ce qu'il en reste pour l'instant, des cendres !

C’était un pari risqué, Matrix Resurrections n’a pas grand-chose de révolutionnaire contrairement à ses prédécesseurs, il n’en aura probablement jamais l’aura non plus, mais il nous a éblouis par moment. Merci pour votre écoute :)

Merci pour l’écoute ☺️ On n’a pas vu le dernier Spiderman mais on vous croit sur parole 😅 Matrix Resurrections aurait pu être indigeste (la trilogie parlait déjà beaucoup d’elle-même, avec assez peu de subtilité parfois, et elle se retrouve ici carrément citée dans le texte), mais il y a une telle énergie et un tel savoir-faire derrière ce film qu’on s’est finalement laissé emporter dans un tourbillon d’émotions. Et ça, pour un film aussi bavard et aussi méta, c’est une sacrée réussite. On a des réserves sur la mise en scène des combats à main nue, en revanche on a trouvé la scène d’action finale démentielle. Notre chroniqueuse Mathilde a fondu en larmes ha ha.

Merci pour l’écoute ☺️ Notre chroniqueuse Mathilde ne dit pas que le film de Lynch est formidable ; il est assez objectivement bourré de défauts, et il lui manque clairement le souffle épique dont vous parlez. Ses qualités lui sont simplement apparues avec une certaine évidence à la vision du film de Villeneuve, qu’elle ne déteste pas du tout au passage. Dans l’ensemble, elle préfère l’esthétique et les délires baroques du Lynch, même s’il est souvent ringard, à l’esthétique du Villeneuve qui tire vers la pub pour parfum. En tout état de cause, on a hâte de voir la seconde partie.

Oh, même après deux visions le sentiment persiste donc? C'est toujours difficile de préjuger de ce qu'un film va nous laisser, mais plus on y pense et plus le Lynch était tour à tour fulgurant et imbuvable, tandis que le Villeneuve est constamment agréable mais trop sage. On vous recommande chaudement le documentaire Jodorowsky's Dune, si vous ne lavez pas déjà vu!

Merci à vous d’avoir pris le temps de nous écouter. 🙂 Malheureusement, on n’a pas pu aborder tous les sujets. On a quand même essayé d’évoquer rapidement l’évolution de Paul, en indiquant que la mise à mort du guerrier Fremen dans la dernière scène constituait pour lui un point de non-retour, un passage forcé à l’âge adulte. Mais vous avez raison, il y avait plus à dire sur ce point, et sur l’évolution de son rapport à Lady Jessica, dont nous avons peu parlé. Il sera toujours temps de le faire si la suite sort ! Merci pour votre contribution, et au plaisir de vous lire.

Merci d’avoir pris le temps de nous écouter. 🙂 On a choisi de faire une analyse globale et comparative de l’œuvre (assez longue) plutôt que de rentrer dans le détail des scènes ou de faire une analyse plus symbolique. Et on a tout simplement pu passer à côté de certaines choses, n’étant pas de fins connaisseurs du DCU. Que vous ont évoqué les séquences que vous citez ?

@@infinidetail Ok je cromprends votre intention :) Ce n'est surement qu'une impression de ma part, mais j'ai plus eu l'impression d'écouter une critique qu'une analyse mais soit. Je ne me pose pas en connaisseur du DCU donc je ne peux pas réellement m'exprimer sur cet univers n'ayant eu, pour ma part, de véritable intérêt que pour la trilogie de Zack Snyder ( Man Of Steel, Batman V Superman et Zack Snyder's Justice League). Pour les deux séquences dont je fais allusion dans le commentaire auquel vous répondez, je dirai ceci (c'est extrêmement raccourcis, commentaire TH-cam oblige) Wonder Woman et la banque : la séquence comporte très surement des références aux attentats du 11 septembre, se tenant sur le bras droit de la justice (donc le glaive) WW présuppose le jugement et est le bras armée de la justice (ce qui pose la question de la responsabilité des héros), la mise en scène de la puissance se faisant par la "torsion" des règles de la physique (balles regardées + destruction de la porte sans même utiliser les mains entre autres) La dernière séquence de Flash : on montre le drame de Flash (des pouvoirs dignes d'un dieu mais un refus de les utiliser en de nombreuses circonstances notamment pour innocenter son père), on révèle Flash en équivalent d'un dieu (il court dans le cosmos, rattrape la lumière), il installe la Justice League dans le champ du prodige. C'est vraiment très très résumé mais voilà en gros. Si cela vous intéresse, j'en ai fait un podcast disponible sur ma chaine. En fait, cela aurait été bien d'au moins prendre une séquence et de voir en quoi elle est symptomatique, révélatrice ou autre du film afin d'avoir un argumentaire plus conséquent. Mais je comprends tout à fait votre intention d'essayer de traiter du film de manière globale, je trouve juste dommage de ne pas en entendre plus dans votre argumentaire, que vous ayez aimé le film ou non :) Sinon je le redis, votre podcast est très fluide et j'écouterai ce que vous avez dit sur Dune (maintenant que j'ai pu voir le film) :)

Ce que vous dites est très intéressant, notamment sur la scène d’intro de Wonder Woman, qu’on a également abordée mais sous un angle un peu différent, l’ayant trouvée franchement trop démonstrative dans sa mise en scène et tout aussi caricaturale dans sa conclusion (le message de WW à la petite fille). En tout cas, on ira écouter votre podcast avec plaisir pour en savoir plus. :) On ne s’en cache pas, on a généralement une approche plus globale, plus contextuelle, et peut-être plus formelle que la vôtre, du moins au premier abord. Ce qui nous intéresse tout particulièrement, c’est d’analyser la cohérence narrative et visuelle de l’œuvre, après l’avoir replacée dans la filmographie de son auteur ainsi que dans l’histoire du genre auquel elle appartient. En outre, on a choisi ici de comparer les deux versions de Justice League. Si vous avez l’occasion d’écouter notre podcast sur Dune, vous verrez sûrement que si nous gardons cette approche globale et comparative (on compare le Lynch et le Villeneuve), nous abordons cette œuvre (que nous connaissons beaucoup mieux que le DCU) avec un peu plus de détails et de… passion. :)